VIDEO. Stéphane Guillon sait pourquoi Thierry Ardisson le déteste: «Il envie ma liberté»
GUEGUERRE•Traité de « connard » la semaine dernière par Thierry Ardisson, Stéphane Guillon a une petite idée de ce qui alimente l’aigreur de son ancien patron envers lui…C.B.
Quelque chose nous dit que le torchon n’est pas près de s’arrêter de brûler. La guerre par écrans interposés avait commencé le 13 mars dans C à vous. Stéphane Guillon accusait Thierry Ardisson d’être « ringard » (parce qu’il dit « ça roule ma poule ») et de servir des « pleurs sur commande ». Des propos qui n’avaient pas beaucoup fait rire le présentateur de Salut les Terriens, qui lui avait répondu vertement.
Le lendemain, Thierry Ardisson publiait un communiqué dans lequel il écrivait : « Après ton échec au cinéma, puis ton échec au théâtre, il ne te reste plus que l’invention de fake news pour exister médiatiquement. En dix ans, tu n’as jamais participé à aucune conférence de Salut les terriens et tu n’as pas davantage été présent lors des tournages des témoignages. »
L’animateur écrivait ensuite : « Tu gagnais 10.000 euros par semaine et je comprends qu’aujourd’hui cela te manque cruellement. Mais de là à mentir et à me dénigrer sans raison et sans preuve, il y a une limite que tu franchis dans la honte. » Visiblement très énervé, il poursuivait l’offensive le samedi suivant dans son émission en traitant son ancien chroniqueur de « connard »
« On était assez proches »
C’est désormais au tour de Stéphane Guillon de répondre à la réponse (vous suivez toujours ?) de son ancien patron. Dans Télé Loisirs, l’humoriste a critiqué la « la surenchère verbale » d’Ardisson, même s’il estime qu’ils se ressemblent. « On est assez proches, en tout cas on était assez proches, lui et moi, dans notre ADN, dans notre façon de dire les choses. »
A quelques détails près : Le travail de Thierry Ardisson n’a pas beaucoup évolué depuis pas mal de temps, alors que Stéphane Guillon est indépendant. « S’il surréagit à ce point-là, c’est qu’il envie je pense ma liberté. Et que cette liberté-là, lui, pour des raisons économiques, pour des raisons de pouvoir il sait, parce que c’est quelqu’un d’intelligent, il sait qu’il l’a perdue. »