FOOTBALLGéant contre Manchester City, l'OL devra assurer sa qualif' en Ukraine

OL-Manchester City: Un Lyon géant, un Maxwel Cornet ahurissant... Mais la qualif' passera par un nul en Ukraine

FOOTBALLL'OL a mené deux fois au score contre le grand Manchester City avant de se faire reprendre en fin de rencontre...
Jérémy Laugier

Jérémy Laugier

L'essentiel

  • Manchester City réussit décidément très bien à l’OL. Vainqueurs (1-2) il y a deux mois à l’Etihad Stadium, les Lyonnais ont livré une nouvelle performance de choix ce mardi (2-2).
  • Privé d’un succès qui n’aurait pas été volé, sur une égalisation tardive de Sergio Agüero (2-2, 83e), l'OL devra aller chercher sa qualification pour les 8es de finale dans deux semaines en Ukraine.
  • Dans le même temps, le Shakhtar Donetsk est en effet parvenu à l’emporter in extremis à Hoffenheim (2-3), poussant l’OL à obtenir au moins un nul sur leur pelouse pour poursuivre sa route en Ligue des champions.

Epatants de bout en bout, les Lyonnais ont mérité d’offrir au Parc OL le plus grand exploit de Ligue des champions de sa jeune histoire, ce mardi contre Manchester City. Mais la cruelle égalisation de Sergio Agüero (2-2, 83e) les obligera à ramener un nul d’Ukraine lors de la dernière journée pour voir la Ligue des champions en 2019.

Un OL aussi bluffant qu’au match aller. En septembre à l’Etihad Stadium, il fallait déjà se pincer pour réaliser à quel point l’OL avait livré un match d’anthologie (1-2). Mais alors remettre ça deux mois plus tard, face à un adversaire prévenu et terrassant toute la Premier League (17 victoires en 21 matchs toutes compétitions confondues cette saison), c’est à couper le souffle.

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Après deux minutes loin du ballon (comme redouté), les Lyonnais ont montré un culot monstre, à l’image du festival de dribbles réussis par Houssem Aouar, Ferland Mendy ou Tanguy Ndombele. Tenir le ballon 43 % du temps face à la formation de Pep Guardiola est déjà un petit exploit. Ajoutez à ça autant de tirs tentés que l’armada offensive anglaise (9 contre 9) et vous aurez une idée de la performance majuscule de l’OL.

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Trois occasions en or massif gâchées. Les mystères ne manquaient pas ce mardi à Décines, surtout si on s’amuse à comparer la différence abyssale entre une première période masterclass et la bouillie du derby quatre jours plus tôt. Mais alors, comment arriver à la pause sur le score de 0-0 ? Côté lyonnais, Memphis Depay (13e) et Maxwel Cornet (29e) ont raté des immanquables qui coûtent cher dans la course aux 8es de finale.

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Egalement auteur d’une volée sur la transversale d’Ederson (43e), l’ancien Messin s’est racheté après le repos. D’une frappe enroulée rappelant étrangement celle inscrite à Valence trois ans plus tôt, le premier buteur surprise de l’aller a fait chavirer le Parc OL (1-0, 55e). Puis d’un duel bien négocié devant Ederson, il a redonné l’avantage aux Lyonnais (2-1, 81e). Pas mal pour un habituel cinquième choix en attaque ayant connu ses deux seules titularisations de la saison pour les sommets contre les Cityzens, non ?

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La délivrance au bout d’un final de folie. Comme à l’aller, l’OL a évidemment dû faire face à un réveil du champion d’Angleterre. Porté par un Sergio Agüero très remuant, City a peu à peu pris le contrôle du match après l’heure de jeu. Si Anthony Lopes a d’abord été impeccable devant l’Argentin (58e), il a dû s’incliner sur deux coups de tête d’Aymeric Laporte (1-1, 64e) puis de Sergio Agüero (2-2, 83e), à la suite de coups de pied arrêtés.

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La soirée de rêve a même été doublement douchée dans le money time, puisque le Shakhtar Donetsk l’a emporté durant les arrêts de jeu à Hoffenheim (2-3). Assuré d’être au moins reversé en Ligue Europa, l’OL aura donc besoin d’assurer un match nul dans deux semaines en Ukraine pour voir les 8es de finale de la Ligue des champions. Plus que rageant…