Les idées reçues sur le dopage: les dopés ont des sourires d'ado prébubères

Les idées reçues sur le dopage: les dopés ont des sourires d'ado prébubères

DECRYPTAGEEntre mâchoires qui se déforment et clitoris géants, l'hématologue Gérard Dine, éminent spécialiste du dopage, revient chaque jour sur les petites et grandes légendes urbaines de la triche médicamenteuse. Aujourd'hui, les dents qui poussent...
M. Go.

M. Go.

Aussi rapide qu’un athlète jamaïcain à Pékin, la rumeur s’est propagée sur certains forums un soir d’août quand les fans d’athlétisme découvrent le sourire de la vainqueur du 100. Horreur, Shelly-Ann Fraser porte un appareil dentaire.


Le dossier sur les idées reçues sur le dopage est ici

Avant la Jamaïcaine,


Le dossier sur les idées reçues sur le dopage est ici


Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.



Le dossier sur les idées reçues sur le dopage est ici


Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.



Le dossier sur les idées reçues sur le dopage est ici


Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.


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Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.

(qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr)


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Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.



Le dossier sur les idées reçues sur le dopage est ici


Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.

ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr


Le dossier sur les idées reçues sur le dopage est ici


Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.

d’acromégalie


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Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.

Gheorghe Muresan


Le dossier sur les idées reçues sur le dopage est ici


Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.

2, 31 m.


Le dossier sur les idées reçues sur le dopage est ici


Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.



Le dossier sur les idées reçues sur le dopage est ici


Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.

(Accident Vasculaire Cérébral)


Le dossier sur les idées reçues sur le dopage est ici


Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.



Le dossier sur les idées reçues sur le dopage est ici


Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.


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Le dossier sur les idées reçues sur le dopage est ici


Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.



Le dossier sur les idées reçues sur le dopage est ici


Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.

l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.


Le dossier sur les idées reçues sur le dopage est ici


Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.



Le dossier sur les idées reçues sur le dopage est ici


Avant la Jamaïcaine,
les sulfureuses Marion Jones et Kelly White avaient arboré un sourire très métallique. Dans les années 90, de nombreux athlètes américains se sont d’ailleurs mis, sans que l’on sache vraiment pourquoi, à porter des appareils dentaires alors que le doux temps de l’acné était depuis longtemps derrière eux.

Certaines rumeurs affirment depuis que les sportifs dopés ont les dents qui poussent et les bassins qui s’élargissent…


Alors docteur ? «A un moment, les médecins ont réussi à produire une hormone de croissance bio produite issue du génie génétique (qui imite, l’hormone de croissance naturellement produite par notre organisme, ndlr). Elle est donc indétectable dans les urines et les cheveux.»

«Il faut savoir que l’hormone de croissance naturelle qu’un organisme produit en beaucoup moins grande quantité à partir de l’âge adulte, agit sur les cartilages de conjugaison, c’est-à-dire les zones de croissance des os. Mais quand un adulte en prend, l’hormone n’agit plus que sur les os plats de l’organisme (bassins, mains, mâchoires) car les autres os ont fini de grandir. Ceux qui en prendraient trop (en bonne quantité chez un sportif, ce produit a un effet anabolisant et augmente la masse musculaire mais permet aussi de bruler les graisses, ndlr), peuvent présenter des signes modérés d’acromégalie, la maladie des gens qui ne s’arrêtent jamais de grandir. Une maladie dont était par exemple atteint le basketteur Gheorghe Muresan qui mesure, 2, 31 m.»

«Des personnes qui prendraient de l’hormone de croissance ont les mains ou les mâchoires qui peuvent se déformer et l’appareil dentaire permet de contrôler cela. Mais ces sportifs sont en danger. On pense que l’utilisation des stéroïdes alliés à l’hormone de croissance peut renforcer les risques d’AVC (Accident Vasculaire Cérébral), notamment chez les sprinters américains qui sont en train de vieillir.»


Et maintenant? Inutile de reparler de Marion Jones. La championne est une des stars de l’affaire Balco, ce scandale qui a mis à jour en 2004 un vaste réseau d’utilisation de l’hormone de croissance alliée à des stéroïdes anabolisants. La gloire de l’athlétisme US a rendu ses médailles olympiques (3 d'or, 2 de bronze) des Jeux de Sydney. Le 11 janvier 2008, elle a même été condamnée à six mois de prison ferme pour parjure.

Kelli White a elle été suspendue en 2004 par l'Agence antidopage américaine (USADA), pour usage de stéroïdes et d'autres produits dont l'érythropoïétine (EPO). Pourtant, elle n’a jamais été prise par la patrouille car l’utilisation de l’hormone de croissance est très difficilement détectable.

La championne olympique Fraser n’a jamais été contrôlée positive.