Mondiaux d'athlétisme: Jimmy Vicaut court plus vite? C'est (aussi) grâce à la danse

Mondiaux d'athlétisme: Jimmy Vicaut court plus vite? C'est (aussi) grâce à la danse

PEKINLe sprinteur tricolore travaille avec la chorégraphe Armelle Van Eecloo...
Romain Baheux

Romain Baheux

Rangez tout de suite ce DVD de Dirty Dancing,
Rangez tout de suite ce DVD de Dirty Dancing, Johnny Castle n’a jamais titillé Usain Bolt sur une ligne droite. Si Jimmy Vicaut, engagé dans le relais 4x100 m tricolore ce samedi, travaille avec la danseuse et chorégraphe Armelle Van Eecloo depuis trois ans, ce n’est pas pour bosser sa valse mais bien pour améliorer ses performances sur la piste, avant le relais 4 fois 100m samedi. Explications avec l’intéressée.
Si Jimmy Vicaut, engagé dans le relais 4x100 m tricolore ce samedi,
Rangez tout de suite ce DVD de Dirty Dancing, Johnny Castle n’a jamais titillé Usain Bolt sur une ligne droite. Si Jimmy Vicaut, engagé dans le relais 4x100 m tricolore ce samedi, travaille avec la danseuse et chorégraphe Armelle Van Eecloo depuis trois ans, ce n’est pas pour bosser sa valse mais bien pour améliorer ses performances sur la piste, avant le relais 4 fois 100m samedi. Explications avec l’intéressée.

Rangez tout de suite ce DVD de Dirty Dancing, Johnny Castle n’a jamais titillé Usain Bolt sur une ligne droite. Si Jimmy Vicaut, engagé dans le relais 4x100 m tricolore ce samedi, travaille avec la danseuse et chorégraphe Armelle Van Eecloo depuis trois ans, ce n’est pas pour bosser sa valse mais bien pour améliorer ses performances sur la piste, avant le relais 4 fois 100m samedi. Explications avec l’intéressée.

« Le but n’est pas d’en faire un danseur »

C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.


Rangez tout de suite ce DVD de Dirty Dancing, Johnny Castle n’a jamais titillé Usain Bolt sur une ligne droite. Si Jimmy Vicaut, engagé dans le relais 4x100 m tricolore ce samedi, travaille avec la danseuse et chorégraphe Armelle Van Eecloo depuis trois ans, ce n’est pas pour bosser sa valse mais bien pour améliorer ses performances sur la piste, avant le relais 4 fois 100m samedi. Explications avec l’intéressée.

« Le but n’est pas d’en faire un danseur »

C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.

J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte
Rangez tout de suite ce DVD de Dirty Dancing, Johnny Castle n’a jamais titillé Usain Bolt sur une ligne droite. Si Jimmy Vicaut, engagé dans le relais 4x100 m tricolore ce samedi, travaille avec la danseuse et chorégraphe Armelle Van Eecloo depuis trois ans, ce n’est pas pour bosser sa valse mais bien pour améliorer ses performances sur la piste, avant le relais 4 fois 100m samedi. Explications avec l’intéressée.

« Le but n’est pas d’en faire un danseur »

C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.



Rangez tout de suite ce DVD de Dirty Dancing, Johnny Castle n’a jamais titillé Usain Bolt sur une ligne droite. Si Jimmy Vicaut, engagé dans le relais 4x100 m tricolore ce samedi, travaille avec la danseuse et chorégraphe Armelle Van Eecloo depuis trois ans, ce n’est pas pour bosser sa valse mais bien pour améliorer ses performances sur la piste, avant le relais 4 fois 100m samedi. Explications avec l’intéressée.

« Le but n’est pas d’en faire un danseur »

C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.

« Vous dire qu’il saute de joie, non… »

Jimmy, il sait où il veut aller, il veut percer, il a l’envie et le mordant pour aller loin. Je ne vais pas vous dire qu’il saute de joie pendant les séances. Lui, il veut courir le plus vite possible. Maintenant, il prend de la maturité, il comprend plus la nécessité de ce travail. Il accepte d’être guidé et il est assidu. C’est un garçon attachant parce qu’il a un objectif et qu’il est déterminé à l’atteindre. On n’est pas là pour faire des pirouettes ou prendre le thé, on répond à des commandes de Guy pour travailler des points précis.

Mondiaux d’athlétisme : Jimmy Vicaut « n’a plus besoin d’être rassuré comme avant »

« Les personnes qui le suivent peuvent voir des changements »

C’est très difficile d’estimer l’apport précis de ces séances sur ses résultats. Ca me semble compliqué de dire "untel est responsable à 10 % de l’amélioration de son temps, l’autre c’est 5 %". Moi, je ne pense pas comme ça et Guy non plus. Le néophyte ne va pas pouvoir voir ses progrès mais des personnes qui le suivent peuvent constater des changements, son placement et sa mobilité du bassin par exemple. Je suis très heureuse quand il y a un aboutissement pour Jimmy et Guy, mais ce sont eux qui portent les choses. Moi, je suis là pour amener des outils, c’est Jimmy qui va à la bataille.


Rangez tout de suite ce DVD de Dirty Dancing, Johnny Castle n’a jamais titillé Usain Bolt sur une ligne droite. Si Jimmy Vicaut, engagé dans le relais 4x100 m tricolore ce samedi, travaille avec la danseuse et chorégraphe Armelle Van Eecloo depuis trois ans, ce n’est pas pour bosser sa valse mais bien pour améliorer ses performances sur la piste, avant le relais 4 fois 100m samedi. Explications avec l’intéressée.

« Le but n’est pas d’en faire un danseur »

C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.

« Vous dire qu’il saute de joie, non… »

Jimmy, il sait où il veut aller, il veut percer, il a l’envie et le mordant pour aller loin. Je ne vais pas vous dire qu’il saute de joie pendant les séances. Lui, il veut courir le plus vite possible. Maintenant, il prend de la maturité, il comprend plus la nécessité de ce travail. Il accepte d’être guidé et il est assidu. C’est un garçon attachant parce qu’il a un objectif et qu’il est déterminé à l’atteindre. On n’est pas là pour faire des pirouettes ou prendre le thé, on répond à des commandes de Guy pour travailler des points précis.

Mondiaux d’athlétisme : Jimmy Vicaut « n’a plus besoin d’être rassuré comme avant »

« Les personnes qui le suivent peuvent voir des changements »

C’est très difficile d’estimer l’apport précis de ces séances sur ses résultats. Ca me semble compliqué de dire "untel est responsable à 10 % de l’amélioration de son temps, l’autre c’est 5 %". Moi, je ne pense pas comme ça et Guy non plus. Le néophyte ne va pas pouvoir voir ses progrès mais des personnes qui le suivent peuvent constater des changements, son placement et sa mobilité du bassin par exemple. Je suis très heureuse quand il y a un aboutissement pour Jimmy et Guy, mais ce sont eux qui portent les choses. Moi, je suis là pour amener des outils, c’est Jimmy qui va à la bataille.


Mondiaux d’athlétisme : Jimmy Vicaut « n’a plus besoin d’être rassuré comme avant »
Rangez tout de suite ce DVD de Dirty Dancing, Johnny Castle n’a jamais titillé Usain Bolt sur une ligne droite. Si Jimmy Vicaut, engagé dans le relais 4x100 m tricolore ce samedi, travaille avec la danseuse et chorégraphe Armelle Van Eecloo depuis trois ans, ce n’est pas pour bosser sa valse mais bien pour améliorer ses performances sur la piste, avant le relais 4 fois 100m samedi. Explications avec l’intéressée.

« Le but n’est pas d’en faire un danseur »

C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.

« Vous dire qu’il saute de joie, non… »

Jimmy, il sait où il veut aller, il veut percer, il a l’envie et le mordant pour aller loin. Je ne vais pas vous dire qu’il saute de joie pendant les séances. Lui, il veut courir le plus vite possible. Maintenant, il prend de la maturité, il comprend plus la nécessité de ce travail. Il accepte d’être guidé et il est assidu. C’est un garçon attachant parce qu’il a un objectif et qu’il est déterminé à l’atteindre. On n’est pas là pour faire des pirouettes ou prendre le thé, on répond à des commandes de Guy pour travailler des points précis.

Mondiaux d’athlétisme : Jimmy Vicaut « n’a plus besoin d’être rassuré comme avant »

« Les personnes qui le suivent peuvent voir des changements »

C’est très difficile d’estimer l’apport précis de ces séances sur ses résultats. Ca me semble compliqué de dire "untel est responsable à 10 % de l’amélioration de son temps, l’autre c’est 5 %". Moi, je ne pense pas comme ça et Guy non plus. Le néophyte ne va pas pouvoir voir ses progrès mais des personnes qui le suivent peuvent constater des changements, son placement et sa mobilité du bassin par exemple. Je suis très heureuse quand il y a un aboutissement pour Jimmy et Guy, mais ce sont eux qui portent les choses. Moi, je suis là pour amener des outils, c’est Jimmy qui va à la bataille.


Rangez tout de suite ce DVD de Dirty Dancing, Johnny Castle n’a jamais titillé Usain Bolt sur une ligne droite. Si Jimmy Vicaut, engagé dans le relais 4x100 m tricolore ce samedi, travaille avec la danseuse et chorégraphe Armelle Van Eecloo depuis trois ans, ce n’est pas pour bosser sa valse mais bien pour améliorer ses performances sur la piste, avant le relais 4 fois 100m samedi. Explications avec l’intéressée.

« Le but n’est pas d’en faire un danseur »

C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.

« Vous dire qu’il saute de joie, non… »

Jimmy, il sait où il veut aller, il veut percer, il a l’envie et le mordant pour aller loin. Je ne vais pas vous dire qu’il saute de joie pendant les séances. Lui, il veut courir le plus vite possible. Maintenant, il prend de la maturité, il comprend plus la nécessité de ce travail. Il accepte d’être guidé et il est assidu. C’est un garçon attachant parce qu’il a un objectif et qu’il est déterminé à l’atteindre. On n’est pas là pour faire des pirouettes ou prendre le thé, on répond à des commandes de Guy pour travailler des points précis.

Mondiaux d’athlétisme : Jimmy Vicaut « n’a plus besoin d’être rassuré comme avant »

« Les personnes qui le suivent peuvent voir des changements »

C’est très difficile d’estimer l’apport précis de ces séances sur ses résultats. Ca me semble compliqué de dire "untel est responsable à 10 % de l’amélioration de son temps, l’autre c’est 5 %". Moi, je ne pense pas comme ça et Guy non plus. Le néophyte ne va pas pouvoir voir ses progrès mais des personnes qui le suivent peuvent constater des changements, son placement et sa mobilité du bassin par exemple. Je suis très heureuse quand il y a un aboutissement pour Jimmy et Guy, mais ce sont eux qui portent les choses. Moi, je suis là pour amener des outils, c’est Jimmy qui va à la bataille.


Rangez tout de suite ce DVD de Dirty Dancing, Johnny Castle n’a jamais titillé Usain Bolt sur une ligne droite. Si Jimmy Vicaut, engagé dans le relais 4x100 m tricolore ce samedi, travaille avec la danseuse et chorégraphe Armelle Van Eecloo depuis trois ans, ce n’est pas pour bosser sa valse mais bien pour améliorer ses performances sur la piste, avant le relais 4 fois 100m samedi. Explications avec l’intéressée.

« Le but n’est pas d’en faire un danseur »

C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.

« Vous dire qu’il saute de joie, non… »

Jimmy, il sait où il veut aller, il veut percer, il a l’envie et le mordant pour aller loin. Je ne vais pas vous dire qu’il saute de joie pendant les séances. Lui, il veut courir le plus vite possible. Maintenant, il prend de la maturité, il comprend plus la nécessité de ce travail. Il accepte d’être guidé et il est assidu. C’est un garçon attachant parce qu’il a un objectif et qu’il est déterminé à l’atteindre. On n’est pas là pour faire des pirouettes ou prendre le thé, on répond à des commandes de Guy pour travailler des points précis.

Mondiaux d’athlétisme : Jimmy Vicaut « n’a plus besoin d’être rassuré comme avant »

« Les personnes qui le suivent peuvent voir des changements »

C’est très difficile d’estimer l’apport précis de ces séances sur ses résultats. Ca me semble compliqué de dire "untel est responsable à 10 % de l’amélioration de son temps, l’autre c’est 5 %". Moi, je ne pense pas comme ça et Guy non plus. Le néophyte ne va pas pouvoir voir ses progrès mais des personnes qui le suivent peuvent constater des changements, son placement et sa mobilité du bassin par exemple. Je suis très heureuse quand il y a un aboutissement pour Jimmy et Guy, mais ce sont eux qui portent les choses. Moi, je suis là pour amener des outils, c’est Jimmy qui va à la bataille.

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Rangez tout de suite ce DVD de Dirty Dancing, Johnny Castle n’a jamais titillé Usain Bolt sur une ligne droite. Si Jimmy Vicaut, engagé dans le relais 4x100 m tricolore ce samedi, travaille avec la danseuse et chorégraphe Armelle Van Eecloo depuis trois ans, ce n’est pas pour bosser sa valse mais bien pour améliorer ses performances sur la piste, avant le relais 4 fois 100m samedi. Explications avec l’intéressée.

« Le but n’est pas d’en faire un danseur »

C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.

« Vous dire qu’il saute de joie, non… »

Jimmy, il sait où il veut aller, il veut percer, il a l’envie et le mordant pour aller loin. Je ne vais pas vous dire qu’il saute de joie pendant les séances. Lui, il veut courir le plus vite possible. Maintenant, il prend de la maturité, il comprend plus la nécessité de ce travail. Il accepte d’être guidé et il est assidu. C’est un garçon attachant parce qu’il a un objectif et qu’il est déterminé à l’atteindre. On n’est pas là pour faire des pirouettes ou prendre le thé, on répond à des commandes de Guy pour travailler des points précis.

Mondiaux d’athlétisme : Jimmy Vicaut « n’a plus besoin d’être rassuré comme avant »

« Les personnes qui le suivent peuvent voir des changements »

C’est très difficile d’estimer l’apport précis de ces séances sur ses résultats. Ca me semble compliqué de dire "untel est responsable à 10 % de l’amélioration de son temps, l’autre c’est 5 %". Moi, je ne pense pas comme ça et Guy non plus. Le néophyte ne va pas pouvoir voir ses progrès mais des personnes qui le suivent peuvent constater des changements, son placement et sa mobilité du bassin par exemple. Je suis très heureuse quand il y a un aboutissement pour Jimmy et Guy, mais ce sont eux qui portent les choses. Moi, je suis là pour amener des outils, c’est Jimmy qui va à la bataille.

August 25, 2013

« Il y a une beauté du geste chez Jimmy »

Guy, c’est le maître de ballet,
Guy, c’est le maître de ballet, c’est le chorégraphe de la course de Jimmy. Moi, je regarde la course et je peux vous dire que ça n’est que du bonheur de le voir évoluer sur la piste. Il y a une beauté du geste, il y a un esthétisme chez lui dans l’engagement. J’aime le dépassement de soi, il y a quelque chose de très beau là-dedans. La belle course réalisée au moment précis où on en a besoin est comparable à la performance sur scène d’un danseur de haut niveau.