TENNISLe programme de la première journée de Roland-Garros

Le programme de la première journée de Roland-Garros

TENNISToutes sur les infos sur la première journée des Internationaux de France...
A.P.

A.P.

Les matchs du jour

Court Philippe-Chatrier (dès 11h)

Svetlana Kuznetsova (RUS/n°6) - Sorana Cirstea (ROU)
Laurent Recouderc (FRA) - Robin Söderling (SUE/n°5)
Aravane Rezaï (FRA/n°15) - Heidi El Tabakh (CAN)
Daniel Brands (ALL) - Jo-Wilfried Tsonga (FRA/n°8)

Court Suzanne-Lenglen

Marin Cilic (CRO/n°10) - Ricardo Mello (BRE)
Gisela Dulko (ARG) - Victoria Azarenka (BLR/n°10)
Julien Benneteau (FRA) - Ernests Gulbis (LET/n°23)
Patty Schnyder (SUI) - Venus Williams (USA/n°2)

A suivre aussi

Josselin Ouanna (FRA) - Lukasz Kubot (POL)
Olivier Patience (FRA) - Thiemo de Bakker (HOL)
Stéphane Robert (FRA) - Tobias Kamke (ALL)
Edouard Roger-Vasselin (FRA) - Kevin Anderson (AFS)

>> Une journée à suivre en live comme-à-la-maison

Le match à suivre

En ce moment, il ne fait pas bon tomber sur Ernests Gulbis. C’est ce qu’a dû se dire son adversaire du premier tour, Julien Benneteau. Après avoir insulté son tennis la saison dernière, le Letton s’est acheté un mentale lors de ce printemps 2010. Tombeur de Federer et demi-finaliste à Rome, Gulbis semble avoir canalisé sa puissance et n’arrose plus comme auparavant. Il va falloir un Benneteau au niveau de son quart de final de 2006 pour écarter le péril letton.

La stat qui ne fait pas peur

A la différence d’un Benneteau, Jo-Wilfried Tsonga a une la main heureuse. Classé au 89e rang mondial, Daniel Brands débarque à Paris avec un bilan digne du début de saison de Grenoble en Ligue. Depuis janvier, l’Allemand n’a gagné qu’un match, c’était à Delray Beach contre un Sébastien Grosjean diminué. Et en plus, la terre battue n’est pas sa tasse de thé.

Le point météo

Très discret en début depuis quelques semaines (pour rester gentil), le soleil a choisi Roland-Garros pour faire son retour. Avec une température de 25°c prévu, joueurs et spectateurs risquent de suer à grosses gouttes. On ne va quand-même pas se plaindre.

La phrase du jour

Dans un passionnant entretien à L’Equipe, Roger Federer explique pourquoi il a préféré le tennis au football (sa première passion de jeunesse).«Quand je mettais trois buts et que notre gardien faisait des bourdes et en prenait quatre, ça me faisait râler.» Bon camarade le Roger.