Conseiller ou Conseillère en génétique
Le conseiller en génétique ou la conseillère en génétique a pour objectif de dépister les risques de transmission et d'accompagner le patient. Il ou elle évalue les risques génétiques, fournit des informations et des conseils aux patients et à leur famille, élabore des plans de prévention et de traitement, informe sur les tests génétiques et leurs résultats, et aide les patients à comprendre leurs résultats pour prendre des décisions éclairées.
Les missions principales :
- Mener des actions d'information, de prévention ou de médiation auprès d'un public généralement en difficulté.
- Réaliser des permanences en téléphonie sociale.
- Coordonner l'activité d'une équipe.
Les missions secondaires :
- Participer à l'élaboration et à la mise en œuvre de projets.
- Assurer le suivi et l'évaluation des actions menées.
- Rédiger des rapports et des comptes-rendus.
- Participer à des réunions et à des groupes de travail.
- Assurer le lien avec les partenaires et les institutions.
- Accompagner les bénéficiaires dans leurs démarches.
- Participer à des actions de formation et de sensibilisation.
- Être à l'écoute
- Se tenir informé
- Avoir une santé de fer
Le conseiller en génétique peut exercer sa profession dans un hôpital public ou une clinique privée, un centre de lutte contre le cancer ou un CHU (centre hospitalier universitaire). Il travaille en équipe sous la responsabilité d'un médecin généticien, entouré de médecins, de psychiatres, de psychologues, d'infirmières, d'orthophonistes, de neuropsychologues, d'ergothérapeutes et de kinésithérapeutes. Les soins sont assurés 24 heures sur 24 et le travail est organisé par rotation des équipes, sur la base de 35 heures par semaine. Des astreintes peuvent être nécessaires.
Le conseiller en génétique ou la conseillère en génétique novices peuvent espérer toucher environ 1 800 € brut.
Le conseiller ou la conseillère en génétique peut accéder à ce métier avec un diplôme de niveau CAP/BEP à Bac+2 (BTS, L2) dans le secteur social, juridique ou de l'animation socioculturelle. Une expérience professionnelle ou bénévole est également acceptée. Des formations complémentaires (éducation de la santé, santé publique, prévention et médiation) et en Langue des Signes Française (LSF) sont nécessaires.
Textes générés par Labsense (IA générative) sur la base de données Onisep et Pôle Emploi. L'ensemble des textes est relu et corrigé par la rédaction.