Flaio Briatore n’est pas sorti d’affaire. La Fédération internationale automobile (FIA) vient d’annoncer qu’elle allait faire appel à la suite du jugement du TGI de Paris du 5 janvier qui avait annulé la radiation à vie de l'ancien directeur de l'écurie Renault de F1 prononcée par le Conseil Mondial de la FIA le 21 septembre.

Flaio Briatore n’est pas sorti d’affaire. La Fédération internationale automobile (FIA) vient d’annoncer qu’elle allait faire appel à la suite du jugement du TGI de Paris du 5 janvier qui avait annulé la radiation à vie de l'ancien directeur de l'écurie Renault de F1 prononcée par le Conseil Mondial de la FIA le 21 septembre.

«Le président de la FIA a consulté le sénat et les avocats de la FIA au sujet de la décision du TGI du 5 janvier. Il a été décidé à l’unanimité de préparer un recours en appel», souligne le communiqué. «Tant que l’appel sera en cours, la décision du Conseil Mondial du Sport Automobile du 21 septembre 2009 continuera à produire tous ses effets.» Autrement dit, la FIA estime que Flavio Briatore n’est toujours pas le bienvenu dans le monde de la F1.

La semaine dernière, le TGI de Paris a reconnu qu'il n'avait pas compétence pour se prononcer sur la responsabilité de Briatore dans l'affaire du Crashgate (l’ancien directeur de Renault est accusé d'avoir fomenté l'accident volontaire de Nelson Piquet Jr. au GP de Singapour 2008 qui avait permis la victoire d’Alonso). En revanche, le tribunal avait cassé la radiation à vie de Briatore car le Conseil mondial ne peut, selon lui, prendre de sanctions à l’encontre de deux personnes sur lesquelles il n'avait pas autorité. Le feuilleton ne fait que commencer.

La semaine dernière, le TGI de Paris a reconnu qu'il n'avait pas compétence pour se prononcer sur la responsabilité de Briatore dans l'affaire du Crashgate (l’ancien directeur de Renault est accusé d'avoir fomenté l'accident volontaire de Nelson Piquet Jr. au GP de Singapour 2008 qui avait permis la victoire d’Alonso). En revanche, le tribunal avait cassé la radiation à vie de Briatore car le Conseil mondial ne peut, selon lui, prendre de sanctions à l’encontre de deux personnes sur lesquelles il n'avait pas autorité. Le feuilleton ne fait que commencer.