DOCUMENTAIRE«Love me Tinder»: Les jeux de l’amour et de la drague filmés par deux célibataires

«Love me Tinder»: Les jeux de l’amour et de la drague filmés par deux célibataires

DOCUMENTAIREDans ce programme malicieux et sincère diffusé lundi soir sur France 4, les deux journalistes France Ortelli et Thomas Bornot filment leur usage de l’application de rencontres Tinder…
Joel Metreau

Joel Metreau

«J’ai eu 121 matchs», «J’ai pas dormi chez moi hier, merci Tinder»…. Pour parler d’amour et de cul, on n'est jamais mieux placé que soi-même. France 4 diffuse ce soir à 23h15 la première partie du documentaire Love Me Tinder. Un documentaire incarné, vécu et réalisé par deux journalistes parisiens, France Ortelli, 32 ans, et Thomas Bornot, 40 ans. Tous deux célibataires, ils se sont inscrits sur la fameuse application mobile de rencontres.

L'application Tinder. - Yami2 Productions / France 4

Lancé fin 2012 par un Américain, Tinder relaie des informations de base (âge, ville de résidence, goûts et amis communs) depuis le compte Facebook de l'utilisateur lors de son inscription. Mais impossible à ce jour de savoir combien de fois l'appli a été téléchargée… Pourtant, elle aurait réussi à y attirer autant de femmes que d’hommes: «C’est ludique, c'est facile à télécharger, note France Ortelli. Sur un site de rencontres, il faut remplir tout un formulaire, c'est contraignant. Et puis sur Tinder, les meufs n’ont pas l’impression d’être harcelées. Comme c'est lié à Facebook, ça peut rassurer.»

A droite, France Ortelli. - Yami2 Productions / France 4

«C’est devenu un gonzo géant»

«On devait partir de mon histoire, raconte France Ortelli à 20 Minutes. Mais mon coréal était également célibataire au moment du tournage. Il commençait à liker des meufs, alors je me suis dit qu'on allait aussi filmer ce qu'il vit. C’est devenu un gonzo géant. Mais c'est compliqué quand on construit un documentaire, car on ne voulait pas que ça soit juste une succession de rendez-vous.» Du coup, ils ont aussi interviewé des membres de leur entourage qui y ont recours: hommes ou femmes, adolescents, vingtenaires, trentenaires… Ces témoignages ponctuent les expériences de France et Thomas, tout comme des entretiens avec la rédaction du Chasseur français, devenu célèbre pour ses petites annonces matrimoniales...

«On est des cobayes»

Love Me Tinder reste toutefois centré sur les deux réalisateurs, aux échanges complices et malicieux. Ils interrogent aussi les personnes qu’ils rencontrent. France Ortelli filme son flirt avec Jules, 29 ans: cinéma, tour de manège... Plus tard, elle rencontre Jordan à New-York... Un procédé sans pudeur? France Ortelli balance: «Oui, il y a un côté narcissique et égocentrique à la démarche du documentaire. Mais ce qui m’intéresse, c’est de mettre mon vécu au service d’autres personnes, qui peuvent vivre ce genre d’histoires. On est des cobayes.»

Après ces aventures, que pense-t-elle de l'appli? «Elle s’inscrit dans une logique de limiter le risque et la peur. Avec Tinder, pas de râteau. Si la meuf te like pas, tu ne le sauras jamais. Ça reste moins frontal que dans un bar. Et puis, c'est comme un catalogue à dispo, il y en a un million d’autres.» Les nouvelles technologies ont un impact sur la façon d'appréhender l'amour et le sexe. «Au lieu de draguer quelqu'un longtemps et d’engager un processus sentimental, ça enlève le côté engagement. Au pire, on ne se revoit pas, et au mieux peut-être que ça va continuer...»


«C’est devenu un gonzo géant»

«</span>On devait partir de mon histoire, raconte France Ortelli à 20 Minutes. Mais mon coréal était également célibataire au moment du tournage. Il commençait à liker des meufs, alors je me suis dit qu'on allait aussi filmer ce qu'il vit. C’est devenu un gonzo géant. Mais c'est compliqué quand on construit un documentaire, car on ne voulait pas que ça soit juste une succession de rendez-vous.» Du coup, ils ont aussi interviewé des membres de leur entourage qui y ont recours: hommes ou femmes, adolescents, vingtenaires, trentenaires… Ces témoignages ponctuent les expériences de France et Thomas, tout comme des entretiens avec la rédaction du Chasseur français, devenu célèbre pour ses petites annonces matrimoniales...

«On est des cobayes»

Love Me Tinder reste toutefois centré sur les deux réalisateurs, aux échanges complices et malicieux. Ils interrogent aussi les personnes qu’ils rencontrent. France Ortelli filme son flirt avec Jules, 29 ans: cinéma, tour de manège... Plus tard, elle rencontre Jordan à New-York... Un procédé sans pudeur? France Ortelli balance: «Oui, il y a un côté narcissique et égocentrique à la démarche du documentaire. Mais ce qui m’intéresse, c’est de mettre mon vécu au service d’autres personnes, qui peuvent vivre ce genre d’histoires. On est des cobayes.»

Après ces aventures, que pense-t-elle de l'appli? «Elle s’inscrit dans une logique de limiter le risque et la peur. Avec Tinder, pas de râteau. Si la meuf te like pas, tu ne le sauras jamais. Ça reste moins frontal que dans un bar. Et puis, c'est comme un catalogue à dispo, il y en a un million d’autres.» Les nouvelles technologies ont un impact sur la façon d'appréhender l'amour et le sexe. «Au lieu de draguer quelqu'un longtemps et d’engager un processus sentimental, ça enlève le côté engagement. Au pire, on ne se revoit pas, et au mieux peut-être que ça va continuer...»

es entretiens avec la rédaction du Chasseur français,

«C’est devenu un gonzo géant»

«On devait partir de mon histoire, raconte France Ortelli à 20 Minutes. Mais mon coréal était également célibataire au moment du tournage. Il commençait à liker des meufs, alors je me suis dit qu'on allait aussi filmer ce qu'il vit. C’est devenu un gonzo géant. Mais c'est compliqué quand on construit un documentaire, car on ne voulait pas que ça soit juste une succession de rendez-vous.» Du coup, ils ont aussi interviewé des membres de leur entourage qui y ont recours: hommes ou femmes, adolescents, vingtenaires, trentenaires… Ces témoignages ponctuent les expériences de France et Thomas, tout comme des entretiens avec la rédaction du Chasseur français, devenu célèbre pour ses petites annonces matrimoniales...

«On est des cobayes»

Love Me Tinder reste toutefois centré sur les deux réalisateurs, aux échanges complices et malicieux. Ils interrogent aussi les personnes qu’ils rencontrent. France Ortelli filme son flirt avec Jules, 29 ans: cinéma, tour de manège... Plus tard, elle rencontre Jordan à New-York... Un procédé sans pudeur? France Ortelli balance: «Oui, il y a un côté narcissique et égocentrique à la démarche du documentaire. Mais ce qui m’intéresse, c’est de mettre mon vécu au service d’autres personnes, qui peuvent vivre ce genre d’histoires. On est des cobayes.»

Après ces aventures, que pense-t-elle de l'appli? «Elle s’inscrit dans une logique de limiter le risque et la peur. Avec Tinder, pas de râteau. Si la meuf te like pas, tu ne le sauras jamais. Ça reste moins frontal que dans un bar. Et puis, c'est comme un catalogue à dispo, il y en a un million d’autres.» Les nouvelles technologies ont un impact sur la façon d'appréhender l'amour et le sexe. «Au lieu de draguer quelqu'un longtemps et d’engager un processus sentimental, ça enlève le côté engagement. Au pire, on ne se revoit pas, et au mieux peut-être que ça va continuer...»


«C’est devenu un gonzo géant»

«On devait partir de mon histoire, raconte France Ortelli à 20 Minutes. Mais mon coréal était également célibataire au moment du tournage. Il commençait à liker des meufs, alors je me suis dit qu'on allait aussi filmer ce qu'il vit. C’est devenu un gonzo géant. Mais c'est compliqué quand on construit un documentaire, car on ne voulait pas que ça soit juste une succession de rendez-vous.» Du coup, ils ont aussi interviewé des membres de leur entourage qui y ont recours: hommes ou femmes, adolescents, vingtenaires, trentenaires… Ces témoignages ponctuent les expériences de France et Thomas, tout comme des entretiens avec la rédaction du Chasseur français, devenu célèbre pour ses petites annonces matrimoniales...

«On est des cobayes»

Love Me Tinder reste toutefois centré sur les deux réalisateurs, aux échanges complices et malicieux. Ils interrogent aussi les personnes qu’ils rencontrent. France Ortelli filme son flirt avec Jules, 29 ans: cinéma, tour de manège... Plus tard, elle rencontre Jordan à New-York... Un procédé sans pudeur? France Ortelli balance: «Oui, il y a un côté narcissique et égocentrique à la démarche du documentaire. Mais ce qui m’intéresse, c’est de mettre mon vécu au service d’autres personnes, qui peuvent vivre ce genre d’histoires. On est des cobayes.»

Après ces aventures, que pense-t-elle de l'appli? «Elle s’inscrit dans une logique de limiter le risque et la peur. Avec Tinder, pas de râteau. Si la meuf te like pas, tu ne le sauras jamais. Ça reste moins frontal que dans un bar. Et puis, c'est comme un catalogue à dispo, il y en a un million d’autres.» Les nouvelles technologies ont un impact sur la façon d'appréhender l'amour et le sexe. «Au lieu de draguer quelqu'un longtemps et d’engager un processus sentimental, ça enlève le côté engagement. Au pire, on ne se revoit pas, et au mieux peut-être que ça va continuer...»


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C’est devenu un gonzo géant»

«On devait partir de mon histoire, raconte France Ortelli à 20 Minutes. Mais mon coréal était également célibataire au moment du tournage. Il commençait à liker des meufs, alors je me suis dit qu'on allait aussi filmer ce qu'il vit. C’est devenu un gonzo géant. Mais c'est compliqué quand on construit un documentaire, car on ne voulait pas que ça soit juste une succession de rendez-vous.» Du coup, ils ont aussi interviewé des membres de leur entourage qui y ont recours: hommes ou femmes, adolescents, vingtenaires, trentenaires… Ces témoignages ponctuent les expériences de France et Thomas, tout comme des entretiens avec la rédaction du Chasseur français, devenu célèbre pour ses petites annonces matrimoniales...

«On est des cobayes»

Love Me Tinder reste toutefois centré sur les deux réalisateurs, aux échanges complices et malicieux. Ils interrogent aussi les personnes qu’ils rencontrent. France Ortelli filme son flirt avec Jules, 29 ans: cinéma, tour de manège... Plus tard, elle rencontre Jordan à New-York... Un procédé sans pudeur? France Ortelli balance: «Oui, il y a un côté narcissique et égocentrique à la démarche du documentaire. Mais ce qui m’intéresse, c’est de mettre mon vécu au service d’autres personnes, qui peuvent vivre ce genre d’histoires. On est des cobayes.»

Après ces aventures, que pense-t-elle de l'appli? «Elle s’inscrit dans une logique de limiter le risque et la peur. Avec Tinder, pas de râteau. Si la meuf te like pas, tu ne le sauras jamais. Ça reste moins frontal que dans un bar. Et puis, c'est comme un catalogue à dispo, il y en a un million d’autres.» Les nouvelles technologies ont un impact sur la façon d'appréhender l'amour et le sexe. «Au lieu de draguer quelqu'un longtemps et d’engager un processus sentimental, ça enlève le côté engagement. Au pire, on ne se revoit pas, et au mieux peut-être que ça va continuer...»


«C’est devenu un gonzo géant»

«On devait partir de mon histoire, raconte France Ortelli à 20 Minutes. Mais mon coréal était également célibataire au moment du tournage. Il commençait à liker des meufs, alors je me suis dit qu'on allait aussi filmer ce qu'il vit. C’est devenu un gonzo géant. Mais c'est compliqué quand on construit un documentaire, car on ne voulait pas que ça soit juste une succession de rendez-vous.» Du coup, ils ont aussi interviewé des membres de leur entourage qui y ont recours: hommes ou femmes, adolescents, vingtenaires, trentenaires… Ces témoignages ponctuent les expériences de France et Thomas, tout comme des entretiens avec la rédaction du Chasseur français, devenu célèbre pour ses petites annonces matrimoniales...

«On est des cobayes»

Love Me Tinder reste toutefois centré sur les deux réalisateurs, aux échanges complices et malicieux. Ils interrogent aussi les personnes qu’ils rencontrent. France Ortelli filme son flirt avec Jules, 29 ans: cinéma, tour de manège... Plus tard, elle rencontre Jordan à New-York... Un procédé sans pudeur? France Ortelli balance: «Oui, il y a un côté narcissique et égocentrique à la démarche du documentaire. Mais ce qui m’intéresse, c’est de mettre mon vécu au service d’autres personnes, qui peuvent vivre ce genre d’histoires. On est des cobayes.»

Après ces aventures, que pense-t-elle de l'appli? «Elle s’inscrit dans une logique de limiter le risque et la peur. Avec Tinder, pas de râteau. Si la meuf te like pas, tu ne le sauras jamais. Ça reste moins frontal que dans un bar. Et puis, c'est comme un catalogue à dispo, il y en a un million d’autres.» Les nouvelles technologies ont un impact sur la façon d'appréhender l'amour et le sexe. «Au lieu de draguer quelqu'un longtemps et d’engager un processus sentimental, ça enlève le côté engagement. Au pire, on ne se revoit pas, et au mieux peut-être que ça va continuer...»


«C’est devenu un gonzo géant»

«On devait partir de mon histoire, raconte France Ortelli à 20 Minutes. Mais mon coréal était également célibataire au moment du tournage. Il commençait à liker des meufs, alors je me suis dit qu'on allait aussi filmer ce qu'il vit. C’est devenu un gonzo géant. Mais c'est compliqué quand on construit un documentaire, car on ne voulait pas que ça soit juste une succession de rendez-vous.» Du coup, ils ont aussi interviewé des membres de leur entourage qui y ont recours: hommes ou femmes, adolescents, vingtenaires, trentenaires… Ces témoignages ponctuent les expériences de France et Thomas, tout comme des entretiens avec la rédaction du Chasseur français, devenu célèbre pour ses petites annonces matrimoniales...

«On est des cobayes»

Love Me Tinder reste toutefois centré sur les deux réalisateurs, aux échanges complices et malicieux. Ils interrogent aussi les personnes qu’ils rencontrent. France Ortelli filme son flirt avec Jules, 29 ans: cinéma, tour de manège... Plus tard, elle rencontre Jordan à New-York... Un procédé sans pudeur? France Ortelli balance: «Oui, il y a un côté narcissique et égocentrique à la démarche du documentaire. Mais ce qui m’intéresse, c’est de mettre mon vécu au service d’autres personnes, qui peuvent vivre ce genre d’histoires. On est des cobayes.»

Après ces aventures, que pense-t-elle de l'appli? «Elle s’inscrit dans une logique de limiter le risque et la peur. Avec Tinder, pas de râteau. Si la meuf te like pas, tu ne le sauras jamais. Ça reste moins frontal que dans un bar. Et puis, c'est comme un catalogue à dispo, il y en a un million d’autres.» Les nouvelles technologies ont un impact sur la façon d'appréhender l'amour et le sexe. «Au lieu de draguer quelqu'un longtemps et d’engager un processus sentimental, ça enlève le côté engagement. Au pire, on ne se revoit pas, et au mieux peut-être que ça va continuer...»