VIDEO. Jean-Marc Généreux s'est «surpris à faire des choses comestibles dans "Le meilleur pâtissier"»
INTERVIEW•Le juge de «Danse avec les stars» participe au concours culinaire de M6 spécial célébrités...Propos recueillis par Fabien Randanne
Des entrechats aux entremets… Jean-Marc Généreux se lance ce mercredi, à 21 heures, dans la compétition du Meilleur pâtissier spécial célébrités sur M6. Aux côtés de Hélène Ségara, Camille Cerf, Ariane Brodier et Vincent Moscato, le juge hyperactif de Danse avec les stars tentera de séduire les papilles de Mercotte et Cyril Lignac. Interview éclair (au café) avec 20 Minutes.
On vous sait brillant sur les pistes de danse mais on ne vous imagine pas forcément derrière les fourneaux. C’est un endroit où vous vous sentez à l’aise ?
Je ne m’y imaginais pas moi non plus ! Je me voyais plus comme spectateur que comme maître d’oeuvre, mais quand on m’a proposé de faire l’émission, je me suis dit que ça rendrait ma maman très heureuse de me voir me frotter à ce métier. Et puis j’aime les défis ! Quand je m’engage dans quelque chose, j’y vais à fond et, vous allez voir, ça va être drôle.
TF1 n’a pas trop rechigné à vous donner le feu vert pour concourir sur M6 ?
Non, ça s’est fait facilement. Ils étaient contents pour moi. Je suis un peu un électron libre. J’aime me mettre au défi quand une opportunité se présente. J’ai fait des petites choses un peu sur toutes les chaînes, mais je sais que je vais revenir au bercail. J’ai tourné dans un film de Thomas Langmann [Stars 80, la suite] qui devrait être à l’affiche cet automne. J’ai vraiment adoré. Le cinéma, c’est l’une des voies que j’aimerais emprunter. J’espère que TF1 va me proposer des fictions, si j’ai des propositions d’autres chaînes pour jouer la comédie, je les étudierais aussi.
En attendant, vous vous êtes découvert un don pour la pâtisserie ?
Je me suis surpris à faire des choses comestibles (il rit). J’étais entouré de personnes incroyables et les autres concurrents sont des copains. C’était une compétition amicale, on s’entraidait et j’en avais bien besoin !
Quels étaient les candidats les plus impressionnants ?
Les trois filles ! Ce qu’elles réalisaient était magnifique et très savoureux. Elles sont très douées. Vincent et moi, on était pas à ce niveau (il rit).
Il paraît que vous aviez un petit peu peur de Mercotte…
« Un petit peu », c’est peu dire. Les deux me faisaient peur. Cyril Lignac est une pointure incroyable et Mercotte, c’est comme la prof de français qui connaît toutes les règles d’orthographe, de grammaire, de syntaxe : tu as envie de l’écouter plutôt que d’argumenter sur son savoir.
Comment vous êtes vous préparé ?
J’ai eu un mois et quand j’ai commencé, j’ai réalisé que je ne connaissais rien, que je partais de zéro. La pâtisserie, c’est un peu de la chimie. Il y a beaucoup de place pour l’imagination, mais la confection d’une recette ne peut pas varier d’un iota, sinon ça risque d’être trop cuit, trop amer… Il faut être capable de tout équilibrer. C’est comme dans la danse, on peut s’exprimer, avoir des idées chorégraphiques, mais il faut tenir sur ses pieds. Le côté technique est très important pour pouvoir s’exprimer.
Vous avez apporté une touche québécoise à vos recettes ?
Sans rien révéler de trop important, la première épreuve était sur le thème de l’enfance. Moi, mon enfance, je l’ai vécue au Québec, donc on est allé dans les saveurs qui me touchent et me rappellent les moments joyeux où je regardais ma mère faire des pâtisserie, quand je passais le doigt dans le bol pour voler quelques saveurs…
Depuis la fin du tournage, vous faites un peu de pâtisserie ?
Bizarrement, mes proches me demandaient parfois de peindre pour eux ou de réaliser des costumes de scène, maintenant, ils veulent que je leur fasse des gâteaux, je trouve ça tellement drôle ! Quant à ma spécialité, je dirais que mon gâteau aux noix de pécan et aux épices n’est pas mal du tout. Vous verrez dans l’émission que ce n’est pas si facile !