FOOTLucho Gonzalez, la classe à l'argentine

Lucho Gonzalez, la classe à l'argentine

FOOTQuatrième volet de notre série des bons coups de l'été avec l'Argentin en provenance du FC Porto. Vendredi: Grégory Coupet...
Alexandra Patard

Alexandra Patard

D’un naturel plutôt discret, la recrue olympienne n’est pas du genre à frimer. Du haut de ses 28 ans, le garçon est plutôt souriant. A Marseille, la recrue la plus chère de l’histoire du club (18 millions d’euros) est devenue en quelques semaines une icône à la Commanderie. «Un super mec, très humble et sympathique», comme le décrit Steve Mananda. Les supporters n’ont d’yeux que pour lui et ses nombreux tatouages. Des «Lucho, Lucho» se font entendre à chacune de ses sorties. «C'est la chose qui m'a le plus surpris en arrivant : l'ampleur de ce phénomène, de ce fanatisme pour l'OM, cette passion, aussi bien en match qu'à l'entraînement», a déclaré le joueur en arrivant à Marseille. Il devra s’y habituer.

Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.

Couac avec Chateauroux

Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.

Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.

Presque à la maison

Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
C'est la chose qui m'a le plus surpris en arrivant
D’un naturel plutôt discret, la recrue olympienne n’est pas du genre à frimer. Du haut de ses 28 ans, le garçon est plutôt souriant. A Marseille, la recrue la plus chère de l’histoire du club (18 millions d’euros) est devenue en quelques semaines une icône à la Commanderie. «Un super mec, très humble et sympathique», comme le décrit Steve Mananda. Les supporters n’ont d’yeux que pour lui et ses nombreux tatouages. Des «Lucho, Lucho» se font entendre à chacune de ses sorties. «C'est la chose qui m'a le plus surpris en arrivant : l'ampleur de ce phénomène, de ce fanatisme pour l'OM, cette passion, aussi bien en match qu'à l'entraînement», a déclaré le joueur en arrivant à Marseille. Il devra s’y habituer.

Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.

Couac avec Chateauroux

Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.

Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.

Presque à la maison

Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.


D’un naturel plutôt discret, la recrue olympienne n’est pas du genre à frimer. Du haut de ses 28 ans, le garçon est plutôt souriant. A Marseille, la recrue la plus chère de l’histoire du club (18 millions d’euros) est devenue en quelques semaines une icône à la Commanderie. «Un super mec, très humble et sympathique», comme le décrit Steve Mananda. Les supporters n’ont d’yeux que pour lui et ses nombreux tatouages. Des «Lucho, Lucho» se font entendre à chacune de ses sorties. «C'est la chose qui m'a le plus surpris en arrivant : l'ampleur de ce phénomène, de ce fanatisme pour l'OM, cette passion, aussi bien en match qu'à l'entraînement», a déclaré le joueur en arrivant à Marseille. Il devra s’y habituer.

Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.

Couac avec Chateauroux

Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.

Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.

Presque à la maison

Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
«la priorité des priorités» pour Deschamps
D’un naturel plutôt discret, la recrue olympienne n’est pas du genre à frimer. Du haut de ses 28 ans, le garçon est plutôt souriant. A Marseille, la recrue la plus chère de l’histoire du club (18 millions d’euros) est devenue en quelques semaines une icône à la Commanderie. «Un super mec, très humble et sympathique», comme le décrit Steve Mananda. Les supporters n’ont d’yeux que pour lui et ses nombreux tatouages. Des «Lucho, Lucho» se font entendre à chacune de ses sorties. «C'est la chose qui m'a le plus surpris en arrivant : l'ampleur de ce phénomène, de ce fanatisme pour l'OM, cette passion, aussi bien en match qu'à l'entraînement», a déclaré le joueur en arrivant à Marseille. Il devra s’y habituer.

Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.

Couac avec Chateauroux

Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.

Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.

Presque à la maison

Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.


D’un naturel
plutôt discret, la recrue olympienne n’est pas du genre à frimer. Du haut de ses 28 ans, le garçon est plutôt souriant. A Marseille, la recrue la plus chère de l’histoire du club (18 millions d’euros) est devenue en quelques semaines une icône à la Commanderie. «Un super mec, très humble et sympathique», comme le décrit Steve Mananda. Les supporters n’ont d’yeux que pour lui et ses nombreux tatouages. Des «Lucho, Lucho» se font entendre à chacune de ses sorties. «C'est la chose qui m'a le plus surpris en arrivant : l'ampleur de ce phénomène, de ce fanatisme pour l'OM, cette passion, aussi bien en match qu'à l'entraînement», a déclaré le joueur en arrivant à Marseille. Il devra s’y habituer.

Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.

Couac avec Chateauroux

Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.

Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.

Presque à la maison

Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.


D’un naturel plutôt discret, la recrue olympienne n’est pas du genre à frimer. Du haut de ses 28 ans, le garçon est plutôt souriant. A Marseille, la recrue la plus chère de l’histoire du club (18 millions d’euros) est devenue en quelques semaines une icône à la Commanderie. «Un super mec, très humble et sympathique», comme le décrit Steve Mananda. Les supporters n’ont d’yeux que pour lui et ses nombreux tatouages. Des «Lucho, Lucho» se font entendre à chacune de ses sorties. «C'est la chose qui m'a le plus surpris en arrivant : l'ampleur de ce phénomène, de ce fanatisme pour l'OM, cette passion, aussi bien en match qu'à l'entraînement», a déclaré le joueur en arrivant à Marseille. Il devra s’y habituer.

Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.

Couac avec Chateauroux

Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.

Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.

Presque à la maison

Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux
D’un naturel plutôt discret, la recrue olympienne n’est pas du genre à frimer. Du haut de ses 28 ans, le garçon est plutôt souriant. A Marseille, la recrue la plus chère de l’histoire du club (18 millions d’euros) est devenue en quelques semaines une icône à la Commanderie. «Un super mec, très humble et sympathique», comme le décrit Steve Mananda. Les supporters n’ont d’yeux que pour lui et ses nombreux tatouages. Des «Lucho, Lucho» se font entendre à chacune de ses sorties. «C'est la chose qui m'a le plus surpris en arrivant : l'ampleur de ce phénomène, de ce fanatisme pour l'OM, cette passion, aussi bien en match qu'à l'entraînement», a déclaré le joueur en arrivant à Marseille. Il devra s’y habituer.

Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.

Couac avec Chateauroux

Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.

Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.

Presque à la maison

Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
pizzeria de Mimo
D’un naturel plutôt discret, la recrue olympienne n’est pas du genre à frimer. Du haut de ses 28 ans, le garçon est plutôt souriant. A Marseille, la recrue la plus chère de l’histoire du club (18 millions d’euros) est devenue en quelques semaines une icône à la Commanderie. «Un super mec, très humble et sympathique», comme le décrit Steve Mananda. Les supporters n’ont d’yeux que pour lui et ses nombreux tatouages. Des «Lucho, Lucho» se font entendre à chacune de ses sorties. «C'est la chose qui m'a le plus surpris en arrivant : l'ampleur de ce phénomène, de ce fanatisme pour l'OM, cette passion, aussi bien en match qu'à l'entraînement», a déclaré le joueur en arrivant à Marseille. Il devra s’y habituer.

Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.

Couac avec Chateauroux

Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.

Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.

Presque à la maison

Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.


Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.

Presque à la maison

Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
l'OM est un grand club de niveau mondial

Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.

Presque à la maison

Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.



Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.

Presque à la maison

Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.



Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.

Presque à la maison

Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM

Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.

Presque à la maison

Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
sa blessure à la clavicule gauche

Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.

Presque à la maison

Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.