COUP DE GUEULE«C à vous»: Michel Cymes est en colère contre «Télérama»

«C à vous»: Michel Cymes est très remonté contre une journaliste de «Télérama»

COUP DE GUEULELe chroniqueur et médecin Michel Cymes a poussé un coup de gueule contre une journaliste de « Télérama » qui n’a visiblement pas apprécié son documentaire sur les médecins d’Auschwitz…
Emma Ferrand

Emma Ferrand

Le ton est monté ce mardi soir sur le plateau de C à vous. Michel Cymes, médecin et animateur était invité pour faire la promotion de son documentaire diffusé le soir même à 22h45 sur France 2, intitulé « Hippocrate aux enfers ». Un récit adapté de son livre, qui s’est vendu à plus de 150.000 exemplaires.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Dans ce film, Michel Cymes retrace les années de la Seconde Guerre mondiale, période à laquelle de nombreux médecins ont été ralliés à l’idéologie nazie. La suite de l’histoire, on la connaît, des milliers de morts, et un serment d’Hippocrate rompu.

Un coup de gueule contre Télérama

Pourtant, ce documentaire ne semble pas avoir plu à tout le monde, et certaines critiques ont froissé Michel Cymes. « La journaliste de Télérama utilise deux phrases et deux mots que je n’accepte pas », explique-t-il. « D’abord, quand elle dit “pour la énième fois un documentaire sur les médecins nazis” : soit elle est agrégée d’histoire et à ce moment-là, elle n’apprend rien… Et “la mise en scène outrée de l’indignation de Michel Cymes” : qui est-elle pour juger de la sincérité de mes sentiments ? Pour qui se prend Télérama pour se permettre de savoir si je suis sincère dans mon indignation et dans ma souffrance ? Je leur interdis de se mettre à ma place »

Un coup de massue pour le médecin, également petit-fils de déportés, qui confie au début de son documentaire avoir eu beaucoup de mal « à franchir les portes d’Auschwitz ».