FOOTBALLRaymond Domenech : «A l'école, les maîtresses disaient déjà que j'étais hautain»

Raymond Domenech : «A l'école, les maîtresses disaient déjà que j'étais hautain»

FOOTBALLLe sélectionneur s'explique dans une interview fleuve accordée à «So Foot»...
A.P.

A.P.

Si le jeu de l’équipe de France provoque chez vous des poussées narcoleptiques, vous pouvez toujours éteindre votre télévision. C’est Raymond Domenech lui-même qui vous donne la permission: «Si vous n’aimez pas, ne regardez pas les matchs.» Entre ironie, séduction et cynisme, le sélectionneur défend son travail à la tête des Bleus dans un entretien de 13 pages à paraître mardi dans le magazine «So Foot». Morceaux choisis.

«Qu’un joueur me haïsse, peu importe»

Interrogé, entre autres, par son ancien protégé, Vikash Dhorasoo, Domenech nie avoir écarté des joueurs qui l’auraient allumé dans la presse: «Qu’un joueur me haïsse ou me trouve con, peu importe, s’il est utile à l’équipe… Philippe Mexès a dit des trucs pas très sympas sur moi, mais je l’ai repris», justifie-t-il par exemple. Le sélectionneur laisse même la porte entre-ouverte à Florent Malouda. «S’il est bon, qu’il montre qu’il a des envies de revenir, qu’il le dit, je ne vois pas pourquoi je l’écarterais.»

Pas de style de jeu «équipe de France»


Quand on chauffe Raymond Domenech sur l’absence de style de jeu défini de son équipe, on le trouve: «J’attends toujours la définition de ceux qui disent que je n’ai pas de projet de jeu» se fâche le sélectionneur. Pragmatique avant tout, l’ancien défenseur ne connaît qu’un projet: «gagner des matchs». «Est-ce qu’il y a eu un vrai style de jeu équipe de France? Je ne pense pas», tranche-t-il. Michel Hidalgo et Aimé Jacquet apprécieront.

«J’ai une mauvaise communication»

Est-ce un aveu? Pas sûr, mais Raymond Domenech admet pouvoir dégager une mauvaise image de lui par… excès de timidité. «A l’école, les maîtresses disaient déjà que j’étais hautain. C'est par pure timidité.» Le patron des Bleus impute ce déficit d’image aux journalistes. «J’ai affaire à des gens qui savent tout, qui me posent des questions avec des réponses dedans, qui me prennent pour un con et qui m’ont taillé pendant toute la semaine.»

Les sifflets: «Plus il y a de monde, plus on est con»


Le mot con lui colle décidément à la bouche. Interrogé sur les sifflets qui l’accompagnent à chacune de ses sorties depuis l’Euro, cet homme de théâtre répond en citant le philosophe Gustave Le Bon. «Dans son livre “Psychologie des foules’’, il t’expliquera que le niveau de l’intelligence d’une foule diminue en fonction de son nombre. Plus il y a de monde, plus on est con.» Bref, si on suit Le Bon et son disciple Domenech, les Bleus devraient bientôt élire domicile au Stade Louis-II à Monaco.

Et bientôt le livre

«Un jour, j’écrirais mon bouquin.» En secret, le sélectionneur dit préparer un livre «plus pour moi, pour ne pas oublier. Pour avoir la vérité des faits au moment où ils se sont déroulés.» Par contre, pour une suite aux «Yeux dans les Bleus», c’est non. «Les caméras dans le vestiaire ça me met en colère. Je trouve que c’est rentrer dans une intimité qui est magique.»
le magazine «So Foot»
Si le jeu de l’équipe de France provoque chez vous des poussées narcoleptiques, vous pouvez toujours éteindre votre télévision. C’est Raymond Domenech lui-même qui vous donne la permission: «Si vous n’aimez pas, ne regardez pas les matchs.» Entre ironie, séduction et cynisme, le sélectionneur défend son travail à la tête des Bleus dans un entretien de 13 pages à paraître mardi dans le magazine «So Foot». Morceaux choisis.

«Qu’un joueur me haïsse, peu importe»

Interrogé, entre autres, par son ancien protégé, Vikash Dhorasoo, Domenech nie avoir écarté des joueurs qui l’auraient allumé dans la presse: «Qu’un joueur me haïsse ou me trouve con, peu importe, s’il est utile à l’équipe… Philippe Mexès a dit des trucs pas très sympas sur moi, mais je l’ai repris», justifie-t-il par exemple. Le sélectionneur laisse même la porte entre-ouverte à Florent Malouda. «S’il est bon, qu’il montre qu’il a des envies de revenir, qu’il le dit, je ne vois pas pourquoi je l’écarterais.»

Pas de style de jeu «équipe de France»


Quand on chauffe Raymond Domenech sur l’absence de style de jeu défini de son équipe, on le trouve: «J’attends toujours la définition de ceux qui disent que je n’ai pas de projet de jeu» se fâche le sélectionneur. Pragmatique avant tout, l’ancien défenseur ne connaît qu’un projet: «gagner des matchs». «Est-ce qu’il y a eu un vrai style de jeu équipe de France? Je ne pense pas», tranche-t-il. Michel Hidalgo et Aimé Jacquet apprécieront.

«J’ai une mauvaise communication»

Est-ce un aveu? Pas sûr, mais Raymond Domenech admet pouvoir dégager une mauvaise image de lui par… excès de timidité. «A l’école, les maîtresses disaient déjà que j’étais hautain. C'est par pure timidité.» Le patron des Bleus impute ce déficit d’image aux journalistes. «J’ai affaire à des gens qui savent tout, qui me posent des questions avec des réponses dedans, qui me prennent pour un con et qui m’ont taillé pendant toute la semaine.»

Les sifflets: «Plus il y a de monde, plus on est con»


Le mot con lui colle décidément à la bouche. Interrogé sur les sifflets qui l’accompagnent à chacune de ses sorties depuis l’Euro, cet homme de théâtre répond en citant le philosophe Gustave Le Bon. «Dans son livre “Psychologie des foules’’, il t’expliquera que le niveau de l’intelligence d’une foule diminue en fonction de son nombre. Plus il y a de monde, plus on est con.» Bref, si on suit Le Bon et son disciple Domenech, les Bleus devraient bientôt élire domicile au Stade Louis-II à Monaco.

Et bientôt le livre

«Un jour, j’écrirais mon bouquin.» En secret, le sélectionneur dit préparer un livre «plus pour moi, pour ne pas oublier. Pour avoir la vérité des faits au moment où ils se sont déroulés.» Par contre, pour une suite aux «Yeux dans les Bleus», c’est non. «Les caméras dans le vestiaire ça me met en colère. Je trouve que c’est rentrer dans une intimité qui est magique.»


Si le jeu de l’équipe de France provoque chez vous des poussées narcoleptiques, vous pouvez toujours éteindre votre télévision. C’est Raymond Domenech lui-même qui vous donne la permission: «Si vous n’aimez pas, ne regardez pas les matchs.» Entre ironie, séduction et cynisme, le sélectionneur défend son travail à la tête des Bleus dans un entretien de 13 pages à paraître mardi dans le magazine «So Foot». Morceaux choisis.

«Qu’un joueur me haïsse, peu importe»

Interrogé, entre autres, par son ancien protégé, Vikash Dhorasoo, Domenech nie avoir écarté des joueurs qui l’auraient allumé dans la presse: «Qu’un joueur me haïsse ou me trouve con, peu importe, s’il est utile à l’équipe… Philippe Mexès a dit des trucs pas très sympas sur moi, mais je l’ai repris», justifie-t-il par exemple. Le sélectionneur laisse même la porte entre-ouverte à Florent Malouda. «S’il est bon, qu’il montre qu’il a des envies de revenir, qu’il le dit, je ne vois pas pourquoi je l’écarterais.»

Pas de style de jeu «équipe de France»


Quand on chauffe Raymond Domenech sur l’absence de style de jeu défini de son équipe, on le trouve: «J’attends toujours la définition de ceux qui disent que je n’ai pas de projet de jeu» se fâche le sélectionneur. Pragmatique avant tout, l’ancien défenseur ne connaît qu’un projet: «gagner des matchs». «Est-ce qu’il y a eu un vrai style de jeu équipe de France? Je ne pense pas», tranche-t-il. Michel Hidalgo et Aimé Jacquet apprécieront.

«J’ai une mauvaise communication»

Est-ce un aveu? Pas sûr, mais Raymond Domenech admet pouvoir dégager une mauvaise image de lui par… excès de timidité. «A l’école, les maîtresses disaient déjà que j’étais hautain. C'est par pure timidité.» Le patron des Bleus impute ce déficit d’image aux journalistes. «J’ai affaire à des gens qui savent tout, qui me posent des questions avec des réponses dedans, qui me prennent pour un con et qui m’ont taillé pendant toute la semaine.»

Les sifflets: «Plus il y a de monde, plus on est con»


Le mot con lui colle décidément à la bouche. Interrogé sur les sifflets qui l’accompagnent à chacune de ses sorties depuis l’Euro, cet homme de théâtre répond en citant le philosophe Gustave Le Bon. «Dans son livre “Psychologie des foules’’, il t’expliquera que le niveau de l’intelligence d’une foule diminue en fonction de son nombre. Plus il y a de monde, plus on est con.» Bref, si on suit Le Bon et son disciple Domenech, les Bleus devraient bientôt élire domicile au Stade Louis-II à Monaco.

Et bientôt le livre

«Un jour, j’écrirais mon bouquin.» En secret, le sélectionneur dit préparer un livre «plus pour moi, pour ne pas oublier. Pour avoir la vérité des faits au moment où ils se sont déroulés.» Par contre, pour une suite aux «Yeux dans les Bleus», c’est non. «Les caméras dans le vestiaire ça me met en colère. Je trouve que c’est rentrer dans une intimité qui est magique.»


Si le jeu de l’équipe de France provoque chez vous des poussées narcoleptiques, vous pouvez toujours éteindre votre télévision. C’est Raymond Domenech lui-même qui vous donne la permission: «Si vous n’aimez pas, ne regardez pas les matchs.» Entre ironie, séduction et cynisme, le sélectionneur défend son travail à la tête des Bleus dans un entretien de 13 pages à paraître mardi dans le magazine «So Foot». Morceaux choisis.

«Qu’un joueur me haïsse, peu importe»

Interrogé, entre autres, par son ancien protégé, Vikash Dhorasoo, Domenech nie avoir écarté des joueurs qui l’auraient allumé dans la presse: «Qu’un joueur me haïsse ou me trouve con, peu importe, s’il est utile à l’équipe… Philippe Mexès a dit des trucs pas très sympas sur moi, mais je l’ai repris», justifie-t-il par exemple. Le sélectionneur laisse même la porte entre-ouverte à Florent Malouda. «S’il est bon, qu’il montre qu’il a des envies de revenir, qu’il le dit, je ne vois pas pourquoi je l’écarterais.»

Pas de style de jeu «équipe de France»


Quand on chauffe Raymond Domenech sur l’absence de style de jeu défini de son équipe, on le trouve: «J’attends toujours la définition de ceux qui disent que je n’ai pas de projet de jeu» se fâche le sélectionneur. Pragmatique avant tout, l’ancien défenseur ne connaît qu’un projet: «gagner des matchs». «Est-ce qu’il y a eu un vrai style de jeu équipe de France? Je ne pense pas», tranche-t-il. Michel Hidalgo et Aimé Jacquet apprécieront.

«J’ai une mauvaise communication»

Est-ce un aveu? Pas sûr, mais Raymond Domenech admet pouvoir dégager une mauvaise image de lui par… excès de timidité. «A l’école, les maîtresses disaient déjà que j’étais hautain. C'est par pure timidité.» Le patron des Bleus impute ce déficit d’image aux journalistes. «J’ai affaire à des gens qui savent tout, qui me posent des questions avec des réponses dedans, qui me prennent pour un con et qui m’ont taillé pendant toute la semaine.»

Les sifflets: «Plus il y a de monde, plus on est con»


Le mot con lui colle décidément à la bouche. Interrogé sur les sifflets qui l’accompagnent à chacune de ses sorties depuis l’Euro, cet homme de théâtre répond en citant le philosophe Gustave Le Bon. «Dans son livre “Psychologie des foules’’, il t’expliquera que le niveau de l’intelligence d’une foule diminue en fonction de son nombre. Plus il y a de monde, plus on est con.» Bref, si on suit Le Bon et son disciple Domenech, les Bleus devraient bientôt élire domicile au Stade Louis-II à Monaco.

Et bientôt le livre

«Un jour, j’écrirais mon bouquin.» En secret, le sélectionneur dit préparer un livre «plus pour moi, pour ne pas oublier. Pour avoir la vérité des faits au moment où ils se sont déroulés.» Par contre, pour une suite aux «Yeux dans les Bleus», c’est non. «Les caméras dans le vestiaire ça me met en colère. Je trouve que c’est rentrer dans une intimité qui est magique.»
à Florent Malouda
Si le jeu de l’équipe de France provoque chez vous des poussées narcoleptiques, vous pouvez toujours éteindre votre télévision. C’est Raymond Domenech lui-même qui vous donne la permission: «Si vous n’aimez pas, ne regardez pas les matchs.» Entre ironie, séduction et cynisme, le sélectionneur défend son travail à la tête des Bleus dans un entretien de 13 pages à paraître mardi dans le magazine «So Foot». Morceaux choisis.

«Qu’un joueur me haïsse, peu importe»

Interrogé, entre autres, par son ancien protégé, Vikash Dhorasoo, Domenech nie avoir écarté des joueurs qui l’auraient allumé dans la presse: «Qu’un joueur me haïsse ou me trouve con, peu importe, s’il est utile à l’équipe… Philippe Mexès a dit des trucs pas très sympas sur moi, mais je l’ai repris», justifie-t-il par exemple. Le sélectionneur laisse même la porte entre-ouverte à Florent Malouda. «S’il est bon, qu’il montre qu’il a des envies de revenir, qu’il le dit, je ne vois pas pourquoi je l’écarterais.»

Pas de style de jeu «équipe de France»


Quand on chauffe Raymond Domenech sur l’absence de style de jeu défini de son équipe, on le trouve: «J’attends toujours la définition de ceux qui disent que je n’ai pas de projet de jeu» se fâche le sélectionneur. Pragmatique avant tout, l’ancien défenseur ne connaît qu’un projet: «gagner des matchs». «Est-ce qu’il y a eu un vrai style de jeu équipe de France? Je ne pense pas», tranche-t-il. Michel Hidalgo et Aimé Jacquet apprécieront.

«J’ai une mauvaise communication»

Est-ce un aveu? Pas sûr, mais Raymond Domenech admet pouvoir dégager une mauvaise image de lui par… excès de timidité. «A l’école, les maîtresses disaient déjà que j’étais hautain. C'est par pure timidité.» Le patron des Bleus impute ce déficit d’image aux journalistes. «J’ai affaire à des gens qui savent tout, qui me posent des questions avec des réponses dedans, qui me prennent pour un con et qui m’ont taillé pendant toute la semaine.»

Les sifflets: «Plus il y a de monde, plus on est con»


Le mot con lui colle décidément à la bouche. Interrogé sur les sifflets qui l’accompagnent à chacune de ses sorties depuis l’Euro, cet homme de théâtre répond en citant le philosophe Gustave Le Bon. «Dans son livre “Psychologie des foules’’, il t’expliquera que le niveau de l’intelligence d’une foule diminue en fonction de son nombre. Plus il y a de monde, plus on est con.» Bref, si on suit Le Bon et son disciple Domenech, les Bleus devraient bientôt élire domicile au Stade Louis-II à Monaco.

Et bientôt le livre

«Un jour, j’écrirais mon bouquin.» En secret, le sélectionneur dit préparer un livre «plus pour moi, pour ne pas oublier. Pour avoir la vérité des faits au moment où ils se sont déroulés.» Par contre, pour une suite aux «Yeux dans les Bleus», c’est non. «Les caméras dans le vestiaire ça me met en colère. Je trouve que c’est rentrer dans une intimité qui est magique.»


Si le jeu de l’équipe de France provoque chez vous des poussées narcoleptiques, vous pouvez toujours éteindre votre télévision. C’est Raymond Domenech lui-même qui vous donne la permission: «Si vous n’aimez pas, ne regardez pas les matchs.» Entre ironie, séduction et cynisme, le sélectionneur défend son travail à la tête des Bleus dans un entretien de 13 pages à paraître mardi dans le magazine «So Foot». Morceaux choisis.

«Qu’un joueur me haïsse, peu importe»

Interrogé, entre autres, par son ancien protégé, Vikash Dhorasoo, Domenech nie avoir écarté des joueurs qui l’auraient allumé dans la presse: «Qu’un joueur me haïsse ou me trouve con, peu importe, s’il est utile à l’équipe… Philippe Mexès a dit des trucs pas très sympas sur moi, mais je l’ai repris», justifie-t-il par exemple. Le sélectionneur laisse même la porte entre-ouverte à Florent Malouda. «S’il est bon, qu’il montre qu’il a des envies de revenir, qu’il le dit, je ne vois pas pourquoi je l’écarterais.»

Pas de style de jeu «équipe de France»


Quand on chauffe Raymond Domenech sur l’absence de style de jeu défini de son équipe, on le trouve: «J’attends toujours la définition de ceux qui disent que je n’ai pas de projet de jeu» se fâche le sélectionneur. Pragmatique avant tout, l’ancien défenseur ne connaît qu’un projet: «gagner des matchs». «Est-ce qu’il y a eu un vrai style de jeu équipe de France? Je ne pense pas», tranche-t-il. Michel Hidalgo et Aimé Jacquet apprécieront.

«J’ai une mauvaise communication»

Est-ce un aveu? Pas sûr, mais Raymond Domenech admet pouvoir dégager une mauvaise image de lui par… excès de timidité. «A l’école, les maîtresses disaient déjà que j’étais hautain. C'est par pure timidité.» Le patron des Bleus impute ce déficit d’image aux journalistes. «J’ai affaire à des gens qui savent tout, qui me posent des questions avec des réponses dedans, qui me prennent pour un con et qui m’ont taillé pendant toute la semaine.»

Les sifflets: «Plus il y a de monde, plus on est con»


Le mot con lui colle décidément à la bouche. Interrogé sur les sifflets qui l’accompagnent à chacune de ses sorties depuis l’Euro, cet homme de théâtre répond en citant le philosophe Gustave Le Bon. «Dans son livre “Psychologie des foules’’, il t’expliquera que le niveau de l’intelligence d’une foule diminue en fonction de son nombre. Plus il y a de monde, plus on est con.» Bref, si on suit Le Bon et son disciple Domenech, les Bleus devraient bientôt élire domicile au Stade Louis-II à Monaco.

Et bientôt le livre

«Un jour, j’écrirais mon bouquin.» En secret, le sélectionneur dit préparer un livre «plus pour moi, pour ne pas oublier. Pour avoir la vérité des faits au moment où ils se sont déroulés.» Par contre, pour une suite aux «Yeux dans les Bleus», c’est non. «Les caméras dans le vestiaire ça me met en colère. Je trouve que c’est rentrer dans une intimité qui est magique.»


Si le jeu de l’équipe de France provoque chez vous des poussées narcoleptiques, vous pouvez toujours éteindre votre télévision. C’est Raymond Domenech lui-même qui vous donne la permission: «Si vous n’aimez pas, ne regardez pas les matchs.» Entre ironie, séduction et cynisme, le sélectionneur défend son travail à la tête des Bleus dans un entretien de 13 pages à paraître mardi dans le magazine «So Foot». Morceaux choisis.

«Qu’un joueur me haïsse, peu importe»

Interrogé, entre autres, par son ancien protégé, Vikash Dhorasoo, Domenech nie avoir écarté des joueurs qui l’auraient allumé dans la presse: «Qu’un joueur me haïsse ou me trouve con, peu importe, s’il est utile à l’équipe… Philippe Mexès a dit des trucs pas très sympas sur moi, mais je l’ai repris», justifie-t-il par exemple. Le sélectionneur laisse même la porte entre-ouverte à Florent Malouda. «S’il est bon, qu’il montre qu’il a des envies de revenir, qu’il le dit, je ne vois pas pourquoi je l’écarterais.»

Pas de style de jeu «équipe de France»


Quand on chauffe Raymond Domenech sur l’absence de style de jeu défini de son équipe, on le trouve: «J’attends toujours la définition de ceux qui disent que je n’ai pas de projet de jeu» se fâche le sélectionneur. Pragmatique avant tout, l’ancien défenseur ne connaît qu’un projet: «gagner des matchs». «Est-ce qu’il y a eu un vrai style de jeu équipe de France? Je ne pense pas», tranche-t-il. Michel Hidalgo et Aimé Jacquet apprécieront.

«J’ai une mauvaise communication»

Est-ce un aveu? Pas sûr, mais Raymond Domenech admet pouvoir dégager une mauvaise image de lui par… excès de timidité. «A l’école, les maîtresses disaient déjà que j’étais hautain. C'est par pure timidité.» Le patron des Bleus impute ce déficit d’image aux journalistes. «J’ai affaire à des gens qui savent tout, qui me posent des questions avec des réponses dedans, qui me prennent pour un con et qui m’ont taillé pendant toute la semaine.»

Les sifflets: «Plus il y a de monde, plus on est con»


Le mot con lui colle décidément à la bouche. Interrogé sur les sifflets qui l’accompagnent à chacune de ses sorties depuis l’Euro, cet homme de théâtre répond en citant le philosophe Gustave Le Bon. «Dans son livre “Psychologie des foules’’, il t’expliquera que le niveau de l’intelligence d’une foule diminue en fonction de son nombre. Plus il y a de monde, plus on est con.» Bref, si on suit Le Bon et son disciple Domenech, les Bleus devraient bientôt élire domicile au Stade Louis-II à Monaco.

Et bientôt le livre

«Un jour, j’écrirais mon bouquin.» En secret, le sélectionneur dit préparer un livre «plus pour moi, pour ne pas oublier. Pour avoir la vérité des faits au moment où ils se sont déroulés.» Par contre, pour une suite aux «Yeux dans les Bleus», c’est non. «Les caméras dans le vestiaire ça me met en colère. Je trouve que c’est rentrer dans une intimité qui est magique.»


Si le jeu de l’équipe de France provoque chez vous des poussées narcoleptiques, vous pouvez toujours éteindre votre télévision. C’est Raymond Domenech lui-même qui vous donne la permission: «Si vous n’aimez pas, ne regardez pas les matchs.» Entre ironie, séduction et cynisme, le sélectionneur défend son travail à la tête des Bleus dans un entretien de 13 pages à paraître mardi dans le magazine «So Foot». Morceaux choisis.

«Qu’un joueur me haïsse, peu importe»

Interrogé, entre autres, par son ancien protégé, Vikash Dhorasoo, Domenech nie avoir écarté des joueurs qui l’auraient allumé dans la presse: «Qu’un joueur me haïsse ou me trouve con, peu importe, s’il est utile à l’équipe… Philippe Mexès a dit des trucs pas très sympas sur moi, mais je l’ai repris», justifie-t-il par exemple. Le sélectionneur laisse même la porte entre-ouverte à Florent Malouda. «S’il est bon, qu’il montre qu’il a des envies de revenir, qu’il le dit, je ne vois pas pourquoi je l’écarterais.»

Pas de style de jeu «équipe de France»


Quand on chauffe Raymond Domenech sur l’absence de style de jeu défini de son équipe, on le trouve: «J’attends toujours la définition de ceux qui disent que je n’ai pas de projet de jeu» se fâche le sélectionneur. Pragmatique avant tout, l’ancien défenseur ne connaît qu’un projet: «gagner des matchs». «Est-ce qu’il y a eu un vrai style de jeu équipe de France? Je ne pense pas», tranche-t-il. Michel Hidalgo et Aimé Jacquet apprécieront.

«J’ai une mauvaise communication»

Est-ce un aveu? Pas sûr, mais Raymond Domenech admet pouvoir dégager une mauvaise image de lui par… excès de timidité. «A l’école, les maîtresses disaient déjà que j’étais hautain. C'est par pure timidité.» Le patron des Bleus impute ce déficit d’image aux journalistes. «J’ai affaire à des gens qui savent tout, qui me posent des questions avec des réponses dedans, qui me prennent pour un con et qui m’ont taillé pendant toute la semaine.»

Les sifflets: «Plus il y a de monde, plus on est con»


Le mot con lui colle décidément à la bouche. Interrogé sur les sifflets qui l’accompagnent à chacune de ses sorties depuis l’Euro, cet homme de théâtre répond en citant le philosophe Gustave Le Bon. «Dans son livre “Psychologie des foules’’, il t’expliquera que le niveau de l’intelligence d’une foule diminue en fonction de son nombre. Plus il y a de monde, plus on est con.» Bref, si on suit Le Bon et son disciple Domenech, les Bleus devraient bientôt élire domicile au Stade Louis-II à Monaco.

Et bientôt le livre

«Un jour, j’écrirais mon bouquin.» En secret, le sélectionneur dit préparer un livre «plus pour moi, pour ne pas oublier. Pour avoir la vérité des faits au moment où ils se sont déroulés.» Par contre, pour une suite aux «Yeux dans les Bleus», c’est non. «Les caméras dans le vestiaire ça me met en colère. Je trouve que c’est rentrer dans une intimité qui est magique.»


Si le jeu de l’équipe de France provoque chez vous des poussées narcoleptiques, vous pouvez toujours éteindre votre télévision. C’est Raymond Domenech lui-même qui vous donne la permission: «Si vous n’aimez pas, ne regardez pas les matchs.» Entre ironie, séduction et cynisme, le sélectionneur défend son travail à la tête des Bleus dans un entretien de 13 pages à paraître mardi dans le magazine «So Foot». Morceaux choisis.

«Qu’un joueur me haïsse, peu importe»

Interrogé, entre autres, par son ancien protégé, Vikash Dhorasoo, Domenech nie avoir écarté des joueurs qui l’auraient allumé dans la presse: «Qu’un joueur me haïsse ou me trouve con, peu importe, s’il est utile à l’équipe… Philippe Mexès a dit des trucs pas très sympas sur moi, mais je l’ai repris», justifie-t-il par exemple. Le sélectionneur laisse même la porte entre-ouverte à Florent Malouda. «S’il est bon, qu’il montre qu’il a des envies de revenir, qu’il le dit, je ne vois pas pourquoi je l’écarterais.»

Pas de style de jeu «équipe de France»


Quand on chauffe Raymond Domenech sur l’absence de style de jeu défini de son équipe, on le trouve: «J’attends toujours la définition de ceux qui disent que je n’ai pas de projet de jeu» se fâche le sélectionneur. Pragmatique avant tout, l’ancien défenseur ne connaît qu’un projet: «gagner des matchs». «Est-ce qu’il y a eu un vrai style de jeu équipe de France? Je ne pense pas», tranche-t-il. Michel Hidalgo et Aimé Jacquet apprécieront.

«J’ai une mauvaise communication»

Est-ce un aveu? Pas sûr, mais Raymond Domenech admet pouvoir dégager une mauvaise image de lui par… excès de timidité. «A l’école, les maîtresses disaient déjà que j’étais hautain. C'est par pure timidité.» Le patron des Bleus impute ce déficit d’image aux journalistes. «J’ai affaire à des gens qui savent tout, qui me posent des questions avec des réponses dedans, qui me prennent pour un con et qui m’ont taillé pendant toute la semaine.»

Les sifflets: «Plus il y a de monde, plus on est con»


Le mot con lui colle décidément à la bouche. Interrogé sur les sifflets qui l’accompagnent à chacune de ses sorties depuis l’Euro, cet homme de théâtre répond en citant le philosophe Gustave Le Bon. «Dans son livre “Psychologie des foules’’, il t’expliquera que le niveau de l’intelligence d’une foule diminue en fonction de son nombre. Plus il y a de monde, plus on est con.» Bref, si on suit Le Bon et son disciple Domenech, les Bleus devraient bientôt élire domicile au Stade Louis-II à Monaco.

Et bientôt le livre

«Un jour, j’écrirais mon bouquin.» En secret, le sélectionneur dit préparer un livre «plus pour moi, pour ne pas oublier. Pour avoir la vérité des faits au moment où ils se sont déroulés.» Par contre, pour une suite aux «Yeux dans les Bleus», c’est non. «Les caméras dans le vestiaire ça me met en colère. Je trouve que c’est rentrer dans une intimité qui est magique.»


Si le jeu de l’équipe de France provoque chez vous des poussées narcoleptiques, vous pouvez toujours éteindre votre télévision. C’est Raymond Domenech lui-même qui vous donne la permission: «Si vous n’aimez pas, ne regardez pas les matchs.» Entre ironie, séduction et cynisme, le sélectionneur défend son travail à la tête des Bleus dans un entretien de 13 pages à paraître mardi dans le magazine «So Foot». Morceaux choisis.

«Qu’un joueur me haïsse, peu importe»

Interrogé, entre autres, par son ancien protégé, Vikash Dhorasoo, Domenech nie avoir écarté des joueurs qui l’auraient allumé dans la presse: «Qu’un joueur me haïsse ou me trouve con, peu importe, s’il est utile à l’équipe… Philippe Mexès a dit des trucs pas très sympas sur moi, mais je l’ai repris», justifie-t-il par exemple. Le sélectionneur laisse même la porte entre-ouverte à Florent Malouda. «S’il est bon, qu’il montre qu’il a des envies de revenir, qu’il le dit, je ne vois pas pourquoi je l’écarterais.»

Pas de style de jeu «équipe de France»


Quand on chauffe Raymond Domenech sur l’absence de style de jeu défini de son équipe, on le trouve: «J’attends toujours la définition de ceux qui disent que je n’ai pas de projet de jeu» se fâche le sélectionneur. Pragmatique avant tout, l’ancien défenseur ne connaît qu’un projet: «gagner des matchs». «Est-ce qu’il y a eu un vrai style de jeu équipe de France? Je ne pense pas», tranche-t-il. Michel Hidalgo et Aimé Jacquet apprécieront.

«J’ai une mauvaise communication»

Est-ce un aveu? Pas sûr, mais Raymond Domenech admet pouvoir dégager une mauvaise image de lui par… excès de timidité. «A l’école, les maîtresses disaient déjà que j’étais hautain. C'est par pure timidité.» Le patron des Bleus impute ce déficit d’image aux journalistes. «J’ai affaire à des gens qui savent tout, qui me posent des questions avec des réponses dedans, qui me prennent pour un con et qui m’ont taillé pendant toute la semaine.»

Les sifflets: «Plus il y a de monde, plus on est con»


Le mot con lui colle décidément à la bouche. Interrogé sur les sifflets qui l’accompagnent à chacune de ses sorties depuis l’Euro, cet homme de théâtre répond en citant le philosophe Gustave Le Bon. «Dans son livre “Psychologie des foules’’, il t’expliquera que le niveau de l’intelligence d’une foule diminue en fonction de son nombre. Plus il y a de monde, plus on est con.» Bref, si on suit Le Bon et son disciple Domenech, les Bleus devraient bientôt élire domicile au Stade Louis-II à Monaco.

Et bientôt le livre

«Un jour, j’écrirais mon bouquin.» En secret, le sélectionneur dit préparer un livre «plus pour moi, pour ne pas oublier. Pour avoir la vérité des faits au moment où ils se sont déroulés.» Par contre, pour une suite aux «Yeux dans les Bleus», c’est non. «Les caméras dans le vestiaire ça me met en colère. Je trouve que c’est rentrer dans une intimité qui est magique.»


Si le jeu de l’équipe de France provoque chez vous des poussées narcoleptiques, vous pouvez toujours éteindre votre télévision. C’est Raymond Domenech lui-même qui vous donne la permission: «Si vous n’aimez pas, ne regardez pas les matchs.» Entre ironie, séduction et cynisme, le sélectionneur défend son travail à la tête des Bleus dans un entretien de 13 pages à paraître mardi dans le magazine «So Foot». Morceaux choisis.

«Qu’un joueur me haïsse, peu importe»

Interrogé, entre autres, par son ancien protégé, Vikash Dhorasoo, Domenech nie avoir écarté des joueurs qui l’auraient allumé dans la presse: «Qu’un joueur me haïsse ou me trouve con, peu importe, s’il est utile à l’équipe… Philippe Mexès a dit des trucs pas très sympas sur moi, mais je l’ai repris», justifie-t-il par exemple. Le sélectionneur laisse même la porte entre-ouverte à Florent Malouda. «S’il est bon, qu’il montre qu’il a des envies de revenir, qu’il le dit, je ne vois pas pourquoi je l’écarterais.»

Pas de style de jeu «équipe de France»


Quand on chauffe Raymond Domenech sur l’absence de style de jeu défini de son équipe, on le trouve: «J’attends toujours la définition de ceux qui disent que je n’ai pas de projet de jeu» se fâche le sélectionneur. Pragmatique avant tout, l’ancien défenseur ne connaît qu’un projet: «gagner des matchs». «Est-ce qu’il y a eu un vrai style de jeu équipe de France? Je ne pense pas», tranche-t-il. Michel Hidalgo et Aimé Jacquet apprécieront.

«J’ai une mauvaise communication»

Est-ce un aveu? Pas sûr, mais Raymond Domenech admet pouvoir dégager une mauvaise image de lui par… excès de timidité. «A l’école, les maîtresses disaient déjà que j’étais hautain. C'est par pure timidité.» Le patron des Bleus impute ce déficit d’image aux journalistes. «J’ai affaire à des gens qui savent tout, qui me posent des questions avec des réponses dedans, qui me prennent pour un con et qui m’ont taillé pendant toute la semaine.»

Les sifflets: «Plus il y a de monde, plus on est con»


Le mot con lui colle décidément à la bouche. Interrogé sur les sifflets qui l’accompagnent à chacune de ses sorties depuis l’Euro, cet homme de théâtre répond en citant le philosophe Gustave Le Bon. «Dans son livre “Psychologie des foules’’, il t’expliquera que le niveau de l’intelligence d’une foule diminue en fonction de son nombre. Plus il y a de monde, plus on est con.» Bref, si on suit Le Bon et son disciple Domenech, les Bleus devraient bientôt élire domicile au Stade Louis-II à Monaco.

Et bientôt le livre

«Un jour, j’écrirais mon bouquin.» En secret, le sélectionneur dit préparer un livre «plus pour moi, pour ne pas oublier. Pour avoir la vérité des faits au moment où ils se sont déroulés.» Par contre, pour une suite aux «Yeux dans les Bleus», c’est non. «Les caméras dans le vestiaire ça me met en colère. Je trouve que c’est rentrer dans une intimité qui est magique.»
les sifflets
Si le jeu de l’équipe de France provoque chez vous des poussées narcoleptiques, vous pouvez toujours éteindre votre télévision. C’est Raymond Domenech lui-même qui vous donne la permission: «Si vous n’aimez pas, ne regardez pas les matchs.» Entre ironie, séduction et cynisme, le sélectionneur défend son travail à la tête des Bleus dans un entretien de 13 pages à paraître mardi dans le magazine «So Foot». Morceaux choisis.

«Qu’un joueur me haïsse, peu importe»

Interrogé, entre autres, par son ancien protégé, Vikash Dhorasoo, Domenech nie avoir écarté des joueurs qui l’auraient allumé dans la presse: «Qu’un joueur me haïsse ou me trouve con, peu importe, s’il est utile à l’équipe… Philippe Mexès a dit des trucs pas très sympas sur moi, mais je l’ai repris», justifie-t-il par exemple. Le sélectionneur laisse même la porte entre-ouverte à Florent Malouda. «S’il est bon, qu’il montre qu’il a des envies de revenir, qu’il le dit, je ne vois pas pourquoi je l’écarterais.»

Pas de style de jeu «équipe de France»


Quand on chauffe Raymond Domenech sur l’absence de style de jeu défini de son équipe, on le trouve: «J’attends toujours la définition de ceux qui disent que je n’ai pas de projet de jeu» se fâche le sélectionneur. Pragmatique avant tout, l’ancien défenseur ne connaît qu’un projet: «gagner des matchs». «Est-ce qu’il y a eu un vrai style de jeu équipe de France? Je ne pense pas», tranche-t-il. Michel Hidalgo et Aimé Jacquet apprécieront.

«J’ai une mauvaise communication»

Est-ce un aveu? Pas sûr, mais Raymond Domenech admet pouvoir dégager une mauvaise image de lui par… excès de timidité. «A l’école, les maîtresses disaient déjà que j’étais hautain. C'est par pure timidité.» Le patron des Bleus impute ce déficit d’image aux journalistes. «J’ai affaire à des gens qui savent tout, qui me posent des questions avec des réponses dedans, qui me prennent pour un con et qui m’ont taillé pendant toute la semaine.»

Les sifflets: «Plus il y a de monde, plus on est con»


Le mot con lui colle décidément à la bouche. Interrogé sur les sifflets qui l’accompagnent à chacune de ses sorties depuis l’Euro, cet homme de théâtre répond en citant le philosophe Gustave Le Bon. «Dans son livre “Psychologie des foules’’, il t’expliquera que le niveau de l’intelligence d’une foule diminue en fonction de son nombre. Plus il y a de monde, plus on est con.» Bref, si on suit Le Bon et son disciple Domenech, les Bleus devraient bientôt élire domicile au Stade Louis-II à Monaco.

Et bientôt le livre

«Un jour, j’écrirais mon bouquin.» En secret, le sélectionneur dit préparer un livre «plus pour moi, pour ne pas oublier. Pour avoir la vérité des faits au moment où ils se sont déroulés.» Par contre, pour une suite aux «Yeux dans les Bleus», c’est non. «Les caméras dans le vestiaire ça me met en colère. Je trouve que c’est rentrer dans une intimité qui est magique.»
“Psychologie des foules’’
Si le jeu de l’équipe de France provoque chez vous des poussées narcoleptiques, vous pouvez toujours éteindre votre télévision. C’est Raymond Domenech lui-même qui vous donne la permission: «Si vous n’aimez pas, ne regardez pas les matchs.» Entre ironie, séduction et cynisme, le sélectionneur défend son travail à la tête des Bleus dans un entretien de 13 pages à paraître mardi dans le magazine «So Foot». Morceaux choisis.

«Qu’un joueur me haïsse, peu importe»

Interrogé, entre autres, par son ancien protégé, Vikash Dhorasoo, Domenech nie avoir écarté des joueurs qui l’auraient allumé dans la presse: «Qu’un joueur me haïsse ou me trouve con, peu importe, s’il est utile à l’équipe… Philippe Mexès a dit des trucs pas très sympas sur moi, mais je l’ai repris», justifie-t-il par exemple. Le sélectionneur laisse même la porte entre-ouverte à Florent Malouda. «S’il est bon, qu’il montre qu’il a des envies de revenir, qu’il le dit, je ne vois pas pourquoi je l’écarterais.»

Pas de style de jeu «équipe de France»


Quand on chauffe Raymond Domenech sur l’absence de style de jeu défini de son équipe, on le trouve: «J’attends toujours la définition de ceux qui disent que je n’ai pas de projet de jeu» se fâche le sélectionneur. Pragmatique avant tout, l’ancien défenseur ne connaît qu’un projet: «gagner des matchs». «Est-ce qu’il y a eu un vrai style de jeu équipe de France? Je ne pense pas», tranche-t-il. Michel Hidalgo et Aimé Jacquet apprécieront.

«J’ai une mauvaise communication»

Est-ce un aveu? Pas sûr, mais Raymond Domenech admet pouvoir dégager une mauvaise image de lui par… excès de timidité. «A l’école, les maîtresses disaient déjà que j’étais hautain. C'est par pure timidité.» Le patron des Bleus impute ce déficit d’image aux journalistes. «J’ai affaire à des gens qui savent tout, qui me posent des questions avec des réponses dedans, qui me prennent pour un con et qui m’ont taillé pendant toute la semaine.»

Les sifflets: «Plus il y a de monde, plus on est con»


Le mot con lui colle décidément à la bouche. Interrogé sur les sifflets qui l’accompagnent à chacune de ses sorties depuis l’Euro, cet homme de théâtre répond en citant le philosophe Gustave Le Bon. «Dans son livre “Psychologie des foules’’, il t’expliquera que le niveau de l’intelligence d’une foule diminue en fonction de son nombre. Plus il y a de monde, plus on est con.» Bref, si on suit Le Bon et son disciple Domenech, les Bleus devraient bientôt élire domicile au Stade Louis-II à Monaco.

Et bientôt le livre

«Un jour, j’écrirais mon bouquin.» En secret, le sélectionneur dit préparer un livre «plus pour moi, pour ne pas oublier. Pour avoir la vérité des faits au moment où ils se sont déroulés.» Par contre, pour une suite aux «Yeux dans les Bleus», c’est non. «Les caméras dans le vestiaire ça me met en colère. Je trouve que c’est rentrer dans une intimité qui est magique.»


Si le jeu de l’équipe de France provoque chez vous des poussées narcoleptiques, vous pouvez toujours éteindre votre télévision. C’est Raymond Domenech lui-même qui vous donne la permission: «Si vous n’aimez pas, ne regardez pas les matchs.» Entre ironie, séduction et cynisme, le sélectionneur défend son travail à la tête des Bleus dans un entretien de 13 pages à paraître mardi dans le magazine «So Foot». Morceaux choisis.

«Qu’un joueur me haïsse, peu importe»

Interrogé, entre autres, par son ancien protégé, Vikash Dhorasoo, Domenech nie avoir écarté des joueurs qui l’auraient allumé dans la presse: «Qu’un joueur me haïsse ou me trouve con, peu importe, s’il est utile à l’équipe… Philippe Mexès a dit des trucs pas très sympas sur moi, mais je l’ai repris», justifie-t-il par exemple. Le sélectionneur laisse même la porte entre-ouverte à Florent Malouda. «S’il est bon, qu’il montre qu’il a des envies de revenir, qu’il le dit, je ne vois pas pourquoi je l’écarterais.»

Pas de style de jeu «équipe de France»


Quand on chauffe Raymond Domenech sur l’absence de style de jeu défini de son équipe, on le trouve: «J’attends toujours la définition de ceux qui disent que je n’ai pas de projet de jeu» se fâche le sélectionneur. Pragmatique avant tout, l’ancien défenseur ne connaît qu’un projet: «gagner des matchs». «Est-ce qu’il y a eu un vrai style de jeu équipe de France? Je ne pense pas», tranche-t-il. Michel Hidalgo et Aimé Jacquet apprécieront.

«J’ai une mauvaise communication»

Est-ce un aveu? Pas sûr, mais Raymond Domenech admet pouvoir dégager une mauvaise image de lui par… excès de timidité. «A l’école, les maîtresses disaient déjà que j’étais hautain. C'est par pure timidité.» Le patron des Bleus impute ce déficit d’image aux journalistes. «J’ai affaire à des gens qui savent tout, qui me posent des questions avec des réponses dedans, qui me prennent pour un con et qui m’ont taillé pendant toute la semaine.»

Les sifflets: «Plus il y a de monde, plus on est con»


Le mot con lui colle décidément à la bouche. Interrogé sur les sifflets qui l’accompagnent à chacune de ses sorties depuis l’Euro, cet homme de théâtre répond en citant le philosophe Gustave Le Bon. «Dans son livre “Psychologie des foules’’, il t’expliquera que le niveau de l’intelligence d’une foule diminue en fonction de son nombre. Plus il y a de monde, plus on est con.» Bref, si on suit Le Bon et son disciple Domenech, les Bleus devraient bientôt élire domicile au Stade Louis-II à Monaco.

Et bientôt le livre

«Un jour, j’écrirais mon bouquin.» En secret, le sélectionneur dit préparer un livre «plus pour moi, pour ne pas oublier. Pour avoir la vérité des faits au moment où ils se sont déroulés.» Par contre, pour une suite aux «Yeux dans les Bleus», c’est non. «Les caméras dans le vestiaire ça me met en colère. Je trouve que c’est rentrer dans une intimité qui est magique.»


Si le jeu de l’équipe de France provoque chez vous des poussées narcoleptiques, vous pouvez toujours éteindre votre télévision. C’est Raymond Domenech lui-même qui vous donne la permission: «Si vous n’aimez pas, ne regardez pas les matchs.» Entre ironie, séduction et cynisme, le sélectionneur défend son travail à la tête des Bleus dans un entretien de 13 pages à paraître mardi dans le magazine «So Foot». Morceaux choisis.

«Qu’un joueur me haïsse, peu importe»

Interrogé, entre autres, par son ancien protégé, Vikash Dhorasoo, Domenech nie avoir écarté des joueurs qui l’auraient allumé dans la presse: «Qu’un joueur me haïsse ou me trouve con, peu importe, s’il est utile à l’équipe… Philippe Mexès a dit des trucs pas très sympas sur moi, mais je l’ai repris», justifie-t-il par exemple. Le sélectionneur laisse même la porte entre-ouverte à Florent Malouda. «S’il est bon, qu’il montre qu’il a des envies de revenir, qu’il le dit, je ne vois pas pourquoi je l’écarterais.»

Pas de style de jeu «équipe de France»


Quand on chauffe Raymond Domenech sur l’absence de style de jeu défini de son équipe, on le trouve: «J’attends toujours la définition de ceux qui disent que je n’ai pas de projet de jeu» se fâche le sélectionneur. Pragmatique avant tout, l’ancien défenseur ne connaît qu’un projet: «gagner des matchs». «Est-ce qu’il y a eu un vrai style de jeu équipe de France? Je ne pense pas», tranche-t-il. Michel Hidalgo et Aimé Jacquet apprécieront.

«J’ai une mauvaise communication»

Est-ce un aveu? Pas sûr, mais Raymond Domenech admet pouvoir dégager une mauvaise image de lui par… excès de timidité. «A l’école, les maîtresses disaient déjà que j’étais hautain. C'est par pure timidité.» Le patron des Bleus impute ce déficit d’image aux journalistes. «J’ai affaire à des gens qui savent tout, qui me posent des questions avec des réponses dedans, qui me prennent pour un con et qui m’ont taillé pendant toute la semaine.»

Les sifflets: «Plus il y a de monde, plus on est con»


Le mot con lui colle décidément à la bouche. Interrogé sur les sifflets qui l’accompagnent à chacune de ses sorties depuis l’Euro, cet homme de théâtre répond en citant le philosophe Gustave Le Bon. «Dans son livre “Psychologie des foules’’, il t’expliquera que le niveau de l’intelligence d’une foule diminue en fonction de son nombre. Plus il y a de monde, plus on est con.» Bref, si on suit Le Bon et son disciple Domenech, les Bleus devraient bientôt élire domicile au Stade Louis-II à Monaco.

Et bientôt le livre

«Un jour, j’écrirais mon bouquin.» En secret, le sélectionneur dit préparer un livre «plus pour moi, pour ne pas oublier. Pour avoir la vérité des faits au moment où ils se sont déroulés.» Par contre, pour une suite aux «Yeux dans les Bleus», c’est non. «Les caméras dans le vestiaire ça me met en colère. Je trouve que c’est rentrer dans une intimité qui est magique.»