aventureSi vous voulez travailler en Antarctique, rendez-vous à ce job-dating

      Envie de travailler en Antarctique ? Un job-dating organisé pour trouver 80 candidats

      aventureL’Institut polaire français Paul-Émile Victor (IPEV) recherche différents profils motivés pour assurer des missions dans des conditions extrêmes
      20 Minutes avec agence

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      Et si vous changiez d’air pour une expérience professionnelle exceptionnelle ? C’est ce que propose l’Institut polaire français Paul-Émile Victor (IPEV) qui recherche plusieurs profils afin d’épauler ses membres permanents en mission en Antarctique, relaie Le Figaro.

      La structure a besoin notamment d’un boulanger-pâtissier, d’un plombier, d’un mécanicien engins, d’un mécanicien central, d’un électrotechnicien, d’un chef mécanicien, d’un outilleur, d’un responsable technique, et d’un technicien instrumentation. L’IPEV souhaite également recruter un cuisinier spécialisé dans la restauration collective, capable d’assurer les repas pour 120 personnes.

      Jusqu’à -80 °C certains mois de l’année

      Les différentes missions seront proposées à des contractuels et volontaires en service civique, pour des durées variant de deux à quatorze mois. Mais les conditions de travail dans les bases de l’IPEV au Pôle Sud ne sont pas des plus faciles, explique le quotidien national. A Concordia par exemple, les températures avoisinent les -30 °C en été pour tomber à -80 °C le reste de l’année.

      Selon les métiers et les besoins, les candidats s’envoleront entre octobre prochain et janvier 2024. Au total, l’Institut recherche 80 profils qualifiés. Pour ce faire, il organise un job-dating le 19 octobre prochain aux Ateliers des Capuçins de Brest (Finistère) le 19 octobre. Au programme : entretien avec d’anciens hivernants et des scientifiques, étude des CV, entretien et des tests techniques.

      Un processus de recrutement strict

      Les candidats retenus devront ensuite se rendre sur Paris pour des examens médicaux poussés aux Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAFF), des tests de personnalité et une rencontre avec un psychologue.

      Toutes ces précautions doivent permettre de cibler les personnes réellement prêtes à vivre en Antarctique. « Il faut avoir une bonne condition physique, et être certain de sa motivation car il n’y a pas de retour possible », prévient Anne Savary, assistante aux ressources humaines de l’Institut polaire français Paul-Émile Victor.

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