TENNISCornet et Mauresmo pour faire barrage

Cornet et Mauresmo pour faire barrage

TENNISNicolas Escudé a convoqué cinq joueuses pour affronter la Slovaquie en Fed Cup le 25 avril...
R.S.

R.S.

«Je suis une merde». L’aveu est lâché par Alizé Cornet, au plus mal mercredi soir après sa défaite contre sa copine Stéphanie Cohen-Aloro à Barcelone. Dans l’affaire, la Niçoise n’a pas perdu son sens de l’autocritique. Pas plus que sa place en Fed Cup. Malgré un terne début de saison, Nicolas Escudé, le nouveau cornac des Tricolores, en a fait sa chef de file pour affronter la Slovaquie en match de barrage. L’enjeu: sauver la place de l’équipe dans le groupe mondial. La rencontre aura lieu les 25 et 26 avril, à Limoges.

A ses côtés, l’ancien vainqueur de la Coupe Davis a convoqué Amélie Mauresmo, Nathalie Dechy, Pauline Parmentier et une nouvelle recrue, Mathilde Johansson. La numéro 1 française, Marion Bartoli, se tenant elle toujours à l’écart du groupe. Après la défaite au premier tour face à l’Italie, dont on n'a retenu que l’épisode du doigt d’honneur de Flavia Penetta, les Bleues ont choisi la terre battue pour sauver leur place dans le groupe mondial.

La pression sur Escudé

«C'est la meilleure surface d'Alizé Cornet. Amélie Mauresmo, elle, est indiscutable de par son expérience et l'aura qu'elle peut avoir au sein de cette équipe. C'est également le cas de Nathalie Dechy, grâce à son expérience et à sa qualité de joueuse de double», explique Escudé qui, quatre mois après sa nomination, n'apprécierait pas d'être le premier capitaine de l'équipe de France de Fed Cup à quitter le groupe mondial.


«Je suis une merde». L’aveu est lâché par Alizé Cornet, au plus mal mercredi soir après sa défaite contre sa copine Stéphanie Cohen-Aloro à Barcelone. Dans l’affaire, la Niçoise n’a pas perdu son sens de l’autocritique. Pas plus que sa place en Fed Cup. Malgré un terne début de saison, Nicolas Escudé, le nouveau cornac des Tricolores, en a fait sa chef de file pour affronter la Slovaquie en match de barrage. L’enjeu: sauver la place de l’équipe dans le groupe mondial. La rencontre aura lieu les 25 et 26 avril, à Limoges.

A ses côtés, l’ancien vainqueur de la Coupe Davis a convoqué Amélie Mauresmo, Nathalie Dechy, Pauline Parmentier et une nouvelle recrue, Mathilde Johansson. La numéro 1 française, Marion Bartoli, se tenant elle toujours à l’écart du groupe. Après la défaite au premier tour face à l’Italie, dont on n'a retenu que l’épisode du doigt d’honneur de Flavia Penetta, les Bleues ont choisi la terre battue pour sauver leur place dans le groupe mondial.

La pression sur Escudé

«C'est la meilleure surface d'Alizé Cornet. Amélie Mauresmo, elle, est indiscutable de par son expérience et l'aura qu'elle peut avoir au sein de cette équipe. C'est également le cas de Nathalie Dechy, grâce à son expérience et à sa qualité de joueuse de double», explique Escudé qui, quatre mois après sa nomination, n'apprécierait pas d'être le premier capitaine de l'équipe de France de Fed Cup à quitter le groupe mondial.


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«Je
suis une merde». L’aveu est lâché par Alizé Cornet, au plus mal mercredi soir après sa défaite contre sa copine Stéphanie Cohen-Aloro à Barcelone. Dans l’affaire, la Niçoise n’a pas perdu son sens de l’autocritique. Pas plus que sa place en Fed Cup. Malgré un terne début de saison, Nicolas Escudé, le nouveau cornac des Tricolores, en a fait sa chef de file pour affronter la Slovaquie en match de barrage. L’enjeu: sauver la place de l’équipe dans le groupe mondial. La rencontre aura lieu les 25 et 26 avril, à Limoges.

A ses côtés, l’ancien vainqueur de la Coupe Davis a convoqué Amélie Mauresmo, Nathalie Dechy, Pauline Parmentier et une nouvelle recrue, Mathilde Johansson. La numéro 1 française, Marion Bartoli, se tenant elle toujours à l’écart du groupe. Après la défaite au premier tour face à l’Italie, dont on n'a retenu que l’épisode du doigt d’honneur de Flavia Penetta, les Bleues ont choisi la terre battue pour sauver leur place dans le groupe mondial.

La pression sur Escudé

«C'est la meilleure surface d'Alizé Cornet. Amélie Mauresmo, elle, est indiscutable de par son expérience et l'aura qu'elle peut avoir au sein de cette équipe. C'est également le cas de Nathalie Dechy, grâce à son expérience et à sa qualité de joueuse de double», explique Escudé qui, quatre mois après sa nomination, n'apprécierait pas d'être le premier capitaine de l'équipe de France de Fed Cup à quitter le groupe mondial.


«Je suis une merde». L’aveu est lâché par Alizé Cornet, au plus mal mercredi soir après sa défaite contre sa copine Stéphanie Cohen-Aloro à Barcelone. Dans l’affaire, la Niçoise n’a pas perdu son sens de l’autocritique. Pas plus que sa place en Fed Cup. Malgré un terne début de saison, Nicolas Escudé, le nouveau cornac des Tricolores, en a fait sa chef de file pour affronter la Slovaquie en match de barrage. L’enjeu: sauver la place de l’équipe dans le groupe mondial. La rencontre aura lieu les 25 et 26 avril, à Limoges.

A ses côtés, l’ancien vainqueur de la Coupe Davis a convoqué Amélie Mauresmo, Nathalie Dechy, Pauline Parmentier et une nouvelle recrue, Mathilde Johansson. La numéro 1 française, Marion Bartoli, se tenant elle toujours à l’écart du groupe. Après la défaite au premier tour face à l’Italie, dont on n'a retenu que l’épisode du doigt d’honneur de Flavia Penetta, les Bleues ont choisi la terre battue pour sauver leur place dans le groupe mondial.

La pression sur Escudé

«C'est la meilleure surface d'Alizé Cornet. Amélie Mauresmo, elle, est indiscutable de par son expérience et l'aura qu'elle peut avoir au sein de cette équipe. C'est également le cas de Nathalie Dechy, grâce à son expérience et à sa qualité de joueuse de double», explique Escudé qui, quatre mois après sa nomination, n'apprécierait pas d'être le premier capitaine de l'équipe de France de Fed Cup à quitter le groupe mondial.
explique Escudé qui, quatre mois après sa nomination
«Je suis une merde». L’aveu est lâché par Alizé Cornet, au plus mal mercredi soir après sa défaite contre sa copine Stéphanie Cohen-Aloro à Barcelone. Dans l’affaire, la Niçoise n’a pas perdu son sens de l’autocritique. Pas plus que sa place en Fed Cup. Malgré un terne début de saison, Nicolas Escudé, le nouveau cornac des Tricolores, en a fait sa chef de file pour affronter la Slovaquie en match de barrage. L’enjeu: sauver la place de l’équipe dans le groupe mondial. La rencontre aura lieu les 25 et 26 avril, à Limoges.

A ses côtés, l’ancien vainqueur de la Coupe Davis a convoqué Amélie Mauresmo, Nathalie Dechy, Pauline Parmentier et une nouvelle recrue, Mathilde Johansson. La numéro 1 française, Marion Bartoli, se tenant elle toujours à l’écart du groupe. Après la défaite au premier tour face à l’Italie, dont on n'a retenu que l’épisode du doigt d’honneur de Flavia Penetta, les Bleues ont choisi la terre battue pour sauver leur place dans le groupe mondial.

La pression sur Escudé

«C'est la meilleure surface d'Alizé Cornet. Amélie Mauresmo, elle, est indiscutable de par son expérience et l'aura qu'elle peut avoir au sein de cette équipe. C'est également le cas de Nathalie Dechy, grâce à son expérience et à sa qualité de joueuse de double», explique Escudé qui, quatre mois après sa nomination, n'apprécierait pas d'être le premier capitaine de l'équipe de France de Fed Cup à quitter le groupe mondial.