Lucho Gonzalez, la classe à l'argentine
FOOT•Quatrième volet de notre série des bons coups de l'été avec l'Argentin en provenance du FC Porto. Vendredi: Grégory Coupet...Alexandra Patard
Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.
Couac avec Chateauroux
Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.
Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.
Presque à la maison
Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.
Couac avec Chateauroux
Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.
Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.
Presque à la maison
Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.
Couac avec Chateauroux
Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.
Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.
Presque à la maison
Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.
Couac avec Chateauroux
Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.
Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.
Presque à la maison
Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.
Couac avec Chateauroux
Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.
Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.
Presque à la maison
Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.
Couac avec Chateauroux
Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.
Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.
Presque à la maison
Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.
Couac avec Chateauroux
Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.
Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.
Presque à la maison
Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
Originaire de Buenos Aires, Luis Oscar González représente une nouvelle ambition pour le club olympien. Trois fois champion du Portugal avec le FC Porto, Lucho était «la priorité des priorités» pour Deschamps pendant l’intersaison. «Ça faisait longtemps qu'on avait pas vu quelqu'un de son calibre en Ligue 1», ajoute le coach marseillais. Que d’éloges pour le nouveau milieu de terrain lors de son retour en France. Parce qu’avant de poser ses valises dans le sud de la France, Lucho Gonzalez avait déjà débarqué dans l’hexagone.
Couac avec Chateauroux
Formé à l’Atlético Huracán (D2 argentine), Lucho a bien failli rejoindre le club de Châteauroux. Après un mois d’essai effectué à la Berrichone en 2002, une histoire de gros sous fait avorter l’opération. Une belle drôle d’histoire qu’aime raconter son agent Omar da Fonseca. «Il a passé un mois là-bas, tout le temps fourré à la pizzeria de Mimo. Il suffisait de 100 000 dollars (70.000 euros), mais cela ne s'est pas fait. Alors le président de River Plate m'a appelé et il est allé là-bas...». Un mal peut-être pour un bien. Si Gonzalez avait joué dans le Berri, il n’aurait peut-être pas gravi les échelons et jouer au Portugal.
Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.
Presque à la maison
Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.
Presque à la maison
Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.
Presque à la maison
Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.
Presque à la maison
Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.
Presque à la maison
Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.
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Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.
Signer à Marseille coulait de source pour la capitaine des Dragons. «J'avais besoin de changement et l'OM est un grand club de niveau mondial, avec des objectifs ambitieux, la victoire en championnat, une belle carrière en Ligue des champions ; j'avais envie de m'associer à sa progression, à son ambition» a-t-il déclaré. Son transfert du FC Porto à l’OM n’a pourtant pas été simple. Les négociations ont traîné en longueur, en cause le montant des primes à la performance du joueur. Finalement, un accord est trouvé début juillet. L’international argentin s’engage avec le club pour quatre ans et six millions de bonus sportif.
Presque à la maison
Lucho Gonzalez ne parle pas encore le français. Pour l’instant, il communique en espagnol avec Didier Deschamps et en portugais avec les deux Brésiliens Brandao et Hilton. Presqu’installé, Lucho recherche une maison dans la région pour pouvoir emménager en famille avec ses deux fils. Son coéquipier Edouard Cissé reste confiant sur l’adaptation de l’Argentin à l’OM. «Il a passé quatre ans au Portugal et il faut qu’il s’adapte un peu au football et aux moeurs françaises», remarque-t-il. «Je l’avais joué il y a deux ans avec Besiktas. J’avais aimé l’homme, il était très cool. Il est calme, professionnel. C’est une adaptation qui se fait tranquillement mais sûrement». En attendant de le revoir sous les couleurs olympiennes, le joueur se remet de sa blessure à la clavicule gauche, qui le rend indisponible pour quatre à six semaines. Un peu juste pour l’un des premiers chocs de la Ligue 1 contre Bordeaux le 30 août.