Si elles le souhaitent, les communes peuvent revenir à la semaine des quatre jours. C’est la position du président de la République Emmanuel Macron et du gouvernement quant à la réforme des rythmes scolaires, mise en place non sans difficulté sous la présidence de François Hollande.

Si plusieurs communes ont saisi cette opportunité, à l’instar de Montpellier qui va tester le retour à la semaine de quatre jours pendant un an, la ville de Strasbourg a annoncé qu’il n’y aura pas de changement. Du moins pour la prochaine rentrée scolaire.

« Compte tenu du nombre d’écoles (114) et de l’impact significatif des modifications induites (sur les activités périscolaires notamment) un éventuel changement ne peut être mis en œuvre pour la rentrée prochaine », justifie la municipalité.