A Toulouse, la culture Hip-Hop n'est pas prête à faire un break
CULTURE•Le 24 septembre, la Ville rose accueille le trophée Masters où les meilleurs danseurs de Hip-Hop s’affronteront, avant le championnat du monde de breakdance en mars prochain…Béatrice Colin
Dans les années quatre-vingt-dix, la Ville rose était une référence en matière de cultures urbaines, que ce soit à travers ses graffeurs ou ses danseurs de Hip-Hop.
Deux décennies plus tard, Toulouse renoue avec ces disciplines. Après consacré en juin au graffiti, les adeptes de la breakdance ont rendez-vous le 24 septembre à la Halle aux Grains.
Championnat du monde en mars
Pour ce nouveau rendez-vous du , huit équipes venues de Taiwan ou encore de Biélorussie vont s’affronter lors d’une battle, ces sets où chacun défie ceux d’en face. Avec au micro Mc Maleek et qui fit les beaux jours du Hip-Hop a la télé.
« Le trophée regroupe les meilleurs de la planète depuis seize ans et les sélections se déroulent sur les cinq continents », indique Bruno Mallet, le président du , l’association organisatrice.
Pour , l’un des pionniers toulousains de la breakdance, ce rendez-vous est aussi un moyen de remettre sur le devant de la scène « l’identité culturelle du Hip-Hop et le style particulier toulousain qu’on est en train de perdre ».
Elle sera à nouveau à l’honneur le 4 mars, lorsque le Zénith accueillera le championnat du monde de breakdance, .