En une minutel’attaquant Portugais Eder est passé du « vilain petit canard », son surnom à la coupe du monde 2014, au héros de toute une nation grâce à son but en finale de l’Euro.

Une belle histoire que sa coach mental, Susana Torres, prévoit de raconter dans un livre.

Son objectif ? Expliquer les bienfaits de la psychologie sur le parcours du géant de 28 ans, né en Guinée-Bissau, arrivé au Portugal sans sa famille, et contraint de vivre dans un orphelinat de Coimbra.

Repérée par BFM sur le site d’une radio portugaise, la future biographe a déclaré que le joueur était « la preuve vivante que le coaching et le travail de haute performance changent la carrière d’un joueur de football ».

Avant d’affirmer que lors de la finale Eder était « en mission » et « avait pour intention d’entrer et de marquer. »

Bon en même temps un attaquant qui rentre avec l’intention de planter un but pour son équipe ce n’est pas non plus si grandiose que ça, demandez à Gignac, lui aussi a essayé de devenir un héros.