Dix tweets qui prouvent que la folie «Pokémon GO» s'est (déjà) emparée de Toulouse
SOCIETE•Dans la Ville rose, les chasseurs de Rattata et autres Roucool n’ont pas attendu la sortie officielle de « Pokémon Go » ce jeudi (peut-être) pour dégainer leurs pokéballs. La preuve…
Un bulbizarre, deux Carapuce, une flopée de Rattata et de Roocoul. Moins d’une heure à parcourir en dilettante les abords de la place Saint-Georges au centre-ville de Toulouse suffit à comprendre qu’ils sont bien là, activés, narguant sans trop de résistance les chasseurs qui se déplacent en grappes, le nez collé à leur smartphone.
Avant même la sortie officielle du jeu Pokémon GO ce jeudi (peut-être...), les créatures pullulent et les dresseurs n’en parlons pas. « Le Jardin Japonais près de Compans est une vraie mine », assure Jean-Bernard, un étudiant en informatique. La chasse au Pokémon - et accessoirement la marche à pied - est devenue depuis une semaine son sport estival favori. Il est un des administrateurs de la page Facebook « Ligue Pokémon Go Toulouse » qui compte déjà plus de 2.000 abonnés, des ados comme fans à la trentaine parfois très avancée..
Et s’il fallait d’autres preuves que le virus est galopant, il n’y a qu’à faire un petit tour sur Twiiter.
Que même la préfecture et la police ont eu vent de l’affaire. Elles sortent leur carte « prévention routière », ce n’est pas le moment de perdre bêtement des points de vie.
Le moment est venu d’annoncer aux dresseurs que la préfecture n’a pas l’intention d’interdire à ce jour la « Chasse géante » organisée dimanche 24 juillet, à partir de 13h, au Jardin Japonais.
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