Sidney Crosby: le gendre idéal, bagarreur et truqueur
VANCOUVER2010•Le meilleur joueur de hockey du Canada qui a battu la Russie est une idole à marier. Mais pas que...Matthieu Goar (avec agence)
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Côté pile : Sid, le joueur à marier
«Crosby, c’est le joueur le plus talentueux que je connaisse. Je l’ai croisé au Village olympique mais je n’ai pas osé lui parler», explique la skieuse Julia Murray qui aurait pourtant quelques arguments à faire valoir devant le célibataire le plus convoité du Canada. «Is he dating someone?», «la blonde (copine, en québécois) de Sidney». Les forums de discussions se multiplient sur la toile à propos du statut marital de Crosby. Idem à la télévision où des émissions de télé le filment en costard façon George Clooney. «C’est un gentleman», glisse Andrew Squires, responsables des skis de l’équipe de ski cross canadienne. Pas de doutes. A 23 ans, le Kid (un salaire de 8,7 millions de dollars par an) est l’homme à marier du Canada.
La faute à son talent. Plus jeune capitaine à avoir remporté la Coupe Stanley, Sid est adulé pour son hockey et respecté pour son image saine et lisse. «Les puristes sont forcément attachés à Crosby, il représente une certaine image des Canadiens, qui sont des gens à la fois fiers et humbles», estime Greg Millen, un ancien joueur aujourd'hui consultant pour la télévision canadienne.
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Côté pile : Sid, le joueur à marier
«Crosby, c’est le joueur le plus talentueux que je connaisse. Je l’ai croisé au Village olympique mais je n’ai pas osé lui parler», explique la skieuse Julia Murray qui aurait pourtant quelques arguments à faire valoir devant le célibataire le plus convoité du Canada. «Is he dating someone?», «la blonde (copine, en québécois) de Sidney». Les forums de discussions se multiplient sur la toile à propos du statut marital de Crosby. Idem à la télévision où des émissions de télé le filment en costard façon George Clooney. «C’est un gentleman», glisse Andrew Squires, responsables des skis de l’équipe de ski cross canadienne. Pas de doutes. A 23 ans, le Kid (un salaire de 8,7 millions de dollars par an) est l’homme à marier du Canada.
La faute à son talent. Plus jeune capitaine à avoir remporté la Coupe Stanley, Sid est adulé pour son hockey et respecté pour son image saine et lisse. «Les puristes sont forcément attachés à Crosby, il représente une certaine image des Canadiens, qui sont des gens à la fois fiers et humbles», estime Greg Millen, un ancien joueur aujourd'hui consultant pour la télévision canadienne.
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«Crosby, c’est le joueur le plus talentueux que je connaisse. Je l’ai croisé au Village olympique mais je n’ai pas osé lui parler», explique la skieuse Julia Murray qui aurait pourtant quelques arguments à faire valoir devant le célibataire le plus convoité du Canada. «Is he dating someone?», «la blonde (copine, en québécois) de Sidney». Les forums de discussions se multiplient sur la toile à propos du statut marital de Crosby. Idem à la télévision où des émissions de télé le filment en costard façon George Clooney. «C’est un gentleman», glisse Andrew Squires, responsables des skis de l’équipe de ski cross canadienne. Pas de doutes. A 23 ans, le Kid (un salaire de 8,7 millions de dollars par an) est l’homme à marier du Canada.
La faute à son talent. Plus jeune capitaine à avoir remporté la Coupe Stanley, Sid est adulé pour son hockey et respecté pour son image saine et lisse. «Les puristes sont forcément attachés à Crosby, il représente une certaine image des Canadiens, qui sont des gens à la fois fiers et humbles», estime Greg Millen, un ancien joueur aujourd'hui consultant pour la télévision canadienne.
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Côté pile : Sid, le joueur à marier
«Crosby, c’est le joueur le plus talentueux que je connaisse. Je l’ai croisé au Village olympique mais je n’ai pas osé lui parler», explique la skieuse Julia Murray qui aurait pourtant quelques arguments à faire valoir devant le célibataire le plus convoité du Canada. «Is he dating someone?», «la blonde (copine, en québécois) de Sidney». Les forums de discussions se multiplient sur la toile à propos du statut marital de Crosby. Idem à la télévision où des émissions de télé le filment en costard façon George Clooney. «C’est un gentleman», glisse Andrew Squires, responsables des skis de l’équipe de ski cross canadienne. Pas de doutes. A 23 ans, le Kid (un salaire de 8,7 millions de dollars par an) est l’homme à marier du Canada.
La faute à son talent. Plus jeune capitaine à avoir remporté la Coupe Stanley, Sid est adulé pour son hockey et respecté pour son image saine et lisse. «Les puristes sont forcément attachés à Crosby, il représente une certaine image des Canadiens, qui sont des gens à la fois fiers et humbles», estime Greg Millen, un ancien joueur aujourd'hui consultant pour la télévision canadienne.
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«Crosby, c’est le joueur le plus talentueux que je connaisse. Je l’ai croisé au Village olympique mais je n’ai pas osé lui parler», explique la skieuse Julia Murray qui aurait pourtant quelques arguments à faire valoir devant le célibataire le plus convoité du Canada. «Is he dating someone?», «la blonde (copine, en québécois) de Sidney». Les forums de discussions se multiplient sur la toile à propos du statut marital de Crosby. Idem à la télévision où des émissions de télé le filment en costard façon George Clooney. «C’est un gentleman», glisse Andrew Squires, responsables des skis de l’équipe de ski cross canadienne. Pas de doutes. A 23 ans, le Kid (un salaire de 8,7 millions de dollars par an) est l’homme à marier du Canada.
La faute à son talent. Plus jeune capitaine à avoir remporté la Coupe Stanley, Sid est adulé pour son hockey et respecté pour son image saine et lisse. «Les puristes sont forcément attachés à Crosby, il représente une certaine image des Canadiens, qui sont des gens à la fois fiers et humbles», estime Greg Millen, un ancien joueur aujourd'hui consultant pour la télévision canadienne.
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«Crosby, c’est le joueur le plus talentueux que je connaisse. Je l’ai croisé au Village olympique mais je n’ai pas osé lui parler», explique la skieuse Julia Murray qui aurait pourtant quelques arguments à faire valoir devant le célibataire le plus convoité du Canada. «Is he dating someone?», «la blonde (copine, en québécois) de Sidney». Les forums de discussions se multiplient sur la toile à propos du statut marital de Crosby. Idem à la télévision où des émissions de télé le filment en costard façon George Clooney. «C’est un gentleman», glisse Andrew Squires, responsables des skis de l’équipe de ski cross canadienne. Pas de doutes. A 23 ans, le Kid (un salaire de 8,7 millions de dollars par an) est l’homme à marier du Canada.
La faute à son talent. Plus jeune capitaine à avoir remporté la Coupe Stanley, Sid est adulé pour son hockey et respecté pour son image saine et lisse. «Les puristes sont forcément attachés à Crosby, il représente une certaine image des Canadiens, qui sont des gens à la fois fiers et humbles», estime Greg Millen, un ancien joueur aujourd'hui consultant pour la télévision canadienne.
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«Crosby, c’est le joueur le plus talentueux que je connaisse. Je l’ai croisé au Village olympique mais je n’ai pas osé lui parler», explique la skieuse Julia Murray qui aurait pourtant quelques arguments à faire valoir devant le célibataire le plus convoité du Canada. «Is he dating someone?», «la blonde (copine, en québécois) de Sidney». Les forums de discussions se multiplient sur la toile à propos du statut marital de Crosby. Idem à la télévision où des émissions de télé le filment en costard façon George Clooney. «C’est un gentleman», glisse Andrew Squires, responsables des skis de l’équipe de ski cross canadienne. Pas de doutes. A 23 ans, le Kid (un salaire de 8,7 millions de dollars par an) est l’homme à marier du Canada.
La faute à son talent. Plus jeune capitaine à avoir remporté la Coupe Stanley, Sid est adulé pour son hockey et respecté pour son image saine et lisse. «Les puristes sont forcément attachés à Crosby, il représente une certaine image des Canadiens, qui sont des gens à la fois fiers et humbles», estime Greg Millen, un ancien joueur aujourd'hui consultant pour la télévision canadienne.
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«Crosby, c’est le joueur le plus talentueux que je connaisse. Je l’ai croisé au Village olympique mais je n’ai pas osé lui parler», explique la skieuse Julia Murray qui aurait pourtant quelques arguments à faire valoir devant le célibataire le plus convoité du Canada. «Is he dating someone?», «la blonde (copine, en québécois) de Sidney». Les forums de discussions se multiplient sur la toile à propos du statut marital de Crosby. Idem à la télévision où des émissions de télé le filment en costard façon George Clooney. «C’est un gentleman», glisse Andrew Squires, responsables des skis de l’équipe de ski cross canadienne. Pas de doutes. A 23 ans, le Kid (un salaire de 8,7 millions de dollars par an) est l’homme à marier du Canada.
La faute à son talent. Plus jeune capitaine à avoir remporté la Coupe Stanley, Sid est adulé pour son hockey et respecté pour son image saine et lisse. «Les puristes sont forcément attachés à Crosby, il représente une certaine image des Canadiens, qui sont des gens à la fois fiers et humbles», estime Greg Millen, un ancien joueur aujourd'hui consultant pour la télévision canadienne.
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Côté pile : Sid, le joueur à marier
«Crosby, c’est le joueur le plus talentueux que je connaisse. Je l’ai croisé au Village olympique mais je n’ai pas osé lui parler», explique la skieuse Julia Murray qui aurait pourtant quelques arguments à faire valoir devant le célibataire le plus convoité du Canada. «Is he dating someone?», «la blonde (copine, en québécois) de Sidney». Les forums de discussions se multiplient sur la toile à propos du statut marital de Crosby. Idem à la télévision où des émissions de télé le filment en costard façon George Clooney. «C’est un gentleman», glisse Andrew Squires, responsables des skis de l’équipe de ski cross canadienne. Pas de doutes. A 23 ans, le Kid (un salaire de 8,7 millions de dollars par an) est l’homme à marier du Canada.
La faute à son talent. Plus jeune capitaine à avoir remporté la Coupe Stanley, Sid est adulé pour son hockey et respecté pour son image saine et lisse. «Les puristes sont forcément attachés à Crosby, il représente une certaine image des Canadiens, qui sont des gens à la fois fiers et humbles», estime Greg Millen, un ancien joueur aujourd'hui consultant pour la télévision canadienne.
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Côté pile : Sid, le joueur à marier
«Crosby, c’est le joueur le plus talentueux que je connaisse. Je l’ai croisé au Village olympique mais je n’ai pas osé lui parler», explique la skieuse Julia Murray qui aurait pourtant quelques arguments à faire valoir devant le célibataire le plus convoité du Canada. «Is he dating someone?», «la blonde (copine, en québécois) de Sidney». Les forums de discussions se multiplient sur la toile à propos du statut marital de Crosby. Idem à la télévision où des émissions de télé le filment en costard façon George Clooney. «C’est un gentleman», glisse Andrew Squires, responsables des skis de l’équipe de ski cross canadienne. Pas de doutes. A 23 ans, le Kid (un salaire de 8,7 millions de dollars par an) est l’homme à marier du Canada.
La faute à son talent. Plus jeune capitaine à avoir remporté la Coupe Stanley, Sid est adulé pour son hockey et respecté pour son image saine et lisse. «Les puristes sont forcément attachés à Crosby, il représente une certaine image des Canadiens, qui sont des gens à la fois fiers et humbles», estime Greg Millen, un ancien joueur aujourd'hui consultant pour la télévision canadienne.
Talent précoce réputé pour son habileté
Talent précoce réputé pour son habileté, le kid multiplie les records de précocité. A 11 ans, il est filmé sous toutes les coutures par l’émission Hockey night in Canada. Lors de sa première saison en NHL, il devient le plus jeune joueur à dépasser les 100 points. En 2006, le coach est vilipendé après ne pas l’avoir sélectionné pour le tournoi olympique que le Canada termine 7e. Depuis ce traumatisme, il censé être le sauveur du Canada. Une pression énorme sur les épaules du célibataire. C’est ce qu’a pu ressentir un patineur hollandais assailli par des fans à cause d'une vague ressemblance avec Crosby. «Puis, quand je révèle que je ne suis que Sven Kramer, je lis la déception sur les visages.»
Talent précoce réputé pour son habileté, le kid multiplie les records de précocité. A 11 ans, il est filmé sous toutes les coutures par l’émission Hockey night in Canada. Lors de sa première saison en NHL, il devient le plus jeune joueur à dépasser les 100 points. En 2006, le coach est vilipendé après ne pas l’avoir sélectionné pour le tournoi olympique que le Canada termine 7e. Depuis ce traumatisme, il censé être le sauveur du Canada. Une pression énorme sur les épaules du célibataire. C’est ce qu’a pu ressentir un patineur hollandais assailli par des fans à cause d'une vague ressemblance avec Crosby. «Puis, quand je révèle que je ne suis que Sven Kramer, je lis la déception sur les visages.»
Joker en 2006, Sid Crosby montre son deuxième visage sur une patinoire. «Il ne parle pas beaucoup mais c'est un leader par le jeu», explique Daniel, fan de son équipe. «Crosby inspire les autres par sa volonté et sa rage de vaincre», poursuit Andrew Squires. Voilà pour la version officielle des fans transis.
Pas vraiment celle des supporters adverses qui le détestent. Sur une patinoire, Crosby est réputé pour être un truqueur, un beau parleur avec les arbitres et surtout un plongeur (oui, comme Cristiano Ronaldo), un crime en hockey (dont cette simulation particulièrement ridicule lors d’une mise en jeu face aux Canadiens de Montreal). Des défauts qui ont surtout marqué son début de carrière mais qui le poursuivent. «My name is Cry baby Crosby», «Sidney, no diving»… A chaque match de son équipe des Penguins, les fans de NHL se déchaînent le parodiant en bébé pleureur.
Un poupin bagarreur aussi. Pas vraiment le dernier à mettre les poings, Crosby cumule plus de 100 min. de pénalités dès sa première saison, exploit inégalé. Dans ses faits d’arme les plus discutés, une bagarre rageuse avec Brett Mac Lean ou encore cette double-droite par derrière particulièrement sale.Pas sûr que ça dérange les fans qui ont un tournoi olympique à gagner…
Joker en 2006, Sid Crosby montre son deuxième visage sur une patinoire. «Il ne parle pas beaucoup mais c'est un leader par le jeu», explique Daniel, fan de son équipe. «Crosby inspire les autres par sa volonté et sa rage de vaincre», poursuit Andrew Squires. Voilà pour la version officielle des fans transis.
Pas vraiment celle des supporters adverses qui le détestent. Sur une patinoire, Crosby est réputé pour être un truqueur, un beau parleur avec les arbitres et surtout un plongeur (oui, comme Cristiano Ronaldo), un crime en hockey (dont cette simulation particulièrement ridicule lors d’une mise en jeu face aux Canadiens de Montreal). Des défauts qui ont surtout marqué son début de carrière mais qui le poursuivent. «My name is Cry baby Crosby», «Sidney, no diving»… A chaque match de son équipe des Penguins, les fans de NHL se déchaînent le parodiant en bébé pleureur.
Un poupin bagarreur aussi. Pas vraiment le dernier à mettre les poings, Crosby cumule plus de 100 min. de pénalités dès sa première saison, exploit inégalé. Dans ses faits d’arme les plus discutés, une bagarre rageuse avec Brett Mac Lean ou encore cette double-droite par derrière particulièrement sale.Pas sûr que ça dérange les fans qui ont un tournoi olympique à gagner…
Joker en 2006, Sid Crosby montre son deuxième visage sur une patinoire. «Il ne parle pas beaucoup mais c'est un leader par le jeu», explique Daniel, fan de son équipe. «Crosby inspire les autres par sa volonté et sa rage de vaincre», poursuit Andrew Squires. Voilà pour la version officielle des fans transis.
Pas vraiment celle des supporters adverses qui le détestent. Sur une patinoire, Crosby est réputé pour être un truqueur, un beau parleur avec les arbitres et surtout un plongeur (oui, comme Cristiano Ronaldo), un crime en hockey (dont cette simulation particulièrement ridicule lors d’une mise en jeu face aux Canadiens de Montreal). Des défauts qui ont surtout marqué son début de carrière mais qui le poursuivent. «My name is Cry baby Crosby», «Sidney, no diving»… A chaque match de son équipe des Penguins, les fans de NHL se déchaînent le parodiant en bébé pleureur.
Un poupin bagarreur aussi. Pas vraiment le dernier à mettre les poings, Crosby cumule plus de 100 min. de pénalités dès sa première saison, exploit inégalé. Dans ses faits d’arme les plus discutés, une bagarre rageuse avec Brett Mac Lean ou encore cette double-droite par derrière particulièrement sale.Pas sûr que ça dérange les fans qui ont un tournoi olympique à gagner…
Joker en 2006, Sid Crosby montre son deuxième visage sur une patinoire. «Il ne parle pas beaucoup mais c'est un leader par le jeu», explique Daniel, fan de son équipe. «Crosby inspire les autres par sa volonté et sa rage de vaincre», poursuit Andrew Squires. Voilà pour la version officielle des fans transis.
Pas vraiment celle des supporters adverses qui le détestent. Sur une patinoire, Crosby est réputé pour être un truqueur, un beau parleur avec les arbitres et surtout un plongeur (oui, comme Cristiano Ronaldo), un crime en hockey (dont cette simulation particulièrement ridicule lors d’une mise en jeu face aux Canadiens de Montreal). Des défauts qui ont surtout marqué son début de carrière mais qui le poursuivent. «My name is Cry baby Crosby», «Sidney, no diving»… A chaque match de son équipe des Penguins, les fans de NHL se déchaînent le parodiant en bébé pleureur.
Un poupin bagarreur aussi. Pas vraiment le dernier à mettre les poings, Crosby cumule plus de 100 min. de pénalités dès sa première saison, exploit inégalé. Dans ses faits d’arme les plus discutés, une bagarre rageuse avec Brett Mac Lean ou encore cette double-droite par derrière particulièrement sale.Pas sûr que ça dérange les fans qui ont un tournoi olympique à gagner…
Joker en 2006, Sid Crosby montre son deuxième visage sur une patinoire. «Il ne parle pas beaucoup mais c'est un leader par le jeu», explique Daniel, fan de son équipe. «Crosby inspire les autres par sa volonté et sa rage de vaincre», poursuit Andrew Squires. Voilà pour la version officielle des fans transis.
Pas vraiment celle des supporters adverses qui le détestent. Sur une patinoire, Crosby est réputé pour être un truqueur, un beau parleur avec les arbitres et surtout un plongeur (oui, comme Cristiano Ronaldo), un crime en hockey (dont cette simulation particulièrement ridicule lors d’une mise en jeu face aux Canadiens de Montreal). Des défauts qui ont surtout marqué son début de carrière mais qui le poursuivent. «My name is Cry baby Crosby», «Sidney, no diving»… A chaque match de son équipe des Penguins, les fans de NHL se déchaînent le parodiant en bébé pleureur.
Un poupin bagarreur aussi. Pas vraiment le dernier à mettre les poings, Crosby cumule plus de 100 min. de pénalités dès sa première saison, exploit inégalé. Dans ses faits d’arme les plus discutés, une bagarre rageuse avec Brett Mac Lean ou encore cette double-droite par derrière particulièrement sale.Pas sûr que ça dérange les fans qui ont un tournoi olympique à gagner…
Joker en 2006, Sid Crosby montre son deuxième visage sur une patinoire. «Il ne parle pas beaucoup mais c'est un leader par le jeu», explique Daniel, fan de son équipe. «Crosby inspire les autres par sa volonté et sa rage de vaincre», poursuit Andrew Squires. Voilà pour la version officielle des fans transis.
Pas vraiment celle des supporters adverses qui le détestent. Sur une patinoire, Crosby est réputé pour être un truqueur, un beau parleur avec les arbitres et surtout un plongeur (oui, comme Cristiano Ronaldo), un crime en hockey (dont cette simulation particulièrement ridicule lors d’une mise en jeu face aux Canadiens de Montreal). Des défauts qui ont surtout marqué son début de carrière mais qui le poursuivent. «My name is Cry baby Crosby», «Sidney, no diving»… A chaque match de son équipe des Penguins, les fans de NHL se déchaînent le parodiant en bébé pleureur.
Un poupin bagarreur aussi. Pas vraiment le dernier à mettre les poings, Crosby cumule plus de 100 min. de pénalités dès sa première saison, exploit inégalé. Dans ses faits d’arme les plus discutés, une bagarre rageuse avec Brett Mac Lean ou encore cette double-droite par derrière particulièrement sale.Pas sûr que ça dérange les fans qui ont un tournoi olympique à gagner…
Joker en 2006, Sid Crosby montre son deuxième visage sur une patinoire. «Il ne parle pas beaucoup mais c'est un leader par le jeu», explique Daniel, fan de son équipe. «Crosby inspire les autres par sa volonté et sa rage de vaincre», poursuit Andrew Squires. Voilà pour la version officielle des fans transis.
Pas vraiment celle des supporters adverses qui le détestent. Sur une patinoire, Crosby est réputé pour être un truqueur, un beau parleur avec les arbitres et surtout un plongeur (oui, comme Cristiano Ronaldo), un crime en hockey (dont cette simulation particulièrement ridicule lors d’une mise en jeu face aux Canadiens de Montreal). Des défauts qui ont surtout marqué son début de carrière mais qui le poursuivent. «My name is Cry baby Crosby», «Sidney, no diving»… A chaque match de son équipe des Penguins, les fans de NHL se déchaînent le parodiant en bébé pleureur.
Un poupin bagarreur aussi. Pas vraiment le dernier à mettre les poings, Crosby cumule plus de 100 min. de pénalités dès sa première saison, exploit inégalé. Dans ses faits d’arme les plus discutés, une bagarre rageuse avec Brett Mac Lean ou encore cette double-droite par derrière particulièrement sale.Pas sûr que ça dérange les fans qui ont un tournoi olympique à gagner…