Certains quartiers sont victimes de leur attractivité
rentréePrès de 31 000 petits Toulousains ont fait leur rentrée mardi dans une école de la Ville rose, près de 5 % de plus que l'an passé. «Cette hausse est particulierement significative chez les primaires. Pendant des années, nous avons eu des familles qui s'installaient à Toulouse, scolarisaient leurs enfants en maternelle, puis partaient en périphérie. Aujourd'hui ils se stabilisent à Toulouse», avance Gisèle Verniol, l'adjointe à l'Education. Cette attractivité se traduit par une forte demande d'inscriptions, notamment à Saint-Simon ou Borderouge. En attendant la création de groupes scolaires dans ces deux zones, prévue d'ici trois à quatre ans, certaines classes sont en sureffectif, atteignant parfois près de 32 élèves et patientant dans des préfabriqués.