Gagner un grand Tour. Cadel Evans en rêve depuis qu’il a posé ses fesses de vététistes sur un vélo de route. A 32 ans, le champion du monde australien espère bien y parvenir sous les couleurs de sa nouvelle formation, BMC qu’il a rejoint en fin de semaine dernière. Il s’est d’ailleurs tout de suite dit «ravi de la qualité de sa nouvelle équipe et de la liberté qu'elle lui accordait.»
«Je peux faire tout ce que je veux», affirme l’ancien leader de l’équipe Silence Lotto, pas vraiment inquiet quant à sa participation pour le Tour de France (BMC étant classé à l’échelon Continental). «Nous sommes assurés d'être au départ du Tour d'Italie, et ensuite c'est à nous de prouver que nous avons notre place sur le Tour de France».
Le champion australien a précisé que son choix de quitter l'écurie belge Silence tenait autant à l'ambiance au sein du groupe qu'à la qualité des coureurs.
Le champion australien«Je peux faire tout ce que je veux», affirme l’ancien leader de l’équipe Silence Lotto, pas vraiment inquiet quant à sa participation pour le Tour de France (BMC étant classé à l’échelon Continental). «Nous sommes assurés d'être au départ du Tour d'Italie, et ensuite c'est à nous de prouver que nous avons notre place sur le Tour de France».
Le champion australien a précisé que son choix de quitter l'écurie belge Silence tenait autant à l'ambiance au sein du groupe qu'à la qualité des coureurs.
«Quand vous cherchez une équipe en tant que coureur de grands tours, vous avez besoin d'une équipe qui soit à 100% derrière vous dès le premier jour. Mais vous avez aussi besoin de coureurs qui soient capables de le faire, physiquement capables de faire le boulot nécessaire.»