Pendant que Thomas Pesquet prend son pied à 400 km au-dessus de nos têtes, sur Terre, ses collègues du Centre d’aide au développement des activités en micropesanteur et des opérations spatiales (CADMOS) n’oublient pas de s’amuser.

Dans un Mannequin Challenge très spatial, ceux qui pilotent une partie des expériences réalisées par l’astronaute sortent de l’image d’Epinal des scientifiques plongés dans leurs calculs.

Les salariés du site toulousain du CNES montrent qu’on peut aussi s’éclater sur le plancher des vaches. Ils détournent avec brio les expériences, notamment la grossesse d’un mannequin… en plastique. Dans ce défi, les avions en papier restent figés en l’air, tout comme les volants de badminton… on est quand même au CNES, là où on met au point des fusées pour partir dans l’espace.

Un moyen de montrer l’envers du décor et donner un visage à ceux qui donnent un coup de main à l’astronaute pour qu’il mène à bien sa mission au quotidien.