FOOTBALLNon mais sérieux, comment le PSG n'a pas gagné contre Arsenal?

Ligue des champions: Non mais sérieux, comment le PSG n'a pas gagné ce match contre Arsenal?

FOOTBALLParis s'est emparé de la première place mais méritait mieux que ce 2-2...
Blaise Matuidi au duel avec Carl Jenkinson le 23 novembre 2016.
Blaise Matuidi au duel avec Carl Jenkinson le 23 novembre 2016. - Alastair Grant/AP/SIPA
Romain Baheux

Romain Baheux

De notre envoyé spécial à Londres,

« Ce n’est pas une victoire mais au niveau du contenu, c’est tout comme. » Alerte boulard pour Blaise Matuidi ? Non, une simple analyse pleine de bon sens. Car si le PSG n’a pas fait mieux , résultat qui lui permet de prendre quand même la tête du groupe, il a clairement

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Allez, une statistique pour illustrer la chose : les Gunners n’ont tiré que quatre fois au but, soit près de quatre fois moins que les Parisiens (quinze). Mais une fois qu’on a dit ça, ça ne nous explique pas comment ils en ont pu en arriver là. Un, la faute à deux buts casquette.

  • Le premier sur un enchaînement perte de balle - penalty concédé par Grzegorz Krychowiak alors que Paris menait (1-1, 45e+1)
  • Le second via une partie de billard dans la surface conclue par un but contre-son-camp de Marco Verratti (2-1, 59e)

« C'est normal de faire des erreurs quand tu prends des risques », de l’Emirates. Ce que l’entraîneur parisien oublie de dire, c’est que la bourde de Krychowiak a déstabilisé l’édifice parisien un temps. Et ce n’est pas nous qui le disons. « On était perturbés, et on est mal rentrés en seconde période », reconnaît lui-même l’international polonais.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Résultat, un peu de flottement, davantage d’espace laissé aux Anglais et bim le but. Mais si le PSG a rattrapé l’affaire à moins d’un quart d’heure de la fin par Iwobi contre-son-camp (2-2, 77e), il a encore trouvé le moyen de se rouler dans la boue du regret (oui, ça existe) après. Et devinez grâce à qui ? Grâce à Edinson Cavani, l’homme qui avait pourtant ouvert le score (1-0, 18e).

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

, l’Uruguayen a encore frappé fort. En cinq minutes, il a raté son duel avec David Ospina en piquant la balle au lieu d’envoyer une énorme mine (79e) puis a expédié à côté une tête à moins de dix mètres du but. « Cela aurait été bien de marquer sur nos occasions franches après le 2-2 », n'a pas manqué de titiller son entraîneur. Ca lui aurait évité de commenter un match nul.