Elle était venue mercredi soir dans C à vous sur France 5 pour parler de la campagne d’été du Secours populaire, avec Julien Lauprêtre, président de l’association… Mais la journaliste Valérie Trierweiler, ancienne compagne du président Hollande, a été interrogée sur d’autres sujets, ce qui l’a bien agacé.

« Je ne suis pas venu pour parler de ce livre »

Sitôt arrivée sur le plateau, Valérie Trierweiler se voit demander par l’animatrice Anne-Sophie Lapix si elle aurait pu faire l’objet d’écoutes de la NSA, lors de sa relation avec François Hollande. On sent déjà pointer l’agacement de Valérie Trierweiler. Lapix enchaîne les questions sur son best-seller, Merci pour ce moment, vendu à 800.000 exemplaires : « On aurait aimé vous avoir sur ce plateau au moment de la sortie du livre, pourquoi vous n’êtes pas venue ? Le succès de votre livre vous l’avez vécu comme un soutien ? » Valérie Trierweiler : « Oui, mais je ne suis pas venu pour parler de ce livre, il est derrière moi. »

Puis la journaliste est interrogée sur la politique de François Hollande et sur le gouvernement. Valérie Trierweiler insiste : « Je suis là pour parler des gens qui ont besoin de notre aide et des enfants qui ont besoin de vacances parce que les parents n’ont pas de travail. » La chroniqueuse Anne-Elisabeth Lemoine la relance sur l’adaptation de Merci pour ce moment au cinéma. Valérie Trierweiler répond encore : « Je ne suis pas là pour parler de ça, mais des enfants et du Secours Populaire. »

« Aujourd’hui je suis dans une autre vie »

Enfin à l’évocation de Twitter, Anne-Sophie Lapix parle d'« une mésaventure avec un tweet », référence insidieuse au tweet de soutien de Trierweiler à Falorni en 2012. Là, Valérie Trierweiler s’agace véritablement : « Mais pendant combien de temps on va revenir sur le passé ? Je veux bien qu’on me reproche de ne pas dépasser les événements, mais vous m’y ramenez sans arrêt. Aujourd’hui je suis dans une autre vie. »

Si Valérie Trierweiler avait consulté le site Internet de France 5, elle se serait aperçue qu’elle y est toujours désignée comme la « première Dame, compagne du Président François Hollande. »