FOOTBALL«Là, on a hâte d’y être!»... Les Bleues ont des fourmis dans les jambes

Equipe de France féminine: «On aimerait que ce soit demain»… Les Bleues ont des fourmis dans les jambes et déjà hâte d’y être

FOOTBALLLes Françaises ont terminé leur préparation sur une victoire, maintenant, place à la Coupe du monde
Aymeric Le Gall

Aymeric Le Gall

A Créteil,

Un coup de sifflet final qui sonne à la fois la fin d’une aventure et le début d’une autre. La fin d’une première phase, celle de la préparation intensive des Bleues au Mondial, et le début de la Coupe du monde.

Au terme du dernier match de prépa remporté (2-1) contre la Chine, les Françaises ont immédiatement basculé vers la Corée du Sud, qu’elles affronteront en match d’ouverture vendredi 7 juin au Parc des Princes.

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Alors les filles, impatientes ? « Oui, là on a hâte d’y être !, souriait Grâce Geyoro en zone mixte après le match de Créteil. Surtout quand on voit ce panneau J-7. On aimerait que ce soit déjà demain mais on doit prendre le temps de bien se préparer car on sait que le premier match va être très difficile et qu’il va falloir prendre les Sud-Coréennes avec beaucoup de sérieux. En plus l’ambiance monte crescendo, on le ressent vraiment. On sent que les gens se sentent concerné, ça nous fait plaisir et ça nous donne encore plus envie de faire de grosses performances. »

Docteur Laurent calme le jeu

C’est vrai que ce panneau géant « J-7 » installé par la Fédé et qui fait office de compte à rebours jusqu’au coup d’envoi de la Coupe du monde a quelque chose de provocateur. « On sait qu’il faut être encore un peu patiente, mais ouais, franchement, vivement que ça arrive ! », avouait également Viviane Asseyi devant la horde de journalistes massés sur la piste d’athlétisme du stade Dominique-Duvauchelle de Créteil.

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Mais si toutes les Françaises avec lesquelles nous avons pu échanger vendredi soir on a eu du mal à cacher leur impatience, Emelyne Laurent est là pour calmer le jeu. La voix de la sagesse en quelque sorte, pas banal pour une gamine de 20 piges. « Je ne parlerais pas d’impatience, non, parce que chaque étape est importante et on essaye quand même de vivre au jour le jour. On pense à ce qui arrive mais c’est important de ne pas griller les étapes et de ne pas jouer la compétition dans nos têtes avant-même qu’elle débute. »