La magie de Disneyland pour la SIG. Le club strasbourgeois a remporté la Leaders Cup face au Mans (60-58), dimanche. C'est son premier trophée depuis le titre de champion de France en 2005. C'est aussi la première finale remportée par la SIG depuis qu'elle est coachée par Vincent Collet après les défaites en finale de Pro A 2013 et 2014 et celle en Leaders Cup 2013.

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Le scénario de la finale a été décousu. Si le premier quart temps s'est disputé au coude-à-coude (13-15 pour Le Mans), la SIG a ensuite écrasé le match dans les deux quarts temps suivants (18-9 et 16-8) pour mener 47-32 avant les dix dernières minutes.

Faute sur Antoine Eito?

Mais là, Antoine Diot et Cie se sont mis à vaciller sous les coups de boutoir de Charles Kahudi et d'Antoine Eito. Le Mans est revenu de -18 à deux petits points de retard à 30 secondes du buzzer. Le final de la finale se joue alors sur un panier raté strasbourgeois suivi d'un dernier manqué par Eito pour Le Mans. Avec une faute ou non? «Moi, je pense qu'il y a faute», a jugé le Manceau au micro de Canal+.

« Le Mans s'est fait Mickey #LeadersCup — Steven Hammer (@SHammer69) February 22, 2015 »

Antoine Diot se réjouit de ce succès: «Il fait plaisir après toutes ces finales perdus. On donne ce cadeau aux supporters, aux dirigeants.» Elu MVP de la Leaders Cup, le meneur international préférait retenir le succès collectif: «C'est un travai d'équipe. Chacun aurait pu l'avoir. Un titre personnel fait plaisir mais le plus important reste la victoire.»

>>> Photo de famille.

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>>> Ali Traoré pose avec le trophée.

« Et de un... pic.twitter.com/jWuTWbcooS — Ali D Traore (@bomaye12) February 22, 2015 »