Dimanche soir, la Loire-Atlantique connaîtra le nom du président du nouveau conseil départemental. S’agira-t-il de Philippe Grosvalet, chef de file du PS, déjà président du conseil général depuis quatre ans, ou de Gatien Meunier, leader UMP de Démocratie 44, le groupe d’union de la droite et du centre ? Difficile à dire tant le second tour de ces élections départementales s’annonce serré. Légèrement majoritaire en voix à l'issue du premier tour dimanche dernier, l’alliance UMP-UDI a toutefois été devancée par le PS dans 16 cantons sur 31.

L'influence des électeurs FN

Le programme de la gauche s’articule autour de quatre priorités : l’emploi, l’éducation, les déplacements et le vieillissement de la population.

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Démocratie 44 érige aussi l’emploi comme priorité, mais a également insisté durant la campagne sur les économies à réaliser au sein même de l’institution et auprès des partenaires (associations…).

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Le FN, qui est parvenu à qualifier trois candidats pour le second tour, ne peut, lui, plus prétendre détenir la majorité départementale. Mais les reports de voix et le niveau de participation de ses électeurs auront une influence importante sur le résultat final dimanche soir.

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