VOUS TEMOIGNEZVIDEO. «Le journal de Pernaut est plus positif que celui de 20 Heures»

VIDEO. Trente ans du JT de Jean-Pierre Pernaut: «Son journal est bien plus positif que celui de 20 heures»

VOUS TEMOIGNEZLes internautes expliquent pourquoi ils sont fans du JT de «13 Heures» de TF1…
Charlotte Murat

Charlotte Murat

L'essentiel

  • Jean-Pierre Pernaut est la tête du JT de «13 Heures» de TF1 depuis le 22 février 1988, soit trente ans tout pile.
  • Nous avons demandé à nos internautes pourquoi ils aiment tant ce journal télévisé.
  • Ils apprécient bien sûr les reportages dans les régions de France, marque de fabrique du journal, mais également la personnalité de Jean-Pierre Pernaut.
  • Il apparaît comme un homme sympathique, proche de son public et qui ose dire les choses.

Il rassemble tous les jours plus de 5 millions de téléspectateurs et parfois jusqu’à près de 7 millions. Le JT de « 13 Heures » de TF1 est une institution et le doit sans doute beaucoup à Jean-Pierre Pernaut. A 67 ans (il aura 68 ans le 8 avril si vous voulez lui envoyer vos vœux), le journaliste a célébré ce jeudi ses 30 ans à la présentation du journal de la mi-journée.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Trente ans d’information, mais également trente ans d’amour de son public. Parce qu’ils l’aiment leur JPP, les téléspectateurs de TF1. Ou plutôt les téléspectatrices, car, à quelques exceptions près, ce ne sont que des femmes qui ont répondu à notre appel sur la page Facebook de 20 Minutes. Et si Alain, un homme, donc, y est allé de son commentaire, c’est pour rappeler à quel point sa grand-mère était fière de déclarer « c’est le frère de mon docteur ».

« Des activités anciennes méconnues »

Nos internautes sont unanimes, ce sont les reportages sur les régions de France font le succès du journal. « C’est le seul JT qui parle de la France et des Français, et pas seulement des politicards qui n’en ont rien à faire de nous », déclare sans concession Corinne. « On découvre des endroits de France et des activités anciennes méconnues, ajoute Nathalie.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Une marque de fabrique maintes fois caricaturée par les « Guignols ».

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Mais ce serait oublier que pour ses téléspectateurs, « ça fait du bien de ne pas entendre parler que de guerre », précise Nathalie. « Son journal est bien plus positif que celui de "20 Heures" », note Sandrine, tandis qu’Odile le qualifie de « bulle d’air ». La personnalité de Jean-Pierre Pernaut est également appréciée du public. « C’est un présentateur naturel et humain. Il est simple, sympathique. On a l’impression que c’est un copain [de longue date maintenant] qui présente le journal », détaille Yvanne. Rose se souvient de son hommage à un journaliste de la rédaction décédé d’un cancer : « Ça prouve son grand cœur et ses valeurs. »

« Notre ami et journaliste Frédéric Bernheim nous a quittés. Au nom de toute la rédaction de @TF1, nous pensons fort à lui et à ses proches. pic.twitter.com/nnZd3pbhex — #30AnsPernaut (@TF1LeJT) 10 mars 2017 »

Dernière qualité appréciée des téléspectateurs, le franc-parler de Jean-Pierre Pernaut. « Il ose dire ce que bien des gens pensent tout bas », affirme Chantal. Sa sortie assumée sur les migrants valut tout de même à TF1 un rappel à l’ordre du CSA. « Il est irremplaçable, conclut Jeannine. Bien des jeunes journalistes pourraient prendre exemple sur lui. » On prend note.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

«Jean-Pierre, le penalty, c’était moi »

Bruno Cauwet était au pensionnaire avec Jean-Pierre Pernaut dans les années 1960. « Nous étions à la Cité Scolaire à Amiens, qui s’appelle désormais le lycée Louis-Thuillier. Nous étions au même niveau, mais n’avons jamais été dans la même classe. Je pense qu’il se souvient de moi. Surtout pour une certaine partie de foot de l’étude 12 contre l’étude 13. Il jouait arrière et moi avant. J’ai simulé une faute et il y a eu penalty contre lui. Il était très en colère contre moi. Je ne me suis jamais excusé face à lui, mais je suis certain qu’il appréciera mon repentir. Nous ne nous sommes jamais recroisés. Je l’ai vu une fois par hasard au Salon de l’auto à Paris, mais il était entouré de tellement de gens que je n’ai pas osé le déranger. Je suis à la retraite maintenant, du coup je regarde son journal tous les jours. Il a très bien vieilli. »