France - Espagne: Trente ans d'invincibilité bleue en vidéo
FOOTBALL•En match officiel, jamais la France n'a perdu contre la Roja depuis près de 30 ans...R.S.
On ne s’improvise pas chat noir en un match. C’est un métier que les Bleus ont appris au fil des ans en corrigeant l’équipe d’Espagne sur commande dans les grands tournois. Voici comment la France est devenu la «RFA» de la Roja…
Euro 1984, finale, victoire 2-0: Un coup franc et puis… Arconada
Qu’on revoit les images en couleurs ou en noir et blanc, le geste est toujours aussi inimitable. Le coup franc de Platoche arrive sur Arconada, bien placé, qui n’a a priori qu’à se coucher pour le bloquer. A priori. Plutôt sournois, le ballon lui glisse sous le flanc et finit au ralenti derrière la ligne de but. Réalisé sans trucage et sans vaseline.
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Eliminatoires de l’Euro 92, victoire 3-1: Zubizareta découvre la «papinade»
A l’époque, l’équipe de France est une sorte d’OM amélioré. Six joueurs marseillais sont sur la pelouse quand l’un d’entre eux (Amoros) délivre un centre à l’un de ses coéquipiers (JPP) à l’entrée de la surface. La «papinade» finit directement dans le but de Zubizareta. Et dire que le futur Ballon d’or 91 n’est qu’en rodage.
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Eliminatoires de l’Euro 92, victoire 2-1: La vengeance de Luis Fernandez
Quelques années plus tôt, à Seville, il était le «renegado», aux yeux des Espagnols. Celui qui a choisi le mauvais camp. Cette fois, Fernando Hierro glisse à l’oreille de Luis Fernandez «Ça va l’Espagnol?» avant le match. Ça va tellement bien pour l’enfant de Tarifa qu’il inscrit l’un de ses plus beaux buts en bleu lors de ce match d’un ciseau à l’horizontal. La France termine cette phase de poule invaincue avant l’Euro 92. Et puis le Danemark passera par là.
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Euro 2000, quart de finale, victoire 2-1: Avec l’aide «du bon Dieu»
On joue la dernière minute du temps réglementaire quand l’arbitre accorde un pénalty aux Espagnols. Si Raul le transforme, ce quart de finale se jouera en prolongation. Mais comme le soupire Thierry Roland juste avant la fin du match: «Je pense très sincèrement que le bon Dieu veillait.»
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Coupe du monde 2006, huitième de finale, victoire 3-1: Et Ribéry devint «Francky»
A l’époque, l’attaquant du Bayern est encore tout maigrichon, joue encore à l’OM et s’amuse à verser la salière dans le verre de son voisin à la cantoche. Franck Ribéry est le joueur «frais» qu’il faut à l’équipe de France. C’est donc lui qui relance les Bleus, menés 1-0 après un pénalty de Villa, en inscrivant son premier but en équipe de France. Vieira et Zidane marquent les deux suivants. Tiens, Zidane, justement, trouve-t-il quelques ressemblances entre les équipes de France et d’Espagne six ans plus tard? Pas vraiment. «L’Espagne est plus forte. En 2006, nous étions pour notre part très énervés de ce qu’avait dit la presse.» De ce côté-là, la presse a plutôt bien fait son job cette année encore.