FOOTBALLLe journal de l'Euro: L'Espagne félicite Fernando Torres... Balotelli victime d'un jet de banane...

Le journal de l'Euro: L'Espagne félicite Fernando Torres... Balotelli victime d'un jet de banane...

FOOTBALLTout ce qu'il faut savoir sur l'Euro...
A.D.

A.D.

Fernando Torres coupe court au débat

Au cœur des débats depuis le match nul concédé face à l’Italie dimanche dernier (1-1), l’Espagne est revenue à ses premières amours jeudi soir. Vincente Del Bosque, le sélectionneur ibérique, avait décidé de jouer avec un véritable numéro 9, en titularisant Fernando Torres face à l’Irlande. Résultat: une victoire 4-0 et un doublé de l’attaquant de Chelsea à la clé. De quoi mettre fin à la polémique à en croire le site internet du journal Marca «Avec un numéro 9, la Roja obtient un 10. En prenant de vitesse Ward et en fusillant Given dès la quatrième minute, El Nino a tranché. Toute l’équipe, consciente de l’importance de ce but, est allée embrasser Fernando Torres».
Chelsea
Au cœur des débats depuis le match nul concédé face à l’Italie dimanche dernier (1-1), l’Espagne est revenue à ses premières amours jeudi soir. Vincente Del Bosque, le sélectionneur ibérique, avait décidé de jouer avec un véritable numéro 9, en titularisant Fernando Torres face à l’Irlande. Résultat: une victoire 4-0 et un doublé de l’attaquant de Chelsea à la clé. De quoi mettre fin à la polémique à en croire le site internet du journal Marca «Avec un numéro 9, la Roja obtient un 10. En prenant de vitesse Ward et en fusillant Given dès la quatrième minute, El Nino a tranché. Toute l’équipe, consciente de l’importance de ce but, est allée embrasser Fernando Torres».
Andreï Chevtchenko «J’avais un truc en plus»

Double-buteur face à la Suède en début de semaine, Andreï Chevtchenko, 35 ans, à donné une interview au quotidien l’Equipe dans l’édition de vendredi. La légende ukrainienne revient notamment sur sa carrière et cette fabuleuse opportunité de pouvoir disputer l’Euro, chez lui, devant sa famille. «Quand j’ai disputé mon premier match de Coupe du Monde, j’ai vraiment ressenti et compris ce que cela signifiait de représenter son pays. Cet Euro me permet d’exaucer un deuxième rêve». Egalement interrogé sur sa plus grande fierté, «Cheva» évoque sa réussite globale, son aptitude à rester au plus haut niveau. «La chose dont je suis le plus fier, c’est d’avoir réussi à tenir, non pas deux ans mais dix belles années à ce niveau. Moi, un gamin ukrainien, j’ai réussi en Italie, joué avec le grand Milan et Chelsea. J’ai gagné le Ballon d’Or et je suis devenu un joueur qui compte. Personne n’est au-dessus. Mais comme d’autres, j’avais un truc en plus».


Andreï Chevtchenko «J’avais un truc en plus»

Double-buteur face à la Suède en début de semaine, Andreï Chevtchenko, 35 ans, à donné une interview au quotidien l’Equipe dans l’édition de vendredi. La légende ukrainienne revient notamment sur sa carrière et cette fabuleuse opportunité de pouvoir disputer l’Euro, chez lui, devant sa famille. «Quand j’ai disputé mon premier match de Coupe du Monde, j’ai vraiment ressenti et compris ce que cela signifiait de représenter son pays. Cet Euro me permet d’exaucer un deuxième rêve». Egalement interrogé sur sa plus grande fierté, «Cheva» évoque sa réussite globale, son aptitude à rester au plus haut niveau. «La chose dont je suis le plus fier, c’est d’avoir réussi à tenir, non pas deux ans mais dix belles années à ce niveau. Moi, un gamin ukrainien, j’ai réussi en Italie, joué avec le grand Milan et Chelsea. J’ai gagné le Ballon d’Or et je suis devenu un joueur qui compte. Personne n’est au-dessus. Mais comme d’autres, j’avais un truc en plus».
Chelsea
Andreï Chevtchenko «J’avais un truc en plus»

Double-buteur face à la Suède en début de semaine, Andreï Chevtchenko, 35 ans, à donné une interview au quotidien l’Equipe dans l’édition de vendredi. La légende ukrainienne revient notamment sur sa carrière et cette fabuleuse opportunité de pouvoir disputer l’Euro, chez lui, devant sa famille. «Quand j’ai disputé mon premier match de Coupe du Monde, j’ai vraiment ressenti et compris ce que cela signifiait de représenter son pays. Cet Euro me permet d’exaucer un deuxième rêve». Egalement interrogé sur sa plus grande fierté, «Cheva» évoque sa réussite globale, son aptitude à rester au plus haut niveau. «La chose dont je suis le plus fier, c’est d’avoir réussi à tenir, non pas deux ans mais dix belles années à ce niveau. Moi, un gamin ukrainien, j’ai réussi en Italie, joué avec le grand Milan et Chelsea. J’ai gagné le Ballon d’Or et je suis devenu un joueur qui compte. Personne n’est au-dessus. Mais comme d’autres, j’avais un truc en plus».
Andy Caroll titulaire face à la Suède?
Après la piètre performance livrée par ses joueurs contre la France, Roy Hogdson aurait décidé de bousculer son onze de départ. Andy Caroll pourrait faire ses grands débuts sur le front de l’attaque en compagnie de Danny Welbeck. C’est en tout cas ce que révèle le Sun sur son site internet. Le sélectionneur anglais souhaite poser des problèmes aux Suédois dans le domaine aérien: «six de leurs sept derniers buts encaissés l’ont été de la tête». En même temps, on avait bien compris que l’Angleterre n’allait pas jouer au foot pendant cet Euro. Finalement, rien de surprenant.
Mario Balotelli victime de racisme

Pendant la rencontre Italie-Croatie disputée jeudi soir, des supporters croates ont jeté des bananes en direction de Mario Balotelli. Et des cris de singe ont également été entedus lorsque l'attaquant italien touchait le ballon. Balotelli n'a pas réagi, pour le moment, mais nul doute qu'il devrait rapidement s'en prendre ouvertement à ces «supporters». Interrogé le 19 mai dernier dans France Football, le joueur de Manchester City espérait ne pas être vitcime de racisme à l'Euro, car «il ne supporte vraiment pas ça». Egalement questionné sur des incidents similaires ayant eu lieu dans un bar de Rome en 2009, «Balo» avait déclaré: «Ces deux-trois garçons ont eu de la chance que la police soit tout de suite arrivée parce que, je te jure, je les aurais roués de coups. Je les aurais vraiment détruits. J'espère que ça n'arrivera plus. Si quelqu'un me lance des bananes dans la rue, j'irai en prison parce que je le tue».


Mario Balotelli victime de racisme

Pendant la rencontre Italie-Croatie disputée jeudi soir, des supporters croates ont jeté des bananes en direction de Mario Balotelli. Et des cris de singe ont également été entedus lorsque l'attaquant italien touchait le ballon. Balotelli n'a pas réagi, pour le moment, mais nul doute qu'il devrait rapidement s'en prendre ouvertement à ces «supporters». Interrogé le 19 mai dernier dans France Football, le joueur de Manchester City espérait ne pas être vitcime de racisme à l'Euro, car «il ne supporte vraiment pas ça». Egalement questionné sur des incidents similaires ayant eu lieu dans un bar de Rome en 2009, «Balo» avait déclaré: «Ces deux-trois garçons ont eu de la chance que la police soit tout de suite arrivée parce que, je te jure, je les aurais roués de coups. Je les aurais vraiment détruits. J'espère que ça n'arrivera plus. Si quelqu'un me lance des bananes dans la rue, j'irai en prison parce que je le tue».
France Football
Mario Balotelli victime de racisme

Pendant la rencontre Italie-Croatie disputée jeudi soir, des supporters croates ont jeté des bananes en direction de Mario Balotelli. Et des cris de singe ont également été entedus lorsque l'attaquant italien touchait le ballon. Balotelli n'a pas réagi, pour le moment, mais nul doute qu'il devrait rapidement s'en prendre ouvertement à ces «supporters». Interrogé le 19 mai dernier dans France Football, le joueur de Manchester City espérait ne pas être vitcime de racisme à l'Euro, car «il ne supporte vraiment pas ça». Egalement questionné sur des incidents similaires ayant eu lieu dans un bar de Rome en 2009, «Balo» avait déclaré: «Ces deux-trois garçons ont eu de la chance que la police soit tout de suite arrivée parce que, je te jure, je les aurais roués de coups. Je les aurais vraiment détruits. J'espère que ça n'arrivera plus. Si quelqu'un me lance des bananes dans la rue, j'irai en prison parce que je le tue».
Manchester City
Mario Balotelli victime de racisme

Pendant la rencontre Italie-Croatie disputée jeudi soir, des supporters croates ont jeté des bananes en direction de Mario Balotelli. Et des cris de singe ont également été entedus lorsque l'attaquant italien touchait le ballon. Balotelli n'a pas réagi, pour le moment, mais nul doute qu'il devrait rapidement s'en prendre ouvertement à ces «supporters». Interrogé le 19 mai dernier dans France Football, le joueur de Manchester City espérait ne pas être vitcime de racisme à l'Euro, car «il ne supporte vraiment pas ça». Egalement questionné sur des incidents similaires ayant eu lieu dans un bar de Rome en 2009, «Balo» avait déclaré: «Ces deux-trois garçons ont eu de la chance que la police soit tout de suite arrivée parce que, je te jure, je les aurais roués de coups. Je les aurais vraiment détruits. J'espère que ça n'arrivera plus. Si quelqu'un me lance des bananes dans la rue, j'irai en prison parce que je le tue».