Inséminateur artificiel ou Inséminatrice artificielle
L'inséminateur artificiel doit être à la fois un conseiller et un technicien. Il doit être capable de fournir des conseils adaptés aux besoins des éleveurs et de réaliser des actes techniques avec précision. Il doit également avoir une bonne connaissance de la génétique et des méthodes d'amélioration génétique. Il doit être capable de sélectionner les meilleurs reproducteurs et de les utiliser pour améliorer la qualité des animaux.
Missions principales :
- Réaliser des opérations de contrôle et de diagnostic sur les lieux de production et de stockage
- Vérifier la conformité des produits et des procédés
- Veiller à l'application des règles d'hygiène, de sécurité et de la réglementation sanitaire et environnementale
Missions secondaires :
- Rédiger des rapports et des comptes-rendus
- Participer à des réunions et des séminaires
- Former et accompagner les équipes
- Assurer le suivi des procédures
- Mettre en place des plans d'action
- Coordonner une équipe
- À l'écoute
- Technicien pointu
- Aller au contact
L'inséminateur travaille principalement dans un centre d'insémination agréé, mais il se déplace également chez les éleveurs pour leur fournir ses services. Les horaires sont adaptés au cycle de reproduction des animaux, avec des périodes plus chargées et des week-ends et soirées réquisitionnés. La proximité et la maîtrise des gestes sont nécessaires pour manipuler les animaux d'élevage.
Suivant sa formation et son secteur d'activité, les salaires à l'embauche de l'inséminateur artificiel au profil junior sont à environ 1 750 € brut.
L'inséminateur artificiel est accessible avec un Bac professionnel en Bio-industries de transformation ou un BTS Agricole en industrie alimentaire. Pour accéder aux Instances Vétérinaires, un concours est nécessaire avec un Bac.
Textes générés par Labsense (IA générative) sur la base de données Onisep et Pôle Emploi. L'ensemble des textes est relu et corrigé par la rédaction.