Mondiaux d'athlétisme: Jimmy Vicaut court plus vite? C'est (aussi) grâce à la danse
PEKIN•Le sprinteur tricolore travaille avec la chorégraphe Armelle Van Eecloo...Romain Baheux
« Le but n’est pas d’en faire un danseur »
C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.
« Le but n’est pas d’en faire un danseur »
C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.
« Le but n’est pas d’en faire un danseur »
C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.
« Le but n’est pas d’en faire un danseur »
C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.
« Vous dire qu’il saute de joie, non… »
Jimmy, il sait où il veut aller, il veut percer, il a l’envie et le mordant pour aller loin. Je ne vais pas vous dire qu’il saute de joie pendant les séances. Lui, il veut courir le plus vite possible. Maintenant, il prend de la maturité, il comprend plus la nécessité de ce travail. Il accepte d’être guidé et il est assidu. C’est un garçon attachant parce qu’il a un objectif et qu’il est déterminé à l’atteindre. On n’est pas là pour faire des pirouettes ou prendre le thé, on répond à des commandes de Guy pour travailler des points précis.
Mondiaux d’athlétisme : Jimmy Vicaut « n’a plus besoin d’être rassuré comme avant »
« Les personnes qui le suivent peuvent voir des changements »
C’est très difficile d’estimer l’apport précis de ces séances sur ses résultats. Ca me semble compliqué de dire "untel est responsable à 10 % de l’amélioration de son temps, l’autre c’est 5 %". Moi, je ne pense pas comme ça et Guy non plus. Le néophyte ne va pas pouvoir voir ses progrès mais des personnes qui le suivent peuvent constater des changements, son placement et sa mobilité du bassin par exemple. Je suis très heureuse quand il y a un aboutissement pour Jimmy et Guy, mais ce sont eux qui portent les choses. Moi, je suis là pour amener des outils, c’est Jimmy qui va à la bataille.
« Le but n’est pas d’en faire un danseur »
C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.
« Vous dire qu’il saute de joie, non… »
Jimmy, il sait où il veut aller, il veut percer, il a l’envie et le mordant pour aller loin. Je ne vais pas vous dire qu’il saute de joie pendant les séances. Lui, il veut courir le plus vite possible. Maintenant, il prend de la maturité, il comprend plus la nécessité de ce travail. Il accepte d’être guidé et il est assidu. C’est un garçon attachant parce qu’il a un objectif et qu’il est déterminé à l’atteindre. On n’est pas là pour faire des pirouettes ou prendre le thé, on répond à des commandes de Guy pour travailler des points précis.
Mondiaux d’athlétisme : Jimmy Vicaut « n’a plus besoin d’être rassuré comme avant »
« Les personnes qui le suivent peuvent voir des changements »
C’est très difficile d’estimer l’apport précis de ces séances sur ses résultats. Ca me semble compliqué de dire "untel est responsable à 10 % de l’amélioration de son temps, l’autre c’est 5 %". Moi, je ne pense pas comme ça et Guy non plus. Le néophyte ne va pas pouvoir voir ses progrès mais des personnes qui le suivent peuvent constater des changements, son placement et sa mobilité du bassin par exemple. Je suis très heureuse quand il y a un aboutissement pour Jimmy et Guy, mais ce sont eux qui portent les choses. Moi, je suis là pour amener des outils, c’est Jimmy qui va à la bataille.
Mondiaux d’athlétisme : Jimmy Vicaut « n’a plus besoin d’être rassuré comme avant »
« Le but n’est pas d’en faire un danseur »
C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.
« Vous dire qu’il saute de joie, non… »
Jimmy, il sait où il veut aller, il veut percer, il a l’envie et le mordant pour aller loin. Je ne vais pas vous dire qu’il saute de joie pendant les séances. Lui, il veut courir le plus vite possible. Maintenant, il prend de la maturité, il comprend plus la nécessité de ce travail. Il accepte d’être guidé et il est assidu. C’est un garçon attachant parce qu’il a un objectif et qu’il est déterminé à l’atteindre. On n’est pas là pour faire des pirouettes ou prendre le thé, on répond à des commandes de Guy pour travailler des points précis.
Mondiaux d’athlétisme : Jimmy Vicaut « n’a plus besoin d’être rassuré comme avant »
« Les personnes qui le suivent peuvent voir des changements »
C’est très difficile d’estimer l’apport précis de ces séances sur ses résultats. Ca me semble compliqué de dire "untel est responsable à 10 % de l’amélioration de son temps, l’autre c’est 5 %". Moi, je ne pense pas comme ça et Guy non plus. Le néophyte ne va pas pouvoir voir ses progrès mais des personnes qui le suivent peuvent constater des changements, son placement et sa mobilité du bassin par exemple. Je suis très heureuse quand il y a un aboutissement pour Jimmy et Guy, mais ce sont eux qui portent les choses. Moi, je suis là pour amener des outils, c’est Jimmy qui va à la bataille.
« Le but n’est pas d’en faire un danseur »
C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.
« Vous dire qu’il saute de joie, non… »
Jimmy, il sait où il veut aller, il veut percer, il a l’envie et le mordant pour aller loin. Je ne vais pas vous dire qu’il saute de joie pendant les séances. Lui, il veut courir le plus vite possible. Maintenant, il prend de la maturité, il comprend plus la nécessité de ce travail. Il accepte d’être guidé et il est assidu. C’est un garçon attachant parce qu’il a un objectif et qu’il est déterminé à l’atteindre. On n’est pas là pour faire des pirouettes ou prendre le thé, on répond à des commandes de Guy pour travailler des points précis.
Mondiaux d’athlétisme : Jimmy Vicaut « n’a plus besoin d’être rassuré comme avant »
« Les personnes qui le suivent peuvent voir des changements »
C’est très difficile d’estimer l’apport précis de ces séances sur ses résultats. Ca me semble compliqué de dire "untel est responsable à 10 % de l’amélioration de son temps, l’autre c’est 5 %". Moi, je ne pense pas comme ça et Guy non plus. Le néophyte ne va pas pouvoir voir ses progrès mais des personnes qui le suivent peuvent constater des changements, son placement et sa mobilité du bassin par exemple. Je suis très heureuse quand il y a un aboutissement pour Jimmy et Guy, mais ce sont eux qui portent les choses. Moi, je suis là pour amener des outils, c’est Jimmy qui va à la bataille.
« Le but n’est pas d’en faire un danseur »
C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.
« Vous dire qu’il saute de joie, non… »
Jimmy, il sait où il veut aller, il veut percer, il a l’envie et le mordant pour aller loin. Je ne vais pas vous dire qu’il saute de joie pendant les séances. Lui, il veut courir le plus vite possible. Maintenant, il prend de la maturité, il comprend plus la nécessité de ce travail. Il accepte d’être guidé et il est assidu. C’est un garçon attachant parce qu’il a un objectif et qu’il est déterminé à l’atteindre. On n’est pas là pour faire des pirouettes ou prendre le thé, on répond à des commandes de Guy pour travailler des points précis.
Mondiaux d’athlétisme : Jimmy Vicaut « n’a plus besoin d’être rassuré comme avant »
« Les personnes qui le suivent peuvent voir des changements »
C’est très difficile d’estimer l’apport précis de ces séances sur ses résultats. Ca me semble compliqué de dire "untel est responsable à 10 % de l’amélioration de son temps, l’autre c’est 5 %". Moi, je ne pense pas comme ça et Guy non plus. Le néophyte ne va pas pouvoir voir ses progrès mais des personnes qui le suivent peuvent constater des changements, son placement et sa mobilité du bassin par exemple. Je suis très heureuse quand il y a un aboutissement pour Jimmy et Guy, mais ce sont eux qui portent les choses. Moi, je suis là pour amener des outils, c’est Jimmy qui va à la bataille.
« Le but n’est pas d’en faire un danseur »
C’est quelque chose de très spécifique, j’interviens sur l’optimisation du geste du sprinteur. C’est Guy Ontanon [son entraîneur] qui donne les grands axes. Il me guide, il peut me demander plus de fluidité, plus de mobilité articulaire pour Jimmy. Il est puissant mais il doit garder une certaine fluidité en course. J’emprunte des choses à la danse mais on les réadapte pour les objectifs de performance de Guy. On ne cherche pas la souplesse pour la souplesse. Le but n’est pas d’en faire un danseur.
« Vous dire qu’il saute de joie, non… »
Jimmy, il sait où il veut aller, il veut percer, il a l’envie et le mordant pour aller loin. Je ne vais pas vous dire qu’il saute de joie pendant les séances. Lui, il veut courir le plus vite possible. Maintenant, il prend de la maturité, il comprend plus la nécessité de ce travail. Il accepte d’être guidé et il est assidu. C’est un garçon attachant parce qu’il a un objectif et qu’il est déterminé à l’atteindre. On n’est pas là pour faire des pirouettes ou prendre le thé, on répond à des commandes de Guy pour travailler des points précis.
Mondiaux d’athlétisme : Jimmy Vicaut « n’a plus besoin d’être rassuré comme avant »
« Les personnes qui le suivent peuvent voir des changements »
C’est très difficile d’estimer l’apport précis de ces séances sur ses résultats. Ca me semble compliqué de dire "untel est responsable à 10 % de l’amélioration de son temps, l’autre c’est 5 %". Moi, je ne pense pas comme ça et Guy non plus. Le néophyte ne va pas pouvoir voir ses progrès mais des personnes qui le suivent peuvent constater des changements, son placement et sa mobilité du bassin par exemple. Je suis très heureuse quand il y a un aboutissement pour Jimmy et Guy, mais ce sont eux qui portent les choses. Moi, je suis là pour amener des outils, c’est Jimmy qui va à la bataille.