Toulouse: Le retour des mariés funambules

Toulouse: Le retour des mariés funambules

INSOLITEDes acrobates des temps modernes ont reproduit l'exploit des « mariés funambules » qui a rendu célèbre le photographe Jean Dieuzaide...
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

Deux jeunes funambules ont tenté samedi à Toulouse de rééditer la performance du couple dont le célèbre photographe Jean Dieuzaide avait immortalisé le mariage sur un fil tendu au-dessus de la place du Capitole en mai 1954.

Chutes et improvisation bon enfant

Avec une réussite mitigée. Est-ce dû à la «slackline» infiniment plus élastique que le câble en acier d'il y a 60 ans et à l'absence de balancier, qui induisent une technique complètement différente, ou bien au trac d'opérer devant des centaines de spectateurs, les héros du jour ont fait plusieurs chutes heureusement limitées par les mousquetons les reliant à la ligne sur laquelle ils devaient se rejoindre.

Paul-Antoine, dans une encombrante robe de mariée et Rémy en costume, ont finalement dû se résoudre à échanger les anneaux non pas sur le fil établi à douze mètres de hauteur, mais suspendus à lui, applaudis par un public bon enfant.

Le tout devant un faux prêtre de l'équipe, et le vrai maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (UMP), qui pour se prêter au jeu avait accepté de monter dans la nacelle d'un camion élévateur ceint de son écharpe tricolore.

L'original toujours visible

Le maire invité les Toulousains à «aller voir la photo originale de Dieuzaide, exposée pour quelques semaines encore à la galerie du Château d'Eau».

Le 22 mai 1954, place du Capitole un couple de funambules s'était marié sur un fil avec 20.000 personnes pour témoins, et Jean Dieuzaide avait photographié la scène, hissé sur les épaules du père de la mariée en bout de câble.

Une photo qui a fait le tour du monde et dont l'association Pyrénaline veut tirer un documentaire intitulé «sur les pas de Jean Dieuzaide».

Dieuzaide, mort en 2003 à l'âge de 82 ans, était devenu célèbre pour ses clichés de De Gaulle dès la Libération ou pour ses portraits de Salvador Dali. Photographe de l'Espagne, du Portugal, de la Turquie mais aussi de sa ville, Toulouse, il a laissé un fonds riche d'un million de négatifs environ.


Avec une réussite mitigée. Est-ce dû à la «slackline» infiniment plus élastique que le câble en acier d'il y a 60 ans et à l'absence de balancier, qui induisent une technique complètement différente, ou bien au trac d'opérer devant des centaines de spectateurs, les héros du jour ont fait plusieurs chutes heureusement limitées par les mousquetons les reliant à la ligne sur laquelle ils devaient se rejoindre.

Paul-Antoine, dans une encombrante robe de mariée et Rémy en costume, ont finalement dû se résoudre à échanger les anneaux non pas sur le fil établi à douze mètres de hauteur, mais suspendus à lui, applaudis par un public bon enfant.

Le tout devant un faux prêtre de l'équipe, et le vrai maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (UMP), qui pour se prêter au jeu avait accepté de monter dans la nacelle d'un camion élévateur ceint de son écharpe tricolore.

L'original toujours visible

Le maire invité les Toulousains à «aller voir la photo originale de Dieuzaide, exposée pour quelques semaines encore à la galerie du Château d'Eau».

Le 22 mai 1954, place du Capitole un couple de funambules s'était marié sur un fil avec 20.000 personnes pour témoins, et Jean Dieuzaide avait photographié la scène, hissé sur les épaules du père de la mariée en bout de câble.

Une photo qui a fait le tour du monde et dont l'association Pyrénaline veut tirer un documentaire intitulé «sur les pas de Jean Dieuzaide».

Dieuzaide, mort en 2003 à l'âge de 82 ans, était devenu célèbre pour ses clichés de De Gaulle dès la Libération ou pour ses portraits de Salvador Dali. Photographe de l'Espagne, du Portugal, de la Turquie mais aussi de sa ville, Toulouse, il a laissé un fonds riche d'un million de négatifs environ.


Avec une réussite mitigée. Est-ce dû à la «slackline» infiniment plus élastique que le câble en acier d'il y a 60 ans et à l'absence de balancier, qui induisent une technique complètement différente, ou bien au trac d'opérer devant des centaines de spectateurs, les héros du jour ont fait plusieurs chutes heureusement limitées par les mousquetons les reliant à la ligne sur laquelle ils devaient se rejoindre.

Paul-Antoine, dans une encombrante robe de mariée et Rémy en costume, ont finalement dû se résoudre à échanger les anneaux non pas sur le fil établi à douze mètres de hauteur, mais suspendus à lui, applaudis par un public bon enfant.

Le tout devant un faux prêtre de l'équipe, et le vrai maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (UMP), qui pour se prêter au jeu avait accepté de monter dans la nacelle d'un camion élévateur ceint de son écharpe tricolore.

L'original toujours visible

Le maire invité les Toulousains à «aller voir la photo originale de Dieuzaide, exposée pour quelques semaines encore à la galerie du Château d'Eau».

Le 22 mai 1954, place du Capitole un couple de funambules s'était marié sur un fil avec 20.000 personnes pour témoins, et Jean Dieuzaide avait photographié la scène, hissé sur les épaules du père de la mariée en bout de câble.

Une photo qui a fait le tour du monde et dont l'association Pyrénaline veut tirer un documentaire intitulé «sur les pas de Jean Dieuzaide».

Dieuzaide, mort en 2003 à l'âge de 82 ans, était devenu célèbre pour ses clichés de De Gaulle dès la Libération ou pour ses portraits de Salvador Dali. Photographe de l'Espagne, du Portugal, de la Turquie mais aussi de sa ville, Toulouse, il a laissé un fonds riche d'un million de négatifs environ.

Jean-Luc Moudenc

Avec une réussite mitigée. Est-ce dû à la «slackline» infiniment plus élastique que le câble en acier d'il y a 60 ans et à l'absence de balancier, qui induisent une technique complètement différente, ou bien au trac d'opérer devant des centaines de spectateurs, les héros du jour ont fait plusieurs chutes heureusement limitées par les mousquetons les reliant à la ligne sur laquelle ils devaient se rejoindre.

Paul-Antoine, dans une encombrante robe de mariée et Rémy en costume, ont finalement dû se résoudre à échanger les anneaux non pas sur le fil établi à douze mètres de hauteur, mais suspendus à lui, applaudis par un public bon enfant.

Le tout devant un faux prêtre de l'équipe, et le vrai maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (UMP), qui pour se prêter au jeu avait accepté de monter dans la nacelle d'un camion élévateur ceint de son écharpe tricolore.

L'original toujours visible

Le maire invité les Toulousains à «aller voir la photo originale de Dieuzaide, exposée pour quelques semaines encore à la galerie du Château d'Eau».

Le 22 mai 1954, place du Capitole un couple de funambules s'était marié sur un fil avec 20.000 personnes pour témoins, et Jean Dieuzaide avait photographié la scène, hissé sur les épaules du père de la mariée en bout de câble.

Une photo qui a fait le tour du monde et dont l'association Pyrénaline veut tirer un documentaire intitulé «sur les pas de Jean Dieuzaide».

Dieuzaide, mort en 2003 à l'âge de 82 ans, était devenu célèbre pour ses clichés de De Gaulle dès la Libération ou pour ses portraits de Salvador Dali. Photographe de l'Espagne, du Portugal, de la Turquie mais aussi de sa ville, Toulouse, il a laissé un fonds riche d'un million de négatifs environ.


Avec une réussite mitigée. Est-ce dû à la «slackline» infiniment plus élastique que le câble en acier d'il y a 60 ans et à l'absence de balancier, qui induisent une technique complètement différente, ou bien au trac d'opérer devant des centaines de spectateurs, les héros du jour ont fait plusieurs chutes heureusement limitées par les mousquetons les reliant à la ligne sur laquelle ils devaient se rejoindre.

Paul-Antoine, dans une encombrante robe de mariée et Rémy en costume, ont finalement dû se résoudre à échanger les anneaux non pas sur le fil établi à douze mètres de hauteur, mais suspendus à lui, applaudis par un public bon enfant.

Le tout devant un faux prêtre de l'équipe, et le vrai maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (UMP), qui pour se prêter au jeu avait accepté de monter dans la nacelle d'un camion élévateur ceint de son écharpe tricolore.

L'original toujours visible

Le maire invité les Toulousains à «aller voir la photo originale de Dieuzaide, exposée pour quelques semaines encore à la galerie du Château d'Eau».

Le 22 mai 1954, place du Capitole un couple de funambules s'était marié sur un fil avec 20.000 personnes pour témoins, et Jean Dieuzaide avait photographié la scène, hissé sur les épaules du père de la mariée en bout de câble.

Une photo qui a fait le tour du monde et dont l'association Pyrénaline veut tirer un documentaire intitulé «sur les pas de Jean Dieuzaide».

Dieuzaide, mort en 2003 à l'âge de 82 ans, était devenu célèbre pour ses clichés de De Gaulle dès la Libération ou pour ses portraits de Salvador Dali. Photographe de l'Espagne, du Portugal, de la Turquie mais aussi de sa ville, Toulouse, il a laissé un fonds riche d'un million de négatifs environ.


Avec une réussite mitigée. Est-ce dû à la «slackline» infiniment plus élastique que le câble en acier d'il y a 60 ans et à l'absence de balancier, qui induisent une technique complètement différente, ou bien au trac d'opérer devant des centaines de spectateurs, les héros du jour ont fait plusieurs chutes heureusement limitées par les mousquetons les reliant à la ligne sur laquelle ils devaient se rejoindre.

Paul-Antoine, dans une encombrante robe de mariée et Rémy en costume, ont finalement dû se résoudre à échanger les anneaux non pas sur le fil établi à douze mètres de hauteur, mais suspendus à lui, applaudis par un public bon enfant.

Le tout devant un faux prêtre de l'équipe, et le vrai maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (UMP), qui pour se prêter au jeu avait accepté de monter dans la nacelle d'un camion élévateur ceint de son écharpe tricolore.

L'original toujours visible

Le maire invité les Toulousains à «aller voir la photo originale de Dieuzaide, exposée pour quelques semaines encore à la galerie du Château d'Eau».

Le 22 mai 1954, place du Capitole un couple de funambules s'était marié sur un fil avec 20.000 personnes pour témoins, et Jean Dieuzaide avait photographié la scène, hissé sur les épaules du père de la mariée en bout de câble.

Une photo qui a fait le tour du monde et dont l'association Pyrénaline veut tirer un documentaire intitulé «sur les pas de Jean Dieuzaide».

Dieuzaide, mort en 2003 à l'âge de 82 ans, était devenu célèbre pour ses clichés de De Gaulle dès la Libération ou pour ses portraits de Salvador Dali. Photographe de l'Espagne, du Portugal, de la Turquie mais aussi de sa ville, Toulouse, il a laissé un fonds riche d'un million de négatifs environ.

galerie du Château d'Eau

Avec une réussite mitigée. Est-ce dû à la «slackline» infiniment plus élastique que le câble en acier d'il y a 60 ans et à l'absence de balancier, qui induisent une technique complètement différente, ou bien au trac d'opérer devant des centaines de spectateurs, les héros du jour ont fait plusieurs chutes heureusement limitées par les mousquetons les reliant à la ligne sur laquelle ils devaient se rejoindre.

Paul-Antoine, dans une encombrante robe de mariée et Rémy en costume, ont finalement dû se résoudre à échanger les anneaux non pas sur le fil établi à douze mètres de hauteur, mais suspendus à lui, applaudis par un public bon enfant.

Le tout devant un faux prêtre de l'équipe, et le vrai maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (UMP), qui pour se prêter au jeu avait accepté de monter dans la nacelle d'un camion élévateur ceint de son écharpe tricolore.

L'original toujours visible

Le maire invité les Toulousains à «aller voir la photo originale de Dieuzaide, exposée pour quelques semaines encore à la galerie du Château d'Eau».

Le 22 mai 1954, place du Capitole un couple de funambules s'était marié sur un fil avec 20.000 personnes pour témoins, et Jean Dieuzaide avait photographié la scène, hissé sur les épaules du père de la mariée en bout de câble.

Une photo qui a fait le tour du monde et dont l'association Pyrénaline veut tirer un documentaire intitulé «sur les pas de Jean Dieuzaide».

Dieuzaide, mort en 2003 à l'âge de 82 ans, était devenu célèbre pour ses clichés de De Gaulle dès la Libération ou pour ses portraits de Salvador Dali. Photographe de l'Espagne, du Portugal, de la Turquie mais aussi de sa ville, Toulouse, il a laissé un fonds riche d'un million de négatifs environ.


Avec une réussite mitigée. Est-ce dû à la «slackline» infiniment plus élastique que le câble en acier d'il y a 60 ans et à l'absence de balancier, qui induisent une technique complètement différente, ou bien au trac d'opérer devant des centaines de spectateurs, les héros du jour ont fait plusieurs chutes heureusement limitées par les mousquetons les reliant à la ligne sur laquelle ils devaient se rejoindre.

Paul-Antoine, dans une encombrante robe de mariée et Rémy en costume, ont finalement dû se résoudre à échanger les anneaux non pas sur le fil établi à douze mètres de hauteur, mais suspendus à lui, applaudis par un public bon enfant.

Le tout devant un faux prêtre de l'équipe, et le vrai maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (UMP), qui pour se prêter au jeu avait accepté de monter dans la nacelle d'un camion élévateur ceint de son écharpe tricolore.

L'original toujours visible

Le maire invité les Toulousains à «aller voir la photo originale de Dieuzaide, exposée pour quelques semaines encore à la galerie du Château d'Eau».

Le 22 mai 1954, place du Capitole un couple de funambules s'était marié sur un fil avec 20.000 personnes pour témoins, et Jean Dieuzaide avait photographié la scène, hissé sur les épaules du père de la mariée en bout de câble.

Une photo qui a fait le tour du monde et dont l'association Pyrénaline veut tirer un documentaire intitulé «sur les pas de Jean Dieuzaide».

Dieuzaide, mort en 2003 à l'âge de 82 ans, était devenu célèbre pour ses clichés de De Gaulle dès la Libération ou pour ses portraits de Salvador Dali. Photographe de l'Espagne, du Portugal, de la Turquie mais aussi de sa ville, Toulouse, il a laissé un fonds riche d'un million de négatifs environ.


Avec une réussite mitigée. Est-ce dû à la «slackline» infiniment plus élastique que le câble en acier d'il y a 60 ans et à l'absence de balancier, qui induisent une technique complètement différente, ou bien au trac d'opérer devant des centaines de spectateurs, les héros du jour ont fait plusieurs chutes heureusement limitées par les mousquetons les reliant à la ligne sur laquelle ils devaient se rejoindre.

Paul-Antoine, dans une encombrante robe de mariée et Rémy en costume, ont finalement dû se résoudre à échanger les anneaux non pas sur le fil établi à douze mètres de hauteur, mais suspendus à lui, applaudis par un public bon enfant.

Le tout devant un faux prêtre de l'équipe, et le vrai maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (UMP), qui pour se prêter au jeu avait accepté de monter dans la nacelle d'un camion élévateur ceint de son écharpe tricolore.

L'original toujours visible

Le maire invité les Toulousains à «aller voir la photo originale de Dieuzaide, exposée pour quelques semaines encore à la galerie du Château d'Eau».

Le 22 mai 1954, place du Capitole un couple de funambules s'était marié sur un fil avec 20.000 personnes pour témoins, et Jean Dieuzaide avait photographié la scène, hissé sur les épaules du père de la mariée en bout de câble.

Une photo qui a fait le tour du monde et dont l'association Pyrénaline veut tirer un documentaire intitulé «sur les pas de Jean Dieuzaide».

Dieuzaide, mort en 2003 à l'âge de 82 ans, était devenu célèbre pour ses clichés de De Gaulle dès la Libération ou pour ses portraits de Salvador Dali. Photographe de l'Espagne, du Portugal, de la Turquie mais aussi de sa ville, Toulouse, il a laissé un fonds riche d'un million de négatifs environ.

Pyrénaline

Avec une réussite mitigée. Est-ce dû à la «slackline» infiniment plus élastique que le câble en acier d'il y a 60 ans et à l'absence de balancier, qui induisent une technique complètement différente, ou bien au trac d'opérer devant des centaines de spectateurs, les héros du jour ont fait plusieurs chutes heureusement limitées par les mousquetons les reliant à la ligne sur laquelle ils devaient se rejoindre.

Paul-Antoine, dans une encombrante robe de mariée et Rémy en costume, ont finalement dû se résoudre à échanger les anneaux non pas sur le fil établi à douze mètres de hauteur, mais suspendus à lui, applaudis par un public bon enfant.

Le tout devant un faux prêtre de l'équipe, et le vrai maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (UMP), qui pour se prêter au jeu avait accepté de monter dans la nacelle d'un camion élévateur ceint de son écharpe tricolore.

L'original toujours visible

Le maire invité les Toulousains à «aller voir la photo originale de Dieuzaide, exposée pour quelques semaines encore à la galerie du Château d'Eau».

Le 22 mai 1954, place du Capitole un couple de funambules s'était marié sur un fil avec 20.000 personnes pour témoins, et Jean Dieuzaide avait photographié la scène, hissé sur les épaules du père de la mariée en bout de câble.

Une photo qui a fait le tour du monde et dont l'association Pyrénaline veut tirer un documentaire intitulé «sur les pas de Jean Dieuzaide».

Dieuzaide, mort en 2003 à l'âge de 82 ans, était devenu célèbre pour ses clichés de De Gaulle dès la Libération ou pour ses portraits de Salvador Dali. Photographe de l'Espagne, du Portugal, de la Turquie mais aussi de sa ville, Toulouse, il a laissé un fonds riche d'un million de négatifs environ.

sur les pas de Jean Dieuzaide

Avec une réussite mitigée. Est-ce dû à la «slackline» infiniment plus élastique que le câble en acier d'il y a 60 ans et à l'absence de balancier, qui induisent une technique complètement différente, ou bien au trac d'opérer devant des centaines de spectateurs, les héros du jour ont fait plusieurs chutes heureusement limitées par les mousquetons les reliant à la ligne sur laquelle ils devaient se rejoindre.

Paul-Antoine, dans une encombrante robe de mariée et Rémy en costume, ont finalement dû se résoudre à échanger les anneaux non pas sur le fil établi à douze mètres de hauteur, mais suspendus à lui, applaudis par un public bon enfant.

Le tout devant un faux prêtre de l'équipe, et le vrai maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (UMP), qui pour se prêter au jeu avait accepté de monter dans la nacelle d'un camion élévateur ceint de son écharpe tricolore.

L'original toujours visible

Le maire invité les Toulousains à «aller voir la photo originale de Dieuzaide, exposée pour quelques semaines encore à la galerie du Château d'Eau».

Le 22 mai 1954, place du Capitole un couple de funambules s'était marié sur un fil avec 20.000 personnes pour témoins, et Jean Dieuzaide avait photographié la scène, hissé sur les épaules du père de la mariée en bout de câble.

Une photo qui a fait le tour du monde et dont l'association Pyrénaline veut tirer un documentaire intitulé «sur les pas de Jean Dieuzaide».

Dieuzaide, mort en 2003 à l'âge de 82 ans, était devenu célèbre pour ses clichés de De Gaulle dès la Libération ou pour ses portraits de Salvador Dali. Photographe de l'Espagne, du Portugal, de la Turquie mais aussi de sa ville, Toulouse, il a laissé un fonds riche d'un million de négatifs environ.


Avec une réussite mitigée. Est-ce dû à la «slackline» infiniment plus élastique que le câble en acier d'il y a 60 ans et à l'absence de balancier, qui induisent une technique complètement différente, ou bien au trac d'opérer devant des centaines de spectateurs, les héros du jour ont fait plusieurs chutes heureusement limitées par les mousquetons les reliant à la ligne sur laquelle ils devaient se rejoindre.

Paul-Antoine, dans une encombrante robe de mariée et Rémy en costume, ont finalement dû se résoudre à échanger les anneaux non pas sur le fil établi à douze mètres de hauteur, mais suspendus à lui, applaudis par un public bon enfant.

Le tout devant un faux prêtre de l'équipe, et le vrai maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (UMP), qui pour se prêter au jeu avait accepté de monter dans la nacelle d'un camion élévateur ceint de son écharpe tricolore.

L'original toujours visible

Le maire invité les Toulousains à «aller voir la photo originale de Dieuzaide, exposée pour quelques semaines encore à la galerie du Château d'Eau».

Le 22 mai 1954, place du Capitole un couple de funambules s'était marié sur un fil avec 20.000 personnes pour témoins, et Jean Dieuzaide avait photographié la scène, hissé sur les épaules du père de la mariée en bout de câble.

Une photo qui a fait le tour du monde et dont l'association Pyrénaline veut tirer un documentaire intitulé «sur les pas de Jean Dieuzaide».

Dieuzaide, mort en 2003 à l'âge de 82 ans, était devenu célèbre pour ses clichés de De Gaulle dès la Libération ou pour ses portraits de Salvador Dali. Photographe de l'Espagne, du Portugal, de la Turquie mais aussi de sa ville, Toulouse, il a laissé un fonds riche d'un million de négatifs environ.

Salvador Dali

Avec une réussite mitigée. Est-ce dû à la «slackline» infiniment plus élastique que le câble en acier d'il y a 60 ans et à l'absence de balancier, qui induisent une technique complètement différente, ou bien au trac d'opérer devant des centaines de spectateurs, les héros du jour ont fait plusieurs chutes heureusement limitées par les mousquetons les reliant à la ligne sur laquelle ils devaient se rejoindre.

Paul-Antoine, dans une encombrante robe de mariée et Rémy en costume, ont finalement dû se résoudre à échanger les anneaux non pas sur le fil établi à douze mètres de hauteur, mais suspendus à lui, applaudis par un public bon enfant.

Le tout devant un faux prêtre de l'équipe, et le vrai maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (UMP), qui pour se prêter au jeu avait accepté de monter dans la nacelle d'un camion élévateur ceint de son écharpe tricolore.

L'original toujours visible

Le maire invité les Toulousains à «aller voir la photo originale de Dieuzaide, exposée pour quelques semaines encore à la galerie du Château d'Eau».

Le 22 mai 1954, place du Capitole un couple de funambules s'était marié sur un fil avec 20.000 personnes pour témoins, et Jean Dieuzaide avait photographié la scène, hissé sur les épaules du père de la mariée en bout de câble.

Une photo qui a fait le tour du monde et dont l'association Pyrénaline veut tirer un documentaire intitulé «sur les pas de Jean Dieuzaide».

Dieuzaide, mort en 2003 à l'âge de 82 ans, était devenu célèbre pour ses clichés de De Gaulle dès la Libération ou pour ses portraits de Salvador Dali. Photographe de l'Espagne, du Portugal, de la Turquie mais aussi de sa ville, Toulouse, il a laissé un fonds riche d'un million de négatifs environ.