L'essentiel

  • Le Stade Rennais s’est incliné 2-0 jeudi soir à Astana, pour son deuxième match de Ligue Europa.
  • Les Bretons sont en manque de confiance et auraient dû accrocher le match nul au Kazakhstan.
  • Le secteur offensif a été trop à la peine. L’équipe manque de confiance.
  • Les joueurs de Sabri Lamouchi se déplacent à Monaco dimanche pour un duel d’équipes en difficulté.

Plus de 5.000 kms, deux buts encaissés, un blessé et zéro certitude. Jeudi soir, le Stade Rennais a vécu une soirée pourrie à Astana pour son second match de Ligue Europa. Les Bretons auraient pu accrocher le match nul mais ont cruellement manqué de poids en attaque s’inclinant 2-0 sur le terrain synthétique de la capitale du Kazakhstan.

Sabri Lamouchi sur le banc du Stade Rennais lors de la défaite à Astana.
Sabri Lamouchi sur le banc du Stade Rennais lors de la défaite à Astana.  - STANISLAV FILIPPOV / AFP

En difficulté en championnat, l’équipe de Sabri Lamouchi aura du mal à trouver des motifs de satisfaction dans ce long déplacement. « On n’est pas ici pour reprendre confiance, mais dans une période difficile on est contents d’être là pour retrouver nos valeurs », disait le coach avant la rencontre. A trois jours de son déplacement à Monaco, Rennes doit vite retrouver la confiance. Mais comment ?

Niang n’a pas pesé

Avec une composition plutôt défensive, les Bretons n’avaient pas montré grand-chose jusqu’à l’ouverture du score sur corner de Zainutdinov (60e), qui aura eu le mérite de les réveiller. En mettant un peu plus de pression sur la défense kazakhe, les Rouge et Noir se sont procurés quelques occasions en fin de match par André ou Bensebaini, dont la reprise de volée a terminé sur le poteau. Mais rien ne sourit en ce moment pour les Rennais, qui vont nourir des regrets, comme face à Toulouse ou au PSG.

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En l’absence de Sarr et de Ben Arfa, le contenu offensif a été beaucoup trop pauvre. Niang n’a pas du tout pesé sur la défense et Bourigeaud a tout raté, visiblement gêné par le terrain synthétique. Seul le capitaine Benjamin André a tenté de sonner la révolte. Mais sa frappe à bout portant a été stoppée par le gardien kazakh.

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« Les joueurs ne méritent pas cette mauvaise passe. On doit trouver les solutions, moi et mon staff », déclarait Lamouchi après la rencontre. Après sa victoire face à Jablonec, Rennes est deuxième de sa poule avec trois points, en attendant la rencontre entre Kiev et l’équipe tchèque. Réaction attendue dimanche à Monaco, autre traumatisé de la Coupe d’Europe.