«Participation à un groupement terroriste ». Deux adolescents toulousains partis en Syrie en janvier 2014 pourraient être jugés pour ce motif devant un tribunal pour mineurs. C’est en tout cas la volonté du parquet de Paris qui a rendu le 7 septembre son réquisitoire définitif en ce sens révèle Le Monde sur son site.

« Deux ados partis en douce en Syrie pourraient être poursuivis pour « terrorisme » http://t.co/47TwAsTLDH pic.twitter.com/ajwhTgCd7X — Le Monde (@lemondefr) September 17, 2015 »

Agés de 15 et 16 ans, ces deux jeunes scolarisés au lycée des Arènes étaient revenus trois semaines après en France, la famille de l’un d’entre eux ayant alerté les médias et tout fait pour les faire rentrer. A leur retour, ils ont été aussitôt mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».

Si les juges d’instruction suivent le parquet, « ce serait la première fois qu’un tribunal pour enfants jugerait des mineurs de retour de zone de combats pour " terrorisme " », relève le journaliste du quotidien.

« Bouc émissaire » selon le père de l’un d’entre eux

« Ils ont décidé de faire un bouc émissaire. J’ai toujours refusé la catégorisation en terroriste, et je refuse ce mot de " participation ". Il n’a jamais participé, il a été enrôlé, on lui a vendu ce voyage pour faire de l’humanitaire et une fois sur place, ils se sont retrouvés sans argent, à la merci de mauvaises personnes », plaide le père de Y., l’un des deux adolescents.

Depuis, il a repris depuis une scolarité normale et est très investi dans l’association de son père contre l’endoctrinement.

Toulouse : Son fils part en Syrie, il crée une association pour lutter contre l’enrôlement des jeunes par Daesh

Son avocate demande toujours un non-lieu dans cette affaire. « Nous contestons que cette infraction soit constituée, ces jeunes n’ont pas commis les faits qu’on leur reproche. Il y a seulement 21 jours qui séparent leur départ de leur retour, il y a une distorsion entre ce qu’ils imaginaient et ce qui se passait sur place », relève Agnès Dufétel-Cordier.

Pour le conseil de Y. « c’est un dossier dont on veut se servir pour monter l’exemple, on a pu en voir d’autres avec plus d’éléments à charge et qui n’aboutissaient pas devant le tribunal ».

mis en examen

Agés de 15 et 16 ans, ces deux jeunes scolarisés au lycée des Arènes étaient revenus trois semaines après en France, la famille de l’un d’entre eux ayant alerté les médias et tout fait pour les faire rentrer. A leur retour, ils ont été aussitôt mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».

Si les juges d’instruction suivent le parquet, « ce serait la première fois qu’un tribunal pour enfants jugerait des mineurs de retour de zone de combats pour " terrorisme " », relève le journaliste du quotidien.

« Bouc émissaire » selon le père de l’un d’entre eux

« Ils ont décidé de faire un bouc émissaire. J’ai toujours refusé la catégorisation en terroriste, et je refuse ce mot de " participation ". Il n’a jamais participé, il a été enrôlé, on lui a vendu ce voyage pour faire de l’humanitaire et une fois sur place, ils se sont retrouvés sans argent, à la merci de mauvaises personnes », plaide le père de Y., l’un des deux adolescents.

Depuis, il a repris depuis une scolarité normale et est très investi dans l’association de son père contre l’endoctrinement.

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Son avocate demande toujours un non-lieu dans cette affaire. « Nous contestons que cette infraction soit constituée, ces jeunes n’ont pas commis les faits qu’on leur reproche. Il y a seulement 21 jours qui séparent leur départ de leur retour, il y a une distorsion entre ce qu’ils imaginaient et ce qui se passait sur place », relève Agnès Dufétel-Cordier.

Pour le conseil de Y. « c’est un dossier dont on veut se servir pour monter l’exemple, on a pu en voir d’autres avec plus d’éléments à charge et qui n’aboutissaient pas devant le tribunal ».


Agés de 15 et 16 ans, ces deux jeunes scolarisés au lycée des Arènes étaient revenus trois semaines après en France, la famille de l’un d’entre eux ayant alerté les médias et tout fait pour les faire rentrer. A leur retour, ils ont été aussitôt mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».

Si les juges d’instruction suivent le parquet, « ce serait la première fois qu’un tribunal pour enfants jugerait des mineurs de retour de zone de combats pour " terrorisme " », relève le journaliste du quotidien.

« Bouc émissaire » selon le père de l’un d’entre eux

« Ils ont décidé de faire un bouc émissaire. J’ai toujours refusé la catégorisation en terroriste, et je refuse ce mot de " participation ". Il n’a jamais participé, il a été enrôlé, on lui a vendu ce voyage pour faire de l’humanitaire et une fois sur place, ils se sont retrouvés sans argent, à la merci de mauvaises personnes », plaide le père de Y., l’un des deux adolescents.

Depuis, il a repris depuis une scolarité normale et est très investi dans l’association de son père contre l’endoctrinement.

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Son avocate demande toujours un non-lieu dans cette affaire. « Nous contestons que cette infraction soit constituée, ces jeunes n’ont pas commis les faits qu’on leur reproche. Il y a seulement 21 jours qui séparent leur départ de leur retour, il y a une distorsion entre ce qu’ils imaginaient et ce qui se passait sur place », relève Agnès Dufétel-Cordier.

Pour le conseil de Y. « c’est un dossier dont on veut se servir pour monter l’exemple, on a pu en voir d’autres avec plus d’éléments à charge et qui n’aboutissaient pas devant le tribunal ».


Agés de 15 et 16 ans, ces deux jeunes scolarisés au lycée des Arènes étaient revenus trois semaines après en France, la famille de l’un d’entre eux ayant alerté les médias et tout fait pour les faire rentrer. A leur retour, ils ont été aussitôt mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».

Si les juges d’instruction suivent le parquet, « ce serait la première fois qu’un tribunal pour enfants jugerait des mineurs de retour de zone de combats pour " terrorisme " », relève le journaliste du quotidien.

« Bouc émissaire » selon le père de l’un d’entre eux

« Ils ont décidé de faire un bouc émissaire. J’ai toujours refusé la catégorisation en terroriste, et je refuse ce mot de " participation ". Il n’a jamais participé, il a été enrôlé, on lui a vendu ce voyage pour faire de l’humanitaire et une fois sur place, ils se sont retrouvés sans argent, à la merci de mauvaises personnes », plaide le père de Y., l’un des deux adolescents.

Depuis, il a repris depuis une scolarité normale et est très investi dans l’association de son père contre l’endoctrinement.

Toulouse : Son fils part en Syrie, il crée une association pour lutter contre l’enrôlement des jeunes par Daesh

Son avocate demande toujours un non-lieu dans cette affaire. « Nous contestons que cette infraction soit constituée, ces jeunes n’ont pas commis les faits qu’on leur reproche. Il y a seulement 21 jours qui séparent leur départ de leur retour, il y a une distorsion entre ce qu’ils imaginaient et ce qui se passait sur place », relève Agnès Dufétel-Cordier.

Pour le conseil de Y. « c’est un dossier dont on veut se servir pour monter l’exemple, on a pu en voir d’autres avec plus d’éléments à charge et qui n’aboutissaient pas devant le tribunal ».


Agés de 15 et 16 ans, ces deux jeunes scolarisés au lycée des Arènes étaient revenus trois semaines après en France, la famille de l’un d’entre eux ayant alerté les médias et tout fait pour les faire rentrer. A leur retour, ils ont été aussitôt mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».

Si les juges d’instruction suivent le parquet, « ce serait la première fois qu’un tribunal pour enfants jugerait des mineurs de retour de zone de combats pour " terrorisme " », relève le journaliste du quotidien.

« Bouc émissaire » selon le père de l’un d’entre eux

« Ils ont décidé de faire un bouc émissaire. J’ai toujours refusé la catégorisation en terroriste, et je refuse ce mot de " participation ". Il n’a jamais participé, il a été enrôlé, on lui a vendu ce voyage pour faire de l’humanitaire et une fois sur place, ils se sont retrouvés sans argent, à la merci de mauvaises personnes », plaide le père de Y., l’un des deux adolescents.

Depuis, il a repris depuis une scolarité normale et est très investi dans l’association de son père contre l’endoctrinement.

Toulouse : Son fils part en Syrie, il crée une association pour lutter contre l’enrôlement des jeunes par Daesh

Son avocate demande toujours un non-lieu dans cette affaire. « Nous contestons que cette infraction soit constituée, ces jeunes n’ont pas commis les faits qu’on leur reproche. Il y a seulement 21 jours qui séparent leur départ de leur retour, il y a une distorsion entre ce qu’ils imaginaient et ce qui se passait sur place », relève Agnès Dufétel-Cordier.

Pour le conseil de Y. « c’est un dossier dont on veut se servir pour monter l’exemple, on a pu en voir d’autres avec plus d’éléments à charge et qui n’aboutissaient pas devant le tribunal ».


Agés de 15 et 16 ans, ces deux jeunes scolarisés au lycée des Arènes étaient revenus trois semaines après en France, la famille de l’un d’entre eux ayant alerté les médias et tout fait pour les faire rentrer. A leur retour, ils ont été aussitôt mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».

Si les juges d’instruction suivent le parquet, « ce serait la première fois qu’un tribunal pour enfants jugerait des mineurs de retour de zone de combats pour " terrorisme " », relève le journaliste du quotidien.

« Bouc émissaire » selon le père de l’un d’entre eux

« Ils ont décidé de faire un bouc émissaire. J’ai toujours refusé la catégorisation en terroriste, et je refuse ce mot de " participation ". Il n’a jamais participé, il a été enrôlé, on lui a vendu ce voyage pour faire de l’humanitaire et une fois sur place, ils se sont retrouvés sans argent, à la merci de mauvaises personnes », plaide le père de Y., l’un des deux adolescents.

Depuis, il a repris depuis une scolarité normale et est très investi dans l’association de son père contre l’endoctrinement.

Toulouse : Son fils part en Syrie, il crée une association pour lutter contre l’enrôlement des jeunes par Daesh

Son avocate demande toujours un non-lieu dans cette affaire. « Nous contestons que cette infraction soit constituée, ces jeunes n’ont pas commis les faits qu’on leur reproche. Il y a seulement 21 jours qui séparent leur départ de leur retour, il y a une distorsion entre ce qu’ils imaginaient et ce qui se passait sur place », relève Agnès Dufétel-Cordier.

Pour le conseil de Y. « c’est un dossier dont on veut se servir pour monter l’exemple, on a pu en voir d’autres avec plus d’éléments à charge et qui n’aboutissaient pas devant le tribunal ».


Toulouse : Son fils part en Syrie, il crée une association pour lutter contre l’enrôlement des jeunes par Daesh

Agés de 15 et 16 ans, ces deux jeunes scolarisés au lycée des Arènes étaient revenus trois semaines après en France, la famille de l’un d’entre eux ayant alerté les médias et tout fait pour les faire rentrer. A leur retour, ils ont été aussitôt mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».

Si les juges d’instruction suivent le parquet, « ce serait la première fois qu’un tribunal pour enfants jugerait des mineurs de retour de zone de combats pour " terrorisme " », relève le journaliste du quotidien.

« Bouc émissaire » selon le père de l’un d’entre eux

« Ils ont décidé de faire un bouc émissaire. J’ai toujours refusé la catégorisation en terroriste, et je refuse ce mot de " participation ". Il n’a jamais participé, il a été enrôlé, on lui a vendu ce voyage pour faire de l’humanitaire et une fois sur place, ils se sont retrouvés sans argent, à la merci de mauvaises personnes », plaide le père de Y., l’un des deux adolescents.

Depuis, il a repris depuis une scolarité normale et est très investi dans l’association de son père contre l’endoctrinement.

Toulouse : Son fils part en Syrie, il crée une association pour lutter contre l’enrôlement des jeunes par Daesh

Son avocate demande toujours un non-lieu dans cette affaire. « Nous contestons que cette infraction soit constituée, ces jeunes n’ont pas commis les faits qu’on leur reproche. Il y a seulement 21 jours qui séparent leur départ de leur retour, il y a une distorsion entre ce qu’ils imaginaient et ce qui se passait sur place », relève Agnès Dufétel-Cordier.

Pour le conseil de Y. « c’est un dossier dont on veut se servir pour monter l’exemple, on a pu en voir d’autres avec plus d’éléments à charge et qui n’aboutissaient pas devant le tribunal ».


Agés de 15 et 16 ans, ces deux jeunes scolarisés au lycée des Arènes étaient revenus trois semaines après en France, la famille de l’un d’entre eux ayant alerté les médias et tout fait pour les faire rentrer. A leur retour, ils ont été aussitôt mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».

Si les juges d’instruction suivent le parquet, « ce serait la première fois qu’un tribunal pour enfants jugerait des mineurs de retour de zone de combats pour " terrorisme " », relève le journaliste du quotidien.

« Bouc émissaire » selon le père de l’un d’entre eux

« Ils ont décidé de faire un bouc émissaire. J’ai toujours refusé la catégorisation en terroriste, et je refuse ce mot de " participation ". Il n’a jamais participé, il a été enrôlé, on lui a vendu ce voyage pour faire de l’humanitaire et une fois sur place, ils se sont retrouvés sans argent, à la merci de mauvaises personnes », plaide le père de Y., l’un des deux adolescents.

Depuis, il a repris depuis une scolarité normale et est très investi dans l’association de son père contre l’endoctrinement.

Toulouse : Son fils part en Syrie, il crée une association pour lutter contre l’enrôlement des jeunes par Daesh

Son avocate demande toujours un non-lieu dans cette affaire. « Nous contestons que cette infraction soit constituée, ces jeunes n’ont pas commis les faits qu’on leur reproche. Il y a seulement 21 jours qui séparent leur départ de leur retour, il y a une distorsion entre ce qu’ils imaginaient et ce qui se passait sur place », relève Agnès Dufétel-Cordier.

Pour le conseil de Y. « c’est un dossier dont on veut se servir pour monter l’exemple, on a pu en voir d’autres avec plus d’éléments à charge et qui n’aboutissaient pas devant le tribunal ».

Agnès Dufétel-Cordier.

Agés de 15 et 16 ans, ces deux jeunes scolarisés au lycée des Arènes étaient revenus trois semaines après en France, la famille de l’un d’entre eux ayant alerté les médias et tout fait pour les faire rentrer. A leur retour, ils ont été aussitôt mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».

Si les juges d’instruction suivent le parquet, « ce serait la première fois qu’un tribunal pour enfants jugerait des mineurs de retour de zone de combats pour " terrorisme " », relève le journaliste du quotidien.

« Bouc émissaire » selon le père de l’un d’entre eux

« Ils ont décidé de faire un bouc émissaire. J’ai toujours refusé la catégorisation en terroriste, et je refuse ce mot de " participation ". Il n’a jamais participé, il a été enrôlé, on lui a vendu ce voyage pour faire de l’humanitaire et une fois sur place, ils se sont retrouvés sans argent, à la merci de mauvaises personnes », plaide le père de Y., l’un des deux adolescents.

Depuis, il a repris depuis une scolarité normale et est très investi dans l’association de son père contre l’endoctrinement.

Toulouse : Son fils part en Syrie, il crée une association pour lutter contre l’enrôlement des jeunes par Daesh

Son avocate demande toujours un non-lieu dans cette affaire. « Nous contestons que cette infraction soit constituée, ces jeunes n’ont pas commis les faits qu’on leur reproche. Il y a seulement 21 jours qui séparent leur départ de leur retour, il y a une distorsion entre ce qu’ils imaginaient et ce qui se passait sur place », relève Agnès Dufétel-Cordier.

Pour le conseil de Y. « c’est un dossier dont on veut se servir pour monter l’exemple, on a pu en voir d’autres avec plus d’éléments à charge et qui n’aboutissaient pas devant le tribunal ».