Michaël Llodra en terre inconnue mais en toute décontraction
TENNIS•Le Parisien, qui n'a plus franchi le premier tour de Roland-Garros depuis quatre ans, n'a toujours pas gagné cette saison sur terre battue...Antoine Maes
Il est venu en voisin. Résidant de Rueil-Malmaison, Michael Llodra est venu se dégourdir les jambes aux Masters Guinot-Mary Cohr. Mercredi, le 57e joueur mondial s’est offert Alexandre Dolgopolov (6-1, 6-4), sa première victoire sur terre battue cette saison. «Sur le circuit ATP, je n’ai toujours rien gagné», sourit Mika. Une exhibition au bout du jardin, évidemment, ça ne compte pas pour lui. N’empêche, il reste sur trois défaites consécutives au premier tour de Roland-Garros, et s’offrir le 19e mondial sur terre à quelques jours du top départ a quelque chose de rassurant. «Je suis assez content de mon niveau. Hormis au premier tour à Monte-Carlo… Ensuite, j’ai perdu deux fois au premier tour, mais c’était des bons matchs», tempère Michaël Llodra.
Wimbledon, les Jeux, et un 3e enfant
La pression ne l’écrase pas, de toute façon. D’abord parce qu’il a pris l’habitude se qualifier pour les huitièmes de finale à Paris tous les quatre ans (2004, 2008): «si ça marche, je signe tout de suite». Ensuite parce qu’un été gargantuesque l’attend, entre Wimbledon et les Jeux de Londres sur gazon, en double avec Jo-Wilfried Tsonga et peut être même en simple. Et enfin parce que son troisième enfant devrait débarquer à cette période. «J’espère que ma femme va s’appliquer et ne pas me faire ça le jour de mon match. C’est prévu pour la fin de la deuxième semaine de Wimbledon. Les deux premiers, c’était 15 jours avant. Mais bon, c’est de ma faute», se marre Llodra.
Wimbledon, les Jeux, et un 3e enfant
La pression ne l’écrase pas, de toute façon. D’abord parce qu’il a pris l’habitude se qualifier pour les huitièmes de finale à Paris tous les quatre ans (2004, 2008): «si ça marche, je signe tout de suite». Ensuite parce qu’un été gargantuesque l’attend, entre Wimbledon et les Jeux de Londres sur gazon, en double avec Jo-Wilfried Tsonga et peut être même en simple. Et enfin parce que son troisième enfant devrait débarquer à cette période. «J’espère que ma femme va s’appliquer et ne pas me faire ça le jour de mon match. C’est prévu pour la fin de la deuxième semaine de Wimbledon. Les deux premiers, c’était 15 jours avant. Mais bon, c’est de ma faute», se marre Llodra.
Wimbledon, les Jeux, et un 3e enfant
La pression ne l’écrase pas, de toute façon. D’abord parce qu’il a pris l’habitude se qualifier pour les huitièmes de finale à Paris tous les quatre ans (2004, 2008): «si ça marche, je signe tout de suite». Ensuite parce qu’un été gargantuesque l’attend, entre Wimbledon et les Jeux de Londres sur gazon, en double avec Jo-Wilfried Tsonga et peut être même en simple. Et enfin parce que son troisième enfant devrait débarquer à cette période. «J’espère que ma femme va s’appliquer et ne pas me faire ça le jour de mon match. C’est prévu pour la fin de la deuxième semaine de Wimbledon. Les deux premiers, c’était 15 jours avant. Mais bon, c’est de ma faute», se marre Llodra.