Voilà peut-être une des raisons pour laquelle les athlètes olympiques d’il y a 3.000 concouraient nus. S’il est historiquement contestable de l’affirmer, il est amusant de le penser, et cela d’autant plus depuis l’élimination ce samedi du perchiste français Anthony Ammirati aux JO de Paris.

Une séquence qui a beaucoup amusé les réseaux sociaux – y compris étranger – toujours friands d’histoires sous la ceinture : On y voit le malheureux perchiste s’élever, passer la barre, l’effleurer sans la renverser avec ses tibias, avant de fatalement l’accrocher avec son appareil génital.

« C’est une grosse déception. Je suis un peu dégoûté, parce qu’il ne me manque rien au troisième essai à 5,70 m. Ce qu’il me manque, c’est un peu de sauts à l’entraînement pour peaufiner les réglages. Juste une séance technique. J’ai dû faire une croix sur les deux dernières, parce qu’à la suite d’un petit grade 1 à l’adducteur, j’ai priorisé la course. J’étais à 100 % physiquement, mais il me manquait un peu de perche (…) J’y étais presque », a expliqué Anthony Ammirati sur le site de la Fédération française d’athlétisme.

Une explication qui ne convient pas aux riants internautes qui préfèrent voir sa masculinité comme responsable de cet échec. Des internautes qui se sont aussi précipités sur l’Instagram du perchiste, qui a bondi de 50.000 abonnés, alors qu’il n’en comptait pas 10.000 avant.