SKIGrange entend faire le tour du globe

Grange entend faire le tour du globe

SKISi tout lui sourit, le Français peut enlever le classement de la coupe du monde de slalom, dimanche...
R.S.

R.S.

Il en a fait la promesse à son confident de l’équipe de France, Julien Lizeroux. Cette année, Jean-Baptiste Grange ne veut pas terminer sa saison sans soulever un globe de cristal. Celui de la coupe du monde de slalom en priorité. Et pourquoi pas le classement général s 'il retrouve la réussite qui le fuit depuis les Mondiaux. Privé de médaille devant son public à Val d’Isère, le leader des Bleus a donc l’occasion de sauver sa saison, à Kransjka Gora, où il s’alignera samedi en géant, avant de disputer dimanche l’avant-dernier slalom de la saison.

Avec 71 points d’avance sur Ivica Kostelic, dont le dos douloureux rend chacune de ses sorties imprévisibles, Jibé peut même rêver d’un premier trophée, dans sa spécialité. «Il faudrait un beau concours de circonstance, calme David Chastan, le coach du groupe technique. Ça ne dépend pas que de lui. Il peut gagner et être contraint d’attendre la finale à Are, suivant le résultat de Kostelic. Il peut aussi tout perdre, comme à Val d’Isère. Mais bon, sa carrière ne s’est pas arrêtée là-bas.»

Rassuré à Sestrières


Deux semaines après une quinzaine blanche, marquée par deux sorties de pistes en combiné puis en slalom et une morne 7e place en géant, Grange jure avoir digéré ses échecs. Avant de poser ses spatules sur les pentes slovènes, le leader des Bleus a pris le temps de se ressourcer pendant deux jours, chez lui à Valloire, avant de reprendre l’entraînement mercredi en Italie. Le week-end précédent, Jibé avait en partie retrouvé le sourire à Sestrières, en terminant 5e du combiné, derrière Julien Lizeroux (2e), mais en réalisant le meilleur temps de la manche de slalom.

«Cette 5e place, c'est honnête. Cela me remet en confiance», savoure-t-il avant d’attaquer le final de la saison. Cette période charnière, Grange l’avait mal négociée l’année dernière où il avait été déchu de son dossard de meilleur slalomeur par Manfred Moelgg lors de l’ultime course, à Bormio. Qu’a-t-il retenu de ce (premier) échec? «Surtout d’être plus centré sur sa course, note Chastan. De ne pas s’éparpiller. On apprend toujours d’un échec. Mais il ne faut pas tout changer non plus. Il aborde les courses comme avant. On sait très bien qu’il va tout donner pour gagner.»

Et vous qu'en pensez-vous? Grange peut-il obtenir un globe de cristal?
Celui de la coupe du monde de slalom en priorité
Il en a fait la promesse à son confident de l’équipe de France, Julien Lizeroux. Cette année, Jean-Baptiste Grange ne veut pas terminer sa saison sans soulever un globe de cristal. Celui de la coupe du monde de slalom en priorité. Et pourquoi pas le classement général s 'il retrouve la réussite qui le fuit depuis les Mondiaux. Privé de médaille devant son public à Val d’Isère, le leader des Bleus a donc l’occasion de sauver sa saison, à Kransjka Gora, où il s’alignera samedi en géant, avant de disputer dimanche l’avant-dernier slalom de la saison.

Avec 71 points d’avance sur Ivica Kostelic, dont le dos douloureux rend chacune de ses sorties imprévisibles, Jibé peut même rêver d’un premier trophée, dans sa spécialité. «Il faudrait un beau concours de circonstance, calme David Chastan, le coach du groupe technique. Ça ne dépend pas que de lui. Il peut gagner et être contraint d’attendre la finale à Are, suivant le résultat de Kostelic. Il peut aussi tout perdre, comme à Val d’Isère. Mais bon, sa carrière ne s’est pas arrêtée là-bas.»

Rassuré à Sestrières


Deux semaines après une quinzaine blanche, marquée par deux sorties de pistes en combiné puis en slalom et une morne 7e place en géant, Grange jure avoir digéré ses échecs. Avant de poser ses spatules sur les pentes slovènes, le leader des Bleus a pris le temps de se ressourcer pendant deux jours, chez lui à Valloire, avant de reprendre l’entraînement mercredi en Italie. Le week-end précédent, Jibé avait en partie retrouvé le sourire à Sestrières, en terminant 5e du combiné, derrière Julien Lizeroux (2e), mais en réalisant le meilleur temps de la manche de slalom.

«Cette 5e place, c'est honnête. Cela me remet en confiance», savoure-t-il avant d’attaquer le final de la saison. Cette période charnière, Grange l’avait mal négociée l’année dernière où il avait été déchu de son dossard de meilleur slalomeur par Manfred Moelgg lors de l’ultime course, à Bormio. Qu’a-t-il retenu de ce (premier) échec? «Surtout d’être plus centré sur sa course, note Chastan. De ne pas s’éparpiller. On apprend toujours d’un échec. Mais il ne faut pas tout changer non plus. Il aborde les courses comme avant. On sait très bien qu’il va tout donner pour gagner.»

Et vous qu'en pensez-vous? Grange peut-il obtenir un globe de cristal?
Privé de médaille devant son public à Val d’Isère
Il en a fait la promesse à son confident de l’équipe de France, Julien Lizeroux. Cette année, Jean-Baptiste Grange ne veut pas terminer sa saison sans soulever un globe de cristal. Celui de la coupe du monde de slalom en priorité. Et pourquoi pas le classement général s 'il retrouve la réussite qui le fuit depuis les Mondiaux. Privé de médaille devant son public à Val d’Isère, le leader des Bleus a donc l’occasion de sauver sa saison, à Kransjka Gora, où il s’alignera samedi en géant, avant de disputer dimanche l’avant-dernier slalom de la saison.

Avec 71 points d’avance sur Ivica Kostelic, dont le dos douloureux rend chacune de ses sorties imprévisibles, Jibé peut même rêver d’un premier trophée, dans sa spécialité. «Il faudrait un beau concours de circonstance, calme David Chastan, le coach du groupe technique. Ça ne dépend pas que de lui. Il peut gagner et être contraint d’attendre la finale à Are, suivant le résultat de Kostelic. Il peut aussi tout perdre, comme à Val d’Isère. Mais bon, sa carrière ne s’est pas arrêtée là-bas.»

Rassuré à Sestrières


Deux semaines après une quinzaine blanche, marquée par deux sorties de pistes en combiné puis en slalom et une morne 7e place en géant, Grange jure avoir digéré ses échecs. Avant de poser ses spatules sur les pentes slovènes, le leader des Bleus a pris le temps de se ressourcer pendant deux jours, chez lui à Valloire, avant de reprendre l’entraînement mercredi en Italie. Le week-end précédent, Jibé avait en partie retrouvé le sourire à Sestrières, en terminant 5e du combiné, derrière Julien Lizeroux (2e), mais en réalisant le meilleur temps de la manche de slalom.

«Cette 5e place, c'est honnête. Cela me remet en confiance», savoure-t-il avant d’attaquer le final de la saison. Cette période charnière, Grange l’avait mal négociée l’année dernière où il avait été déchu de son dossard de meilleur slalomeur par Manfred Moelgg lors de l’ultime course, à Bormio. Qu’a-t-il retenu de ce (premier) échec? «Surtout d’être plus centré sur sa course, note Chastan. De ne pas s’éparpiller. On apprend toujours d’un échec. Mais il ne faut pas tout changer non plus. Il aborde les courses comme avant. On sait très bien qu’il va tout donner pour gagner.»

Et vous qu'en pensez-vous? Grange peut-il obtenir un globe de cristal?
à Kransjka Gora
Il en a fait la promesse à son confident de l’équipe de France, Julien Lizeroux. Cette année, Jean-Baptiste Grange ne veut pas terminer sa saison sans soulever un globe de cristal. Celui de la coupe du monde de slalom en priorité. Et pourquoi pas le classement général s 'il retrouve la réussite qui le fuit depuis les Mondiaux. Privé de médaille devant son public à Val d’Isère, le leader des Bleus a donc l’occasion de sauver sa saison, à Kransjka Gora, où il s’alignera samedi en géant, avant de disputer dimanche l’avant-dernier slalom de la saison.

Avec 71 points d’avance sur Ivica Kostelic, dont le dos douloureux rend chacune de ses sorties imprévisibles, Jibé peut même rêver d’un premier trophée, dans sa spécialité. «Il faudrait un beau concours de circonstance, calme David Chastan, le coach du groupe technique. Ça ne dépend pas que de lui. Il peut gagner et être contraint d’attendre la finale à Are, suivant le résultat de Kostelic. Il peut aussi tout perdre, comme à Val d’Isère. Mais bon, sa carrière ne s’est pas arrêtée là-bas.»

Rassuré à Sestrières


Deux semaines après une quinzaine blanche, marquée par deux sorties de pistes en combiné puis en slalom et une morne 7e place en géant, Grange jure avoir digéré ses échecs. Avant de poser ses spatules sur les pentes slovènes, le leader des Bleus a pris le temps de se ressourcer pendant deux jours, chez lui à Valloire, avant de reprendre l’entraînement mercredi en Italie. Le week-end précédent, Jibé avait en partie retrouvé le sourire à Sestrières, en terminant 5e du combiné, derrière Julien Lizeroux (2e), mais en réalisant le meilleur temps de la manche de slalom.

«Cette 5e place, c'est honnête. Cela me remet en confiance», savoure-t-il avant d’attaquer le final de la saison. Cette période charnière, Grange l’avait mal négociée l’année dernière où il avait été déchu de son dossard de meilleur slalomeur par Manfred Moelgg lors de l’ultime course, à Bormio. Qu’a-t-il retenu de ce (premier) échec? «Surtout d’être plus centré sur sa course, note Chastan. De ne pas s’éparpiller. On apprend toujours d’un échec. Mais il ne faut pas tout changer non plus. Il aborde les courses comme avant. On sait très bien qu’il va tout donner pour gagner.»

Et vous qu'en pensez-vous? Grange peut-il obtenir un globe de cristal?


Il en a fait la promesse à son confident de l’équipe de France, Julien Lizeroux. Cette année, Jean-Baptiste Grange ne veut pas terminer sa saison sans soulever un globe de cristal. Celui de la coupe du monde de slalom en priorité. Et pourquoi pas le classement général s 'il retrouve la réussite qui le fuit depuis les Mondiaux. Privé de médaille devant son public à Val d’Isère, le leader des Bleus a donc l’occasion de sauver sa saison, à Kransjka Gora, où il s’alignera samedi en géant, avant de disputer dimanche l’avant-dernier slalom de la saison.

Avec 71 points d’avance sur Ivica Kostelic, dont le dos douloureux rend chacune de ses sorties imprévisibles, Jibé peut même rêver d’un premier trophée, dans sa spécialité. «Il faudrait un beau concours de circonstance, calme David Chastan, le coach du groupe technique. Ça ne dépend pas que de lui. Il peut gagner et être contraint d’attendre la finale à Are, suivant le résultat de Kostelic. Il peut aussi tout perdre, comme à Val d’Isère. Mais bon, sa carrière ne s’est pas arrêtée là-bas.»

Rassuré à Sestrières


Deux semaines après une quinzaine blanche, marquée par deux sorties de pistes en combiné puis en slalom et une morne 7e place en géant, Grange jure avoir digéré ses échecs. Avant de poser ses spatules sur les pentes slovènes, le leader des Bleus a pris le temps de se ressourcer pendant deux jours, chez lui à Valloire, avant de reprendre l’entraînement mercredi en Italie. Le week-end précédent, Jibé avait en partie retrouvé le sourire à Sestrières, en terminant 5e du combiné, derrière Julien Lizeroux (2e), mais en réalisant le meilleur temps de la manche de slalom.

«Cette 5e place, c'est honnête. Cela me remet en confiance», savoure-t-il avant d’attaquer le final de la saison. Cette période charnière, Grange l’avait mal négociée l’année dernière où il avait été déchu de son dossard de meilleur slalomeur par Manfred Moelgg lors de l’ultime course, à Bormio. Qu’a-t-il retenu de ce (premier) échec? «Surtout d’être plus centré sur sa course, note Chastan. De ne pas s’éparpiller. On apprend toujours d’un échec. Mais il ne faut pas tout changer non plus. Il aborde les courses comme avant. On sait très bien qu’il va tout donner pour gagner.»

Et vous qu'en pensez-vous? Grange peut-il obtenir un globe de cristal?
Ivica Kostelic, dont le dos douloureux rend chacune de ses sorties imprévisibles
Il en a fait la promesse à son confident de l’équipe de France, Julien Lizeroux. Cette année, Jean-Baptiste Grange ne veut pas terminer sa saison sans soulever un globe de cristal. Celui de la coupe du monde de slalom en priorité. Et pourquoi pas le classement général s 'il retrouve la réussite qui le fuit depuis les Mondiaux. Privé de médaille devant son public à Val d’Isère, le leader des Bleus a donc l’occasion de sauver sa saison, à Kransjka Gora, où il s’alignera samedi en géant, avant de disputer dimanche l’avant-dernier slalom de la saison.

Avec 71 points d’avance sur Ivica Kostelic, dont le dos douloureux rend chacune de ses sorties imprévisibles, Jibé peut même rêver d’un premier trophée, dans sa spécialité. «Il faudrait un beau concours de circonstance, calme David Chastan, le coach du groupe technique. Ça ne dépend pas que de lui. Il peut gagner et être contraint d’attendre la finale à Are, suivant le résultat de Kostelic. Il peut aussi tout perdre, comme à Val d’Isère. Mais bon, sa carrière ne s’est pas arrêtée là-bas.»

Rassuré à Sestrières


Deux semaines après une quinzaine blanche, marquée par deux sorties de pistes en combiné puis en slalom et une morne 7e place en géant, Grange jure avoir digéré ses échecs. Avant de poser ses spatules sur les pentes slovènes, le leader des Bleus a pris le temps de se ressourcer pendant deux jours, chez lui à Valloire, avant de reprendre l’entraînement mercredi en Italie. Le week-end précédent, Jibé avait en partie retrouvé le sourire à Sestrières, en terminant 5e du combiné, derrière Julien Lizeroux (2e), mais en réalisant le meilleur temps de la manche de slalom.

«Cette 5e place, c'est honnête. Cela me remet en confiance», savoure-t-il avant d’attaquer le final de la saison. Cette période charnière, Grange l’avait mal négociée l’année dernière où il avait été déchu de son dossard de meilleur slalomeur par Manfred Moelgg lors de l’ultime course, à Bormio. Qu’a-t-il retenu de ce (premier) échec? «Surtout d’être plus centré sur sa course, note Chastan. De ne pas s’éparpiller. On apprend toujours d’un échec. Mais il ne faut pas tout changer non plus. Il aborde les courses comme avant. On sait très bien qu’il va tout donner pour gagner.»

Et vous qu'en pensez-vous? Grange peut-il obtenir un globe de cristal?
David Chastan, le coach du groupe technique.
Il en a fait la promesse à son confident de l’équipe de France, Julien Lizeroux. Cette année, Jean-Baptiste Grange ne veut pas terminer sa saison sans soulever un globe de cristal. Celui de la coupe du monde de slalom en priorité. Et pourquoi pas le classement général s 'il retrouve la réussite qui le fuit depuis les Mondiaux. Privé de médaille devant son public à Val d’Isère, le leader des Bleus a donc l’occasion de sauver sa saison, à Kransjka Gora, où il s’alignera samedi en géant, avant de disputer dimanche l’avant-dernier slalom de la saison.

Avec 71 points d’avance sur Ivica Kostelic, dont le dos douloureux rend chacune de ses sorties imprévisibles, Jibé peut même rêver d’un premier trophée, dans sa spécialité. «Il faudrait un beau concours de circonstance, calme David Chastan, le coach du groupe technique. Ça ne dépend pas que de lui. Il peut gagner et être contraint d’attendre la finale à Are, suivant le résultat de Kostelic. Il peut aussi tout perdre, comme à Val d’Isère. Mais bon, sa carrière ne s’est pas arrêtée là-bas.»

Rassuré à Sestrières


Deux semaines après une quinzaine blanche, marquée par deux sorties de pistes en combiné puis en slalom et une morne 7e place en géant, Grange jure avoir digéré ses échecs. Avant de poser ses spatules sur les pentes slovènes, le leader des Bleus a pris le temps de se ressourcer pendant deux jours, chez lui à Valloire, avant de reprendre l’entraînement mercredi en Italie. Le week-end précédent, Jibé avait en partie retrouvé le sourire à Sestrières, en terminant 5e du combiné, derrière Julien Lizeroux (2e), mais en réalisant le meilleur temps de la manche de slalom.

«Cette 5e place, c'est honnête. Cela me remet en confiance», savoure-t-il avant d’attaquer le final de la saison. Cette période charnière, Grange l’avait mal négociée l’année dernière où il avait été déchu de son dossard de meilleur slalomeur par Manfred Moelgg lors de l’ultime course, à Bormio. Qu’a-t-il retenu de ce (premier) échec? «Surtout d’être plus centré sur sa course, note Chastan. De ne pas s’éparpiller. On apprend toujours d’un échec. Mais il ne faut pas tout changer non plus. Il aborde les courses comme avant. On sait très bien qu’il va tout donner pour gagner.»

Et vous qu'en pensez-vous? Grange peut-il obtenir un globe de cristal?


Il en a fait la promesse à son confident de l’équipe de France, Julien Lizeroux. Cette année, Jean-Baptiste Grange ne veut pas terminer sa saison sans soulever un globe de cristal. Celui de la coupe du monde de slalom en priorité. Et pourquoi pas le classement général s 'il retrouve la réussite qui le fuit depuis les Mondiaux. Privé de médaille devant son public à Val d’Isère, le leader des Bleus a donc l’occasion de sauver sa saison, à Kransjka Gora, où il s’alignera samedi en géant, avant de disputer dimanche l’avant-dernier slalom de la saison.

Avec 71 points d’avance sur Ivica Kostelic, dont le dos douloureux rend chacune de ses sorties imprévisibles, Jibé peut même rêver d’un premier trophée, dans sa spécialité. «Il faudrait un beau concours de circonstance, calme David Chastan, le coach du groupe technique. Ça ne dépend pas que de lui. Il peut gagner et être contraint d’attendre la finale à Are, suivant le résultat de Kostelic. Il peut aussi tout perdre, comme à Val d’Isère. Mais bon, sa carrière ne s’est pas arrêtée là-bas.»

Rassuré à Sestrières


Deux semaines après une quinzaine blanche, marquée par deux sorties de pistes en combiné puis en slalom et une morne 7e place en géant, Grange jure avoir digéré ses échecs. Avant de poser ses spatules sur les pentes slovènes, le leader des Bleus a pris le temps de se ressourcer pendant deux jours, chez lui à Valloire, avant de reprendre l’entraînement mercredi en Italie. Le week-end précédent, Jibé avait en partie retrouvé le sourire à Sestrières, en terminant 5e du combiné, derrière Julien Lizeroux (2e), mais en réalisant le meilleur temps de la manche de slalom.

«Cette 5e place, c'est honnête. Cela me remet en confiance», savoure-t-il avant d’attaquer le final de la saison. Cette période charnière, Grange l’avait mal négociée l’année dernière où il avait été déchu de son dossard de meilleur slalomeur par Manfred Moelgg lors de l’ultime course, à Bormio. Qu’a-t-il retenu de ce (premier) échec? «Surtout d’être plus centré sur sa course, note Chastan. De ne pas s’éparpiller. On apprend toujours d’un échec. Mais il ne faut pas tout changer non plus. Il aborde les courses comme avant. On sait très bien qu’il va tout donner pour gagner.»

Et vous qu'en pensez-vous? Grange peut-il obtenir un globe de cristal?


Il en a fait la promesse à son confident de l’équipe de France, Julien Lizeroux. Cette année, Jean-Baptiste Grange ne veut pas terminer sa saison sans soulever un globe de cristal. Celui de la coupe du monde de slalom en priorité. Et pourquoi pas le classement général s 'il retrouve la réussite qui le fuit depuis les Mondiaux. Privé de médaille devant son public à Val d’Isère, le leader des Bleus a donc l’occasion de sauver sa saison, à Kransjka Gora, où il s’alignera samedi en géant, avant de disputer dimanche l’avant-dernier slalom de la saison.

Avec 71 points d’avance sur Ivica Kostelic, dont le dos douloureux rend chacune de ses sorties imprévisibles, Jibé peut même rêver d’un premier trophée, dans sa spécialité. «Il faudrait un beau concours de circonstance, calme David Chastan, le coach du groupe technique. Ça ne dépend pas que de lui. Il peut gagner et être contraint d’attendre la finale à Are, suivant le résultat de Kostelic. Il peut aussi tout perdre, comme à Val d’Isère. Mais bon, sa carrière ne s’est pas arrêtée là-bas.»

Rassuré à Sestrières


Deux semaines après une quinzaine blanche, marquée par deux sorties de pistes en combiné puis en slalom et une morne 7e place en géant, Grange jure avoir digéré ses échecs. Avant de poser ses spatules sur les pentes slovènes, le leader des Bleus a pris le temps de se ressourcer pendant deux jours, chez lui à Valloire, avant de reprendre l’entraînement mercredi en Italie. Le week-end précédent, Jibé avait en partie retrouvé le sourire à Sestrières, en terminant 5e du combiné, derrière Julien Lizeroux (2e), mais en réalisant le meilleur temps de la manche de slalom.

«Cette 5e place, c'est honnête. Cela me remet en confiance», savoure-t-il avant d’attaquer le final de la saison. Cette période charnière, Grange l’avait mal négociée l’année dernière où il avait été déchu de son dossard de meilleur slalomeur par Manfred Moelgg lors de l’ultime course, à Bormio. Qu’a-t-il retenu de ce (premier) échec? «Surtout d’être plus centré sur sa course, note Chastan. De ne pas s’éparpiller. On apprend toujours d’un échec. Mais il ne faut pas tout changer non plus. Il aborde les courses comme avant. On sait très bien qu’il va tout donner pour gagner.»

Et vous qu'en pensez-vous? Grange peut-il obtenir un globe de cristal?
derrière Julien Lizeroux (2e)
Il en a fait la promesse à son confident de l’équipe de France, Julien Lizeroux. Cette année, Jean-Baptiste Grange ne veut pas terminer sa saison sans soulever un globe de cristal. Celui de la coupe du monde de slalom en priorité. Et pourquoi pas le classement général s 'il retrouve la réussite qui le fuit depuis les Mondiaux. Privé de médaille devant son public à Val d’Isère, le leader des Bleus a donc l’occasion de sauver sa saison, à Kransjka Gora, où il s’alignera samedi en géant, avant de disputer dimanche l’avant-dernier slalom de la saison.

Avec 71 points d’avance sur Ivica Kostelic, dont le dos douloureux rend chacune de ses sorties imprévisibles, Jibé peut même rêver d’un premier trophée, dans sa spécialité. «Il faudrait un beau concours de circonstance, calme David Chastan, le coach du groupe technique. Ça ne dépend pas que de lui. Il peut gagner et être contraint d’attendre la finale à Are, suivant le résultat de Kostelic. Il peut aussi tout perdre, comme à Val d’Isère. Mais bon, sa carrière ne s’est pas arrêtée là-bas.»

Rassuré à Sestrières


Deux semaines après une quinzaine blanche, marquée par deux sorties de pistes en combiné puis en slalom et une morne 7e place en géant, Grange jure avoir digéré ses échecs. Avant de poser ses spatules sur les pentes slovènes, le leader des Bleus a pris le temps de se ressourcer pendant deux jours, chez lui à Valloire, avant de reprendre l’entraînement mercredi en Italie. Le week-end précédent, Jibé avait en partie retrouvé le sourire à Sestrières, en terminant 5e du combiné, derrière Julien Lizeroux (2e), mais en réalisant le meilleur temps de la manche de slalom.

«Cette 5e place, c'est honnête. Cela me remet en confiance», savoure-t-il avant d’attaquer le final de la saison. Cette période charnière, Grange l’avait mal négociée l’année dernière où il avait été déchu de son dossard de meilleur slalomeur par Manfred Moelgg lors de l’ultime course, à Bormio. Qu’a-t-il retenu de ce (premier) échec? «Surtout d’être plus centré sur sa course, note Chastan. De ne pas s’éparpiller. On apprend toujours d’un échec. Mais il ne faut pas tout changer non plus. Il aborde les courses comme avant. On sait très bien qu’il va tout donner pour gagner.»

Et vous qu'en pensez-vous? Grange peut-il obtenir un globe de cristal?


Il en a fait la promesse à son confident de l’équipe de France, Julien Lizeroux. Cette année, Jean-Baptiste Grange ne veut pas terminer sa saison sans soulever un globe de cristal. Celui de la coupe du monde de slalom en priorité. Et pourquoi pas le classement général s 'il retrouve la réussite qui le fuit depuis les Mondiaux. Privé de médaille devant son public à Val d’Isère, le leader des Bleus a donc l’occasion de sauver sa saison, à Kransjka Gora, où il s’alignera samedi en géant, avant de disputer dimanche l’avant-dernier slalom de la saison.

Avec 71 points d’avance sur Ivica Kostelic, dont le dos douloureux rend chacune de ses sorties imprévisibles, Jibé peut même rêver d’un premier trophée, dans sa spécialité. «Il faudrait un beau concours de circonstance, calme David Chastan, le coach du groupe technique. Ça ne dépend pas que de lui. Il peut gagner et être contraint d’attendre la finale à Are, suivant le résultat de Kostelic. Il peut aussi tout perdre, comme à Val d’Isère. Mais bon, sa carrière ne s’est pas arrêtée là-bas.»

Rassuré à Sestrières


Deux semaines après une quinzaine blanche, marquée par deux sorties de pistes en combiné puis en slalom et une morne 7e place en géant, Grange jure avoir digéré ses échecs. Avant de poser ses spatules sur les pentes slovènes, le leader des Bleus a pris le temps de se ressourcer pendant deux jours, chez lui à Valloire, avant de reprendre l’entraînement mercredi en Italie. Le week-end précédent, Jibé avait en partie retrouvé le sourire à Sestrières, en terminant 5e du combiné, derrière Julien Lizeroux (2e), mais en réalisant le meilleur temps de la manche de slalom.

«Cette 5e place, c'est honnête. Cela me remet en confiance», savoure-t-il avant d’attaquer le final de la saison. Cette période charnière, Grange l’avait mal négociée l’année dernière où il avait été déchu de son dossard de meilleur slalomeur par Manfred Moelgg lors de l’ultime course, à Bormio. Qu’a-t-il retenu de ce (premier) échec? «Surtout d’être plus centré sur sa course, note Chastan. De ne pas s’éparpiller. On apprend toujours d’un échec. Mais il ne faut pas tout changer non plus. Il aborde les courses comme avant. On sait très bien qu’il va tout donner pour gagner.»

Et vous qu'en pensez-vous? Grange peut-il obtenir un globe de cristal?
déchu de son dossard de meilleur slalomeur par Manfred Moelgg lors de l’ultime course, à Bormio
Il en a fait la promesse à son confident de l’équipe de France, Julien Lizeroux. Cette année, Jean-Baptiste Grange ne veut pas terminer sa saison sans soulever un globe de cristal. Celui de la coupe du monde de slalom en priorité. Et pourquoi pas le classement général s 'il retrouve la réussite qui le fuit depuis les Mondiaux. Privé de médaille devant son public à Val d’Isère, le leader des Bleus a donc l’occasion de sauver sa saison, à Kransjka Gora, où il s’alignera samedi en géant, avant de disputer dimanche l’avant-dernier slalom de la saison.

Avec 71 points d’avance sur Ivica Kostelic, dont le dos douloureux rend chacune de ses sorties imprévisibles, Jibé peut même rêver d’un premier trophée, dans sa spécialité. «Il faudrait un beau concours de circonstance, calme David Chastan, le coach du groupe technique. Ça ne dépend pas que de lui. Il peut gagner et être contraint d’attendre la finale à Are, suivant le résultat de Kostelic. Il peut aussi tout perdre, comme à Val d’Isère. Mais bon, sa carrière ne s’est pas arrêtée là-bas.»

Rassuré à Sestrières


Deux semaines après une quinzaine blanche, marquée par deux sorties de pistes en combiné puis en slalom et une morne 7e place en géant, Grange jure avoir digéré ses échecs. Avant de poser ses spatules sur les pentes slovènes, le leader des Bleus a pris le temps de se ressourcer pendant deux jours, chez lui à Valloire, avant de reprendre l’entraînement mercredi en Italie. Le week-end précédent, Jibé avait en partie retrouvé le sourire à Sestrières, en terminant 5e du combiné, derrière Julien Lizeroux (2e), mais en réalisant le meilleur temps de la manche de slalom.

«Cette 5e place, c'est honnête. Cela me remet en confiance», savoure-t-il avant d’attaquer le final de la saison. Cette période charnière, Grange l’avait mal négociée l’année dernière où il avait été déchu de son dossard de meilleur slalomeur par Manfred Moelgg lors de l’ultime course, à Bormio. Qu’a-t-il retenu de ce (premier) échec? «Surtout d’être plus centré sur sa course, note Chastan. De ne pas s’éparpiller. On apprend toujours d’un échec. Mais il ne faut pas tout changer non plus. Il aborde les courses comme avant. On sait très bien qu’il va tout donner pour gagner.»

Et vous qu'en pensez-vous? Grange peut-il obtenir un globe de cristal?


Il en a fait la promesse à son confident de l’équipe de France, Julien Lizeroux. Cette année, Jean-Baptiste Grange ne veut pas terminer sa saison sans soulever un globe de cristal. Celui de la coupe du monde de slalom en priorité. Et pourquoi pas le classement général s 'il retrouve la réussite qui le fuit depuis les Mondiaux. Privé de médaille devant son public à Val d’Isère, le leader des Bleus a donc l’occasion de sauver sa saison, à Kransjka Gora, où il s’alignera samedi en géant, avant de disputer dimanche l’avant-dernier slalom de la saison.

Avec 71 points d’avance sur Ivica Kostelic, dont le dos douloureux rend chacune de ses sorties imprévisibles, Jibé peut même rêver d’un premier trophée, dans sa spécialité. «Il faudrait un beau concours de circonstance, calme David Chastan, le coach du groupe technique. Ça ne dépend pas que de lui. Il peut gagner et être contraint d’attendre la finale à Are, suivant le résultat de Kostelic. Il peut aussi tout perdre, comme à Val d’Isère. Mais bon, sa carrière ne s’est pas arrêtée là-bas.»

Rassuré à Sestrières


Deux semaines après une quinzaine blanche, marquée par deux sorties de pistes en combiné puis en slalom et une morne 7e place en géant, Grange jure avoir digéré ses échecs. Avant de poser ses spatules sur les pentes slovènes, le leader des Bleus a pris le temps de se ressourcer pendant deux jours, chez lui à Valloire, avant de reprendre l’entraînement mercredi en Italie. Le week-end précédent, Jibé avait en partie retrouvé le sourire à Sestrières, en terminant 5e du combiné, derrière Julien Lizeroux (2e), mais en réalisant le meilleur temps de la manche de slalom.

«Cette 5e place, c'est honnête. Cela me remet en confiance», savoure-t-il avant d’attaquer le final de la saison. Cette période charnière, Grange l’avait mal négociée l’année dernière où il avait été déchu de son dossard de meilleur slalomeur par Manfred Moelgg lors de l’ultime course, à Bormio. Qu’a-t-il retenu de ce (premier) échec? «Surtout d’être plus centré sur sa course, note Chastan. De ne pas s’éparpiller. On apprend toujours d’un échec. Mais il ne faut pas tout changer non plus. Il aborde les courses comme avant. On sait très bien qu’il va tout donner pour gagner.»

Et vous qu'en pensez-vous? Grange peut-il obtenir un globe de cristal?