CYCLISMETour de France: comment les contrôleurs cherchent à épingler les dopés

Tour de France: comment les contrôleurs cherchent à épingler les dopés

CYCLISMELa méthode de ciblage est reconduite sur le Tour 2009...
M. Go.

M. Go.

Depuis quelques semaines, il n’y a pas que les coureurs à se préparer au Tour de France. Dans l’ombre, l’armée de la lutte contre le dopage affine elle aussi sa stratégie. «J’étais justement à l’instant au téléphone avec mon homologue de l’UCI pour régler les derniers détails», témoigne mercredi matin Jean-Pierre Verdy, directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).obligé de coopérer cette année avec la fédération internationale (UCI).


Ce rapprochement ne change officiellement rien à la politique des contrôles ciblés mis en place avec succès par l’AFLD, seule responsable des contrôles sur le Tour l’année dernière. A compter du départ de Monaco samedi et pendant trois semaines, plus de 250 contrôles (urine et sang) seront diligentés: à chaque étape, le maillot jaune, le vainqueur d’étape ainsi que les coureurs ciblés sur la base d’informations récoltées par l’AFLD et l’UCI (et non des coureurs tirés au sort) passeront entre les mains de deux préleveurs. «Cette méthode de ciblage a profondément modifié notre métier. Nous travaillons avec les services de police de tous les pays. Et nous disposons aujourd’hui de tout un réseau d’informateurs dans le monde du cyclisme qui nous renseignent sur les mœurs de certains cyclistes», explique Jean-Pierre Verdy qui pourra également s’appuyer cette année sur les données du passeport sanguin de l’UCI. Sans oublier les infos lâchées par les coureurs du peloton sur leurs collèguesau comportement douteux.

De nouvelles molécules

A quelques jours du départ, une cinquantaine de coureurs sont d’ores et déjà ciblés. Mais ce travail de flic va continuer pendant toute l’épreuve pour jouer sur l’effet de surprise. Jusqu’à 15 minutes avant la fin de chaque étape, l’AFLD et l’UCI peuvent changer l’identité des cyclistes ciblés. «Moins les dopés savent qui et ce que nous cherchons, mieux c’est. Sinon, ils s’adaptent pour passer au travers. C’est ce que nous a confié Bernhard Kohl. Il a été très surpris d’être attrapé en 2008», explique Pierre Bordry, le directeur de l’AFLD. Cette recherche continuelle d’indices a permis en 2008 d’exclure Manuel Beltran, contrôlé positif au terme de la première journée de course, après que les contrôleurs ont reçu des infos au cours de l'étape.

Quelques jours plus tard, Roberto Ricco, le grand animateur du début du Tour 2008, se faisait prendre à l'EPO Cera, un produit tout récent dans le peloton. Car cette politique de ciblage, aussi efficace soit-elle, ne doit pas faire oublier la recherche scientifique, l’autre nerf de la guerre contre le dopage. «Cette année encore, nous avons découvert de nouvelles molécules. Les tests sont en développement ou ont déjà été développés», glisse mystérieusement Jean-Pierre Verdy.

’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).

Depuis quelques semaines, il n’y a pas que les coureurs à se préparer au Tour de France. Dans l’ombre, l’armée de la lutte contre le dopage affine elle aussi sa stratégie. «J’étais justement à l’instant au téléphone avec mon homologue de l’UCI pour régler les derniers détails», témoigne mercredi matin Jean-Pierre Verdy, directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).obligé de coopérer cette année avec la fédération internationale (UCI).


Ce rapprochement ne change officiellement rien à la politique des contrôles ciblés mis en place avec succès par l’AFLD, seule responsable des contrôles sur le Tour l’année dernière. A compter du départ de Monaco samedi et pendant trois semaines, plus de 250 contrôles (urine et sang) seront diligentés: à chaque étape, le maillot jaune, le vainqueur d’étape ainsi que les coureurs ciblés sur la base d’informations récoltées par l’AFLD et l’UCI (et non des coureurs tirés au sort) passeront entre les mains de deux préleveurs. «Cette méthode de ciblage a profondément modifié notre métier. Nous travaillons avec les services de police de tous les pays. Et nous disposons aujourd’hui de tout un réseau d’informateurs dans le monde du cyclisme qui nous renseignent sur les mœurs de certains cyclistes», explique Jean-Pierre Verdy qui pourra également s’appuyer cette année sur les données du passeport sanguin de l’UCI. Sans oublier les infos lâchées par les coureurs du peloton sur leurs collèguesau comportement douteux.

De nouvelles molécules

A quelques jours du départ, une cinquantaine de coureurs sont d’ores et déjà ciblés. Mais ce travail de flic va continuer pendant toute l’épreuve pour jouer sur l’effet de surprise. Jusqu’à 15 minutes avant la fin de chaque étape, l’AFLD et l’UCI peuvent changer l’identité des cyclistes ciblés. «Moins les dopés savent qui et ce que nous cherchons, mieux c’est. Sinon, ils s’adaptent pour passer au travers. C’est ce que nous a confié Bernhard Kohl. Il a été très surpris d’être attrapé en 2008», explique Pierre Bordry, le directeur de l’AFLD. Cette recherche continuelle d’indices a permis en 2008 d’exclure Manuel Beltran, contrôlé positif au terme de la première journée de course, après que les contrôleurs ont reçu des infos au cours de l'étape.

Quelques jours plus tard, Roberto Ricco, le grand animateur du début du Tour 2008, se faisait prendre à l'EPO Cera, un produit tout récent dans le peloton. Car cette politique de ciblage, aussi efficace soit-elle, ne doit pas faire oublier la recherche scientifique, l’autre nerf de la guerre contre le dopage. «Cette année encore, nous avons découvert de nouvelles molécules. Les tests sont en développement ou ont déjà été développés», glisse mystérieusement Jean-Pierre Verdy.

fédération internationale (UCI)

Depuis quelques semaines, il n’y a pas que les coureurs à se préparer au Tour de France. Dans l’ombre, l’armée de la lutte contre le dopage affine elle aussi sa stratégie. «J’étais justement à l’instant au téléphone avec mon homologue de l’UCI pour régler les derniers détails», témoigne mercredi matin Jean-Pierre Verdy, directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).obligé de coopérer cette année avec la fédération internationale (UCI).


Ce rapprochement ne change officiellement rien à la politique des contrôles ciblés mis en place avec succès par l’AFLD, seule responsable des contrôles sur le Tour l’année dernière. A compter du départ de Monaco samedi et pendant trois semaines, plus de 250 contrôles (urine et sang) seront diligentés: à chaque étape, le maillot jaune, le vainqueur d’étape ainsi que les coureurs ciblés sur la base d’informations récoltées par l’AFLD et l’UCI (et non des coureurs tirés au sort) passeront entre les mains de deux préleveurs. «Cette méthode de ciblage a profondément modifié notre métier. Nous travaillons avec les services de police de tous les pays. Et nous disposons aujourd’hui de tout un réseau d’informateurs dans le monde du cyclisme qui nous renseignent sur les mœurs de certains cyclistes», explique Jean-Pierre Verdy qui pourra également s’appuyer cette année sur les données du passeport sanguin de l’UCI. Sans oublier les infos lâchées par les coureurs du peloton sur leurs collèguesau comportement douteux.

De nouvelles molécules

A quelques jours du départ, une cinquantaine de coureurs sont d’ores et déjà ciblés. Mais ce travail de flic va continuer pendant toute l’épreuve pour jouer sur l’effet de surprise. Jusqu’à 15 minutes avant la fin de chaque étape, l’AFLD et l’UCI peuvent changer l’identité des cyclistes ciblés. «Moins les dopés savent qui et ce que nous cherchons, mieux c’est. Sinon, ils s’adaptent pour passer au travers. C’est ce que nous a confié Bernhard Kohl. Il a été très surpris d’être attrapé en 2008», explique Pierre Bordry, le directeur de l’AFLD. Cette recherche continuelle d’indices a permis en 2008 d’exclure Manuel Beltran, contrôlé positif au terme de la première journée de course, après que les contrôleurs ont reçu des infos au cours de l'étape.

Quelques jours plus tard, Roberto Ricco, le grand animateur du début du Tour 2008, se faisait prendre à l'EPO Cera, un produit tout récent dans le peloton. Car cette politique de ciblage, aussi efficace soit-elle, ne doit pas faire oublier la recherche scientifique, l’autre nerf de la guerre contre le dopage. «Cette année encore, nous avons découvert de nouvelles molécules. Les tests sont en développement ou ont déjà été développés», glisse mystérieusement Jean-Pierre Verdy.



Depuis quelques semaines, il n’y a pas que les coureurs à se préparer au Tour de France. Dans l’ombre, l’armée de la lutte contre le dopage affine elle aussi sa stratégie. «J’étais justement à l’instant au téléphone avec mon homologue de l’UCI pour régler les derniers détails», témoigne mercredi matin Jean-Pierre Verdy, directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).obligé de coopérer cette année avec la fédération internationale (UCI).


Ce rapprochement ne change officiellement rien à la politique des contrôles ciblés mis en place avec succès par l’AFLD, seule responsable des contrôles sur le Tour l’année dernière. A compter du départ de Monaco samedi et pendant trois semaines, plus de 250 contrôles (urine et sang) seront diligentés: à chaque étape, le maillot jaune, le vainqueur d’étape ainsi que les coureurs ciblés sur la base d’informations récoltées par l’AFLD et l’UCI (et non des coureurs tirés au sort) passeront entre les mains de deux préleveurs. «Cette méthode de ciblage a profondément modifié notre métier. Nous travaillons avec les services de police de tous les pays. Et nous disposons aujourd’hui de tout un réseau d’informateurs dans le monde du cyclisme qui nous renseignent sur les mœurs de certains cyclistes», explique Jean-Pierre Verdy qui pourra également s’appuyer cette année sur les données du passeport sanguin de l’UCI. Sans oublier les infos lâchées par les coureurs du peloton sur leurs collèguesau comportement douteux.

De nouvelles molécules

A quelques jours du départ, une cinquantaine de coureurs sont d’ores et déjà ciblés. Mais ce travail de flic va continuer pendant toute l’épreuve pour jouer sur l’effet de surprise. Jusqu’à 15 minutes avant la fin de chaque étape, l’AFLD et l’UCI peuvent changer l’identité des cyclistes ciblés. «Moins les dopés savent qui et ce que nous cherchons, mieux c’est. Sinon, ils s’adaptent pour passer au travers. C’est ce que nous a confié Bernhard Kohl. Il a été très surpris d’être attrapé en 2008», explique Pierre Bordry, le directeur de l’AFLD. Cette recherche continuelle d’indices a permis en 2008 d’exclure Manuel Beltran, contrôlé positif au terme de la première journée de course, après que les contrôleurs ont reçu des infos au cours de l'étape.

Quelques jours plus tard, Roberto Ricco, le grand animateur du début du Tour 2008, se faisait prendre à l'EPO Cera, un produit tout récent dans le peloton. Car cette politique de ciblage, aussi efficace soit-elle, ne doit pas faire oublier la recherche scientifique, l’autre nerf de la guerre contre le dopage. «Cette année encore, nous avons découvert de nouvelles molécules. Les tests sont en développement ou ont déjà été développés», glisse mystérieusement Jean-Pierre Verdy.

cette année sur les données du passeport sanguin de l’UCI.

Depuis quelques semaines, il n’y a pas que les coureurs à se préparer au Tour de France. Dans l’ombre, l’armée de la lutte contre le dopage affine elle aussi sa stratégie. «J’étais justement à l’instant au téléphone avec mon homologue de l’UCI pour régler les derniers détails», témoigne mercredi matin Jean-Pierre Verdy, directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).obligé de coopérer cette année avec la fédération internationale (UCI).


Ce rapprochement ne change officiellement rien à la politique des contrôles ciblés mis en place avec succès par l’AFLD, seule responsable des contrôles sur le Tour l’année dernière. A compter du départ de Monaco samedi et pendant trois semaines, plus de 250 contrôles (urine et sang) seront diligentés: à chaque étape, le maillot jaune, le vainqueur d’étape ainsi que les coureurs ciblés sur la base d’informations récoltées par l’AFLD et l’UCI (et non des coureurs tirés au sort) passeront entre les mains de deux préleveurs. «Cette méthode de ciblage a profondément modifié notre métier. Nous travaillons avec les services de police de tous les pays. Et nous disposons aujourd’hui de tout un réseau d’informateurs dans le monde du cyclisme qui nous renseignent sur les mœurs de certains cyclistes», explique Jean-Pierre Verdy qui pourra également s’appuyer cette année sur les données du passeport sanguin de l’UCI. Sans oublier les infos lâchées par les coureurs du peloton sur leurs collèguesau comportement douteux.

De nouvelles molécules

A quelques jours du départ, une cinquantaine de coureurs sont d’ores et déjà ciblés. Mais ce travail de flic va continuer pendant toute l’épreuve pour jouer sur l’effet de surprise. Jusqu’à 15 minutes avant la fin de chaque étape, l’AFLD et l’UCI peuvent changer l’identité des cyclistes ciblés. «Moins les dopés savent qui et ce que nous cherchons, mieux c’est. Sinon, ils s’adaptent pour passer au travers. C’est ce que nous a confié Bernhard Kohl. Il a été très surpris d’être attrapé en 2008», explique Pierre Bordry, le directeur de l’AFLD. Cette recherche continuelle d’indices a permis en 2008 d’exclure Manuel Beltran, contrôlé positif au terme de la première journée de course, après que les contrôleurs ont reçu des infos au cours de l'étape.

Quelques jours plus tard, Roberto Ricco, le grand animateur du début du Tour 2008, se faisait prendre à l'EPO Cera, un produit tout récent dans le peloton. Car cette politique de ciblage, aussi efficace soit-elle, ne doit pas faire oublier la recherche scientifique, l’autre nerf de la guerre contre le dopage. «Cette année encore, nous avons découvert de nouvelles molécules. Les tests sont en développement ou ont déjà été développés», glisse mystérieusement Jean-Pierre Verdy.


Depuis quelques semaines, il n’y a pas que les coureurs à se préparer au Tour de France. Dans l’ombre, l’armée de la lutte contre le dopage affine elle aussi sa stratégie. «J’étais justement à l’instant au téléphone avec mon homologue de l’UCI pour régler les derniers détails», témoigne mercredi matin Jean-Pierre Verdy, directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).obligé de coopérer cette année avec la fédération internationale (UCI).


Ce rapprochement ne change officiellement rien à la politique des contrôles ciblés mis en place avec succès par l’AFLD, seule responsable des contrôles sur le Tour l’année dernière. A compter du départ de Monaco samedi et pendant trois semaines, plus de 250 contrôles (urine et sang) seront diligentés: à chaque étape, le maillot jaune, le vainqueur d’étape ainsi que les coureurs ciblés sur la base d’informations récoltées par l’AFLD et l’UCI (et non des coureurs tirés au sort) passeront entre les mains de deux préleveurs. «Cette méthode de ciblage a profondément modifié notre métier. Nous travaillons avec les services de police de tous les pays. Et nous disposons aujourd’hui de tout un réseau d’informateurs dans le monde du cyclisme qui nous renseignent sur les mœurs de certains cyclistes», explique Jean-Pierre Verdy qui pourra également s’appuyer cette année sur les données du passeport sanguin de l’UCI. Sans oublier les infos lâchées par les coureurs du peloton sur leurs collèguesau comportement douteux.

De nouvelles molécules

A quelques jours du départ, une cinquantaine de coureurs sont d’ores et déjà ciblés. Mais ce travail de flic va continuer pendant toute l’épreuve pour jouer sur l’effet de surprise. Jusqu’à 15 minutes avant la fin de chaque étape, l’AFLD et l’UCI peuvent changer l’identité des cyclistes ciblés. «Moins les dopés savent qui et ce que nous cherchons, mieux c’est. Sinon, ils s’adaptent pour passer au travers. C’est ce que nous a confié Bernhard Kohl. Il a été très surpris d’être attrapé en 2008», explique Pierre Bordry, le directeur de l’AFLD. Cette recherche continuelle d’indices a permis en 2008 d’exclure Manuel Beltran, contrôlé positif au terme de la première journée de course, après que les contrôleurs ont reçu des infos au cours de l'étape.

Quelques jours plus tard, Roberto Ricco, le grand animateur du début du Tour 2008, se faisait prendre à l'EPO Cera, un produit tout récent dans le peloton. Car cette politique de ciblage, aussi efficace soit-elle, ne doit pas faire oublier la recherche scientifique, l’autre nerf de la guerre contre le dopage. «Cette année encore, nous avons découvert de nouvelles molécules. Les tests sont en développement ou ont déjà été développés», glisse mystérieusement Jean-Pierre Verdy.


Depuis que

lques semaines, il n’y a pas que les coureurs à se préparer au Tour de France. Dans l’ombre, l’armée de la lutte contre le dopage affine elle aussi sa stratégie. «J’étais justement à l’instant au téléphone avec mon homologue de l’UCI pour régler les derniers détails», témoigne mercredi matin Jean-Pierre Verdy, directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).obligé de coopérer cette année avec la fédération internationale (UCI).


Ce rapprochement ne change officiellement rien à la politique des contrôles ciblés mis en place avec succès par l’AFLD, seule responsable des contrôles sur le Tour l’année dernière. A compter du départ de Monaco samedi et pendant trois semaines, plus de 250 contrôles (urine et sang) seront diligentés: à chaque étape, le maillot jaune, le vainqueur d’étape ainsi que les coureurs ciblés sur la base d’informations récoltées par l’AFLD et l’UCI (et non des coureurs tirés au sort) passeront entre les mains de deux préleveurs. «Cette méthode de ciblage a profondément modifié notre métier. Nous travaillons avec les services de police de tous les pays. Et nous disposons aujourd’hui de tout un réseau d’informateurs dans le monde du cyclisme qui nous renseignent sur les mœurs de certains cyclistes», explique Jean-Pierre Verdy qui pourra également s’appuyer cette année sur les données du passeport sanguin de l’UCI. Sans oublier les infos lâchées par les coureurs du peloton sur leurs collèguesau comportement douteux.

De nouvelles molécules

A quelques jours du départ, une cinquantaine de coureurs sont d’ores et déjà ciblés. Mais ce travail de flic va continuer pendant toute l’épreuve pour jouer sur l’effet de surprise. Jusqu’à 15 minutes avant la fin de chaque étape, l’AFLD et l’UCI peuvent changer l’identité des cyclistes ciblés. «Moins les dopés savent qui et ce que nous cherchons, mieux c’est. Sinon, ils s’adaptent pour passer au travers. C’est ce que nous a confié Bernhard Kohl. Il a été très surpris d’être attrapé en 2008», explique Pierre Bordry, le directeur de l’AFLD. Cette recherche continuelle d’indices a permis en 2008 d’exclure Manuel Beltran, contrôlé positif au terme de la première journée de course, après que les contrôleurs ont reçu des infos au cours de l'étape.

Quelques jours plus tard, Roberto Ricco, le grand animateur du début du Tour 2008, se faisait prendre à l'EPO Cera, un produit tout récent dans le peloton. Car cette politique de ciblage, aussi efficace soit-elle, ne doit pas faire oublier la recherche scientifique, l’autre nerf de la guerre contre le dopage. «Cette année encore, nous avons découvert de nouvelles molécules. Les tests sont en développement ou ont déjà été développés», glisse mystérieusement Jean-Pierre Verdy.


Depuis quelques semaines, il n’y a pas que les coureurs à se préparer au Tour de France. Dans l’ombre, l’armée de la lutte contre le dopage affine elle aussi sa stratégie. «J’étais justement à l’instant au téléphone avec mon homologue de l’UCI pour régler les derniers détails», témoigne mercredi matin Jean-Pierre Verdy, directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).obligé de coopérer cette année avec la fédération internationale (UCI).


Ce rapprochement ne change officiellement rien à la politique des contrôles ciblés mis en place avec succès par l’AFLD, seule responsable des contrôles sur le Tour l’année dernière. A compter du départ de Monaco samedi et pendant trois semaines, plus de 250 contrôles (urine et sang) seront diligentés: à chaque étape, le maillot jaune, le vainqueur d’étape ainsi que les coureurs ciblés sur la base d’informations récoltées par l’AFLD et l’UCI (et non des coureurs tirés au sort) passeront entre les mains de deux préleveurs. «Cette méthode de ciblage a profondément modifié notre métier. Nous travaillons avec les services de police de tous les pays. Et nous disposons aujourd’hui de tout un réseau d’informateurs dans le monde du cyclisme qui nous renseignent sur les mœurs de certains cyclistes», explique Jean-Pierre Verdy qui pourra également s’appuyer cette année sur les données du passeport sanguin de l’UCI. Sans oublier les infos lâchées par les coureurs du peloton sur leurs collèguesau comportement douteux.

De nouvelles molécules

A quelques jours du départ, une cinquantaine de coureurs sont d’ores et déjà ciblés. Mais ce travail de flic va continuer pendant toute l’épreuve pour jouer sur l’effet de surprise. Jusqu’à 15 minutes avant la fin de chaque étape, l’AFLD et l’UCI peuvent changer l’identité des cyclistes ciblés. «Moins les dopés savent qui et ce que nous cherchons, mieux c’est. Sinon, ils s’adaptent pour passer au travers. C’est ce que nous a confié Bernhard Kohl. Il a été très surpris d’être attrapé en 2008», explique Pierre Bordry, le directeur de l’AFLD. Cette recherche continuelle d’indices a permis en 2008 d’exclure Manuel Beltran, contrôlé positif au terme de la première journée de course, après que les contrôleurs ont reçu des infos au cours de l'étape.

Quelques jours plus tard, Roberto Ricco, le grand animateur du début du Tour 2008, se faisait prendre à l'EPO Cera, un produit tout récent dans le peloton. Car cette politique de ciblage, aussi efficace soit-elle, ne doit pas faire oublier la recherche scientifique, l’autre nerf de la guerre contre le dopage. «Cette année encore, nous avons découvert de nouvelles molécules. Les tests sont en développement ou ont déjà été développés», glisse mystérieusement Jean-Pierre Verdy.

Cette recherche continuelle d’indices a permis en 2008 d’exclure Manuel Beltran,

Depuis quelques semaines, il n’y a pas que les coureurs à se préparer au Tour de France. Dans l’ombre, l’armée de la lutte contre le dopage affine elle aussi sa stratégie. «J’étais justement à l’instant au téléphone avec mon homologue de l’UCI pour régler les derniers détails», témoigne mercredi matin Jean-Pierre Verdy, directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).obligé de coopérer cette année avec la fédération internationale (UCI).


Ce rapprochement ne change officiellement rien à la politique des contrôles ciblés mis en place avec succès par l’AFLD, seule responsable des contrôles sur le Tour l’année dernière. A compter du départ de Monaco samedi et pendant trois semaines, plus de 250 contrôles (urine et sang) seront diligentés: à chaque étape, le maillot jaune, le vainqueur d’étape ainsi que les coureurs ciblés sur la base d’informations récoltées par l’AFLD et l’UCI (et non des coureurs tirés au sort) passeront entre les mains de deux préleveurs. «Cette méthode de ciblage a profondément modifié notre métier. Nous travaillons avec les services de police de tous les pays. Et nous disposons aujourd’hui de tout un réseau d’informateurs dans le monde du cyclisme qui nous renseignent sur les mœurs de certains cyclistes», explique Jean-Pierre Verdy qui pourra également s’appuyer cette année sur les données du passeport sanguin de l’UCI. Sans oublier les infos lâchées par les coureurs du peloton sur leurs collèguesau comportement douteux.

De nouvelles molécules

A quelques jours du départ, une cinquantaine de coureurs sont d’ores et déjà ciblés. Mais ce travail de flic va continuer pendant toute l’épreuve pour jouer sur l’effet de surprise. Jusqu’à 15 minutes avant la fin de chaque étape, l’AFLD et l’UCI peuvent changer l’identité des cyclistes ciblés. «Moins les dopés savent qui et ce que nous cherchons, mieux c’est. Sinon, ils s’adaptent pour passer au travers. C’est ce que nous a confié Bernhard Kohl. Il a été très surpris d’être attrapé en 2008», explique Pierre Bordry, le directeur de l’AFLD. Cette recherche continuelle d’indices a permis en 2008 d’exclure Manuel Beltran, contrôlé positif au terme de la première journée de course, après que les contrôleurs ont reçu des infos au cours de l'étape.

Quelques jours plus tard, Roberto Ricco, le grand animateur du début du Tour 2008, se faisait prendre à l'EPO Cera, un produit tout récent dans le peloton. Car cette politique de ciblage, aussi efficace soit-elle, ne doit pas faire oublier la recherche scientifique, l’autre nerf de la guerre contre le dopage. «Cette année encore, nous avons découvert de nouvelles molécules. Les tests sont en développement ou ont déjà été développés», glisse mystérieusement Jean-Pierre Verdy.


Depuis quelques semaines, il n’y a pas que les coureurs à se préparer au Tour de France. Dans l’ombre, l’armée de la lutte contre le dopage affine elle aussi sa stratégie. «J’étais justement à l’instant au téléphone avec mon homologue de l’UCI pour régler les derniers détails», témoigne mercredi matin Jean-Pierre Verdy, directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).obligé de coopérer cette année avec la fédération internationale (UCI).


Ce rapprochement ne change officiellement rien à la politique des contrôles ciblés mis en place avec succès par l’AFLD, seule responsable des contrôles sur le Tour l’année dernière. A compter du départ de Monaco samedi et pendant trois semaines, plus de 250 contrôles (urine et sang) seront diligentés: à chaque étape, le maillot jaune, le vainqueur d’étape ainsi que les coureurs ciblés sur la base d’informations récoltées par l’AFLD et l’UCI (et non des coureurs tirés au sort) passeront entre les mains de deux préleveurs. «Cette méthode de ciblage a profondément modifié notre métier. Nous travaillons avec les services de police de tous les pays. Et nous disposons aujourd’hui de tout un réseau d’informateurs dans le monde du cyclisme qui nous renseignent sur les mœurs de certains cyclistes», explique Jean-Pierre Verdy qui pourra également s’appuyer cette année sur les données du passeport sanguin de l’UCI. Sans oublier les infos lâchées par les coureurs du peloton sur leurs collèguesau comportement douteux.

De nouvelles molécules

A quelques jours du départ, une cinquantaine de coureurs sont d’ores et déjà ciblés. Mais ce travail de flic va continuer pendant toute l’épreuve pour jouer sur l’effet de surprise. Jusqu’à 15 minutes avant la fin de chaque étape, l’AFLD et l’UCI peuvent changer l’identité des cyclistes ciblés. «Moins les dopés savent qui et ce que nous cherchons, mieux c’est. Sinon, ils s’adaptent pour passer au travers. C’est ce que nous a confié Bernhard Kohl. Il a été très surpris d’être attrapé en 2008», explique Pierre Bordry, le directeur de l’AFLD. Cette recherche continuelle d’indices a permis en 2008 d’exclure Manuel Beltran, contrôlé positif au terme de la première journée de course, après que les contrôleurs ont reçu des infos au cours de l'étape.

Quelques jours plus tard, Roberto Ricco, le grand animateur du début du Tour 2008, se faisait prendre à l'EPO Cera, un produit tout récent dans le peloton. Car cette politique de ciblage, aussi efficace soit-elle, ne doit pas faire oublier la recherche scientifique, l’autre nerf de la guerre contre le dopage. «Cette année encore, nous avons découvert de nouvelles molécules. Les tests sont en développement ou ont déjà été développés», glisse mystérieusement Jean-Pierre Verdy.


Depuis quelques semaines, il n’y a pas que les coureurs à se préparer au Tour de France. Dans l’ombre, l’armée de la lutte contre le dopage affine elle aussi sa stratégie. «J’étais justement à l’instant au téléphone avec mon homologue de l’UCI pour régler les derniers détails», témoigne mercredi matin Jean-Pierre Verdy, directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).obligé de coopérer cette année avec la fédération internationale (UCI).


Ce rapprochement ne change officiellement rien à la politique des contrôles ciblés mis en place avec succès par l’AFLD, seule responsable des contrôles sur le Tour l’année dernière. A compter du départ de Monaco samedi et pendant trois semaines, plus de 250 contrôles (urine et sang) seront diligentés: à chaque étape, le maillot jaune, le vainqueur d’étape ainsi que les coureurs ciblés sur la base d’informations récoltées par l’AFLD et l’UCI (et non des coureurs tirés au sort) passeront entre les mains de deux préleveurs. «Cette méthode de ciblage a profondément modifié notre métier. Nous travaillons avec les services de police de tous les pays. Et nous disposons aujourd’hui de tout un réseau d’informateurs dans le monde du cyclisme qui nous renseignent sur les mœurs de certains cyclistes», explique Jean-Pierre Verdy qui pourra également s’appuyer cette année sur les données du passeport sanguin de l’UCI. Sans oublier les infos lâchées par les coureurs du peloton sur leurs collèguesau comportement douteux.

De nouvelles molécules

A quelques jours du départ, une cinquantaine de coureurs sont d’ores et déjà ciblés. Mais ce travail de flic va continuer pendant toute l’épreuve pour jouer sur l’effet de surprise. Jusqu’à 15 minutes avant la fin de chaque étape, l’AFLD et l’UCI peuvent changer l’identité des cyclistes ciblés. «Moins les dopés savent qui et ce que nous cherchons, mieux c’est. Sinon, ils s’adaptent pour passer au travers. C’est ce que nous a confié Bernhard Kohl. Il a été très surpris d’être attrapé en 2008», explique Pierre Bordry, le directeur de l’AFLD. Cette recherche continuelle d’indices a permis en 2008 d’exclure Manuel Beltran, contrôlé positif au terme de la première journée de course, après que les contrôleurs ont reçu des infos au cours de l'étape.

Quelques jours plus tard, Roberto Ricco, le grand animateur du début du Tour 2008, se faisait prendre à l'EPO Cera, un produit tout récent dans le peloton. Car cette politique de ciblage, aussi efficace soit-elle, ne doit pas faire oublier la recherche scientifique, l’autre nerf de la guerre contre le dopage. «Cette année encore, nous avons découvert de nouvelles molécules. Les tests sont en développement ou ont déjà été développés», glisse mystérieusement Jean-Pierre Verdy.

Roberto Ricco, le grand animateur du début du Tour 2008,

Depuis quelques semaines, il n’y a pas que les coureurs à se préparer au Tour de France. Dans l’ombre, l’armée de la lutte contre le dopage affine elle aussi sa stratégie. «J’étais justement à l’instant au téléphone avec mon homologue de l’UCI pour régler les derniers détails», témoigne mercredi matin Jean-Pierre Verdy, directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).obligé de coopérer cette année avec la fédération internationale (UCI).


Ce rapprochement ne change officiellement rien à la politique des contrôles ciblés mis en place avec succès par l’AFLD, seule responsable des contrôles sur le Tour l’année dernière. A compter du départ de Monaco samedi et pendant trois semaines, plus de 250 contrôles (urine et sang) seront diligentés: à chaque étape, le maillot jaune, le vainqueur d’étape ainsi que les coureurs ciblés sur la base d’informations récoltées par l’AFLD et l’UCI (et non des coureurs tirés au sort) passeront entre les mains de deux préleveurs. «Cette méthode de ciblage a profondément modifié notre métier. Nous travaillons avec les services de police de tous les pays. Et nous disposons aujourd’hui de tout un réseau d’informateurs dans le monde du cyclisme qui nous renseignent sur les mœurs de certains cyclistes», explique Jean-Pierre Verdy qui pourra également s’appuyer cette année sur les données du passeport sanguin de l’UCI. Sans oublier les infos lâchées par les coureurs du peloton sur leurs collèguesau comportement douteux.

De nouvelles molécules

A quelques jours du départ, une cinquantaine de coureurs sont d’ores et déjà ciblés. Mais ce travail de flic va continuer pendant toute l’épreuve pour jouer sur l’effet de surprise. Jusqu’à 15 minutes avant la fin de chaque étape, l’AFLD et l’UCI peuvent changer l’identité des cyclistes ciblés. «Moins les dopés savent qui et ce que nous cherchons, mieux c’est. Sinon, ils s’adaptent pour passer au travers. C’est ce que nous a confié Bernhard Kohl. Il a été très surpris d’être attrapé en 2008», explique Pierre Bordry, le directeur de l’AFLD. Cette recherche continuelle d’indices a permis en 2008 d’exclure Manuel Beltran, contrôlé positif au terme de la première journée de course, après que les contrôleurs ont reçu des infos au cours de l'étape.

Quelques jours plus tard, Roberto Ricco, le grand animateur du début du Tour 2008, se faisait prendre à l'EPO Cera, un produit tout récent dans le peloton. Car cette politique de ciblage, aussi efficace soit-elle, ne doit pas faire oublier la recherche scientifique, l’autre nerf de la guerre contre le dopage. «Cette année encore, nous avons découvert de nouvelles molécules. Les tests sont en développement ou ont déjà été développés», glisse mystérieusement Jean-Pierre Verdy.

l'EPO Cera, un produit tout récent dans le peloton.

Depuis quelques semaines, il n’y a pas que les coureurs à se préparer au Tour de France. Dans l’ombre, l’armée de la lutte contre le dopage affine elle aussi sa stratégie. «J’étais justement à l’instant au téléphone avec mon homologue de l’UCI pour régler les derniers détails», témoigne mercredi matin Jean-Pierre Verdy, directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).obligé de coopérer cette année avec la fédération internationale (UCI).


Ce rapprochement ne change officiellement rien à la politique des contrôles ciblés mis en place avec succès par l’AFLD, seule responsable des contrôles sur le Tour l’année dernière. A compter du départ de Monaco samedi et pendant trois semaines, plus de 250 contrôles (urine et sang) seront diligentés: à chaque étape, le maillot jaune, le vainqueur d’étape ainsi que les coureurs ciblés sur la base d’informations récoltées par l’AFLD et l’UCI (et non des coureurs tirés au sort) passeront entre les mains de deux préleveurs. «Cette méthode de ciblage a profondément modifié notre métier. Nous travaillons avec les services de police de tous les pays. Et nous disposons aujourd’hui de tout un réseau d’informateurs dans le monde du cyclisme qui nous renseignent sur les mœurs de certains cyclistes», explique Jean-Pierre Verdy qui pourra également s’appuyer cette année sur les données du passeport sanguin de l’UCI. Sans oublier les infos lâchées par les coureurs du peloton sur leurs collèguesau comportement douteux.

De nouvelles molécules

A quelques jours du départ, une cinquantaine de coureurs sont d’ores et déjà ciblés. Mais ce travail de flic va continuer pendant toute l’épreuve pour jouer sur l’effet de surprise. Jusqu’à 15 minutes avant la fin de chaque étape, l’AFLD et l’UCI peuvent changer l’identité des cyclistes ciblés. «Moins les dopés savent qui et ce que nous cherchons, mieux c’est. Sinon, ils s’adaptent pour passer au travers. C’est ce que nous a confié Bernhard Kohl. Il a été très surpris d’être attrapé en 2008», explique Pierre Bordry, le directeur de l’AFLD. Cette recherche continuelle d’indices a permis en 2008 d’exclure Manuel Beltran, contrôlé positif au terme de la première journée de course, après que les contrôleurs ont reçu des infos au cours de l'étape.

Quelques jours plus tard, Roberto Ricco, le grand animateur du début du Tour 2008, se faisait prendre à l'EPO Cera, un produit tout récent dans le peloton. Car cette politique de ciblage, aussi efficace soit-elle, ne doit pas faire oublier la recherche scientifique, l’autre nerf de la guerre contre le dopage. «Cette année encore, nous avons découvert de nouvelles molécules. Les tests sont en développement ou ont déjà été développés», glisse mystérieusement Jean-Pierre Verdy.