Le Viagra est-il un produit dopant?
DOPAGE•L'agence mondiale antidopage pourrait placer le médicament contre l'impuissance sur sa liste des produits interdits...R.S.
«Certaines affirment déjà que c'est un produit dopant. Je peux simplement dire que c'est en cours d'examen, confirmait John Fahey, le directeur de l’agence, il y a un peu plus d’un mois au "New York Times". Aucune décision n'a été prise et avant toute modification de la liste des produits, il faudra un examen rigoureux qui permettra au comité de faire une recommandation.»
Et la vie privée?
L’idée est de savoir si le sildénafil (le nom non commercial du Viagra) permet, en tant que vasodilatateur, d’améliorer le transport d’oxygène dans le sang. En inhibant une enzyme, il libèrerait le passage de la circulation sanguine et trouverait un intérêt dans les sports caractérisés par une diminution de l’apport en oxygène, notamment en montagne. En clair, il pourrait aider un cycliste à gravir un col, un skieur de fond ou un footballeur bolivien à jouer des rencontres internationales.
«C'est vrai que le Viagra est utilisé par un certain nombre d'athlètes, souligne Olivier Rabin, le directeur scientifique de l'AMA, à l'AFP. Il reste à savoir si c'est un usage social ou ludique. Car il n'est pas exclu que les athlètes qui le prennent ont envie de performer aussi dans leur vie privée». Avant de l’interdire, il faudra donc trancher.
Facile à détecter
«L'AMA doit aussi déterminer si le produit agit dans tout le corps ou s’il permet seulement "d’arquer"», précise à 20minutes.fr Jean-Pierre de Mondenard, médecin du sport, spécialiste du dopage. «Mais on connait déjà la réponse puisqu’on le donne aux enfants qui ont des malformations cardiaques, et même aux femmes. C’est bien qu’il y a un effet général.»
En cas d’interdiction, il ne serait pas difficile de détecter le produit, non sécrété par l’organisme. Comme pour la plupart des substances exogènes, les toxicologues sauront vite comment démasquer les tricheurs. En tant que dopant, le viagra n’a donc pas un grand avenir. Les sportifs peuvent déjà le bannir de leur trousse à pharmacie, et trouver d'autres moyens d'améliorer leurs performances... sexuelles.
«Certaines affirment déjà que c'est un produit dopant. Je peux simplement dire que c'est en cours d'examen, confirmait John Fahey, le directeur de l’agence, il y a un peu plus d’un mois au "New York Times". Aucune décision n'a été prise et avant toute modification de la liste des produits, il faudra un examen rigoureux qui permettra au comité de faire une recommandation.»
Et la vie privée?
L’idée est de savoir si le sildénafil (le nom non commercial du Viagra) permet, en tant que vasodilatateur, d’améliorer le transport d’oxygène dans le sang. En inhibant une enzyme, il libèrerait le passage de la circulation sanguine et trouverait un intérêt dans les sports caractérisés par une diminution de l’apport en oxygène, notamment en montagne. En clair, il pourrait aider un cycliste à gravir un col, un skieur de fond ou un footballeur bolivien à jouer des rencontres internationales.
«C'est vrai que le Viagra est utilisé par un certain nombre d'athlètes, souligne Olivier Rabin, le directeur scientifique de l'AMA, à l'AFP. Il reste à savoir si c'est un usage social ou ludique. Car il n'est pas exclu que les athlètes qui le prennent ont envie de performer aussi dans leur vie privée». Avant de l’interdire, il faudra donc trancher.
Facile à détecter
«L'AMA doit aussi déterminer si le produit agit dans tout le corps ou s’il permet seulement "d’arquer"», précise à 20minutes.fr Jean-Pierre de Mondenard, médecin du sport, spécialiste du dopage. «Mais on connait déjà la réponse puisqu’on le donne aux enfants qui ont des malformations cardiaques, et même aux femmes. C’est bien qu’il y a un effet général.»
En cas d’interdiction, il ne serait pas difficile de détecter le produit, non sécrété par l’organisme. Comme pour la plupart des substances exogènes, les toxicologues sauront vite comment démasquer les tricheurs. En tant que dopant, le viagra n’a donc pas un grand avenir. Les sportifs peuvent déjà le bannir de leur trousse à pharmacie, et trouver d'autres moyens d'améliorer leurs performances... sexuelles.
«Certaines affirment déjà que c'est un produit dopant. Je peux simplement dire que c'est en cours d'examen, confirmait John Fahey, le directeur de l’agence, il y a un peu plus d’un mois au "New York Times". Aucune décision n'a été prise et avant toute modification de la liste des produits, il faudra un examen rigoureux qui permettra au comité de faire une recommandation.»
Et la vie privée?
L’idée est de savoir si le sildénafil (le nom non commercial du Viagra) permet, en tant que vasodilatateur, d’améliorer le transport d’oxygène dans le sang. En inhibant une enzyme, il libèrerait le passage de la circulation sanguine et trouverait un intérêt dans les sports caractérisés par une diminution de l’apport en oxygène, notamment en montagne. En clair, il pourrait aider un cycliste à gravir un col, un skieur de fond ou un footballeur bolivien à jouer des rencontres internationales.
«C'est vrai que le Viagra est utilisé par un certain nombre d'athlètes, souligne Olivier Rabin, le directeur scientifique de l'AMA, à l'AFP. Il reste à savoir si c'est un usage social ou ludique. Car il n'est pas exclu que les athlètes qui le prennent ont envie de performer aussi dans leur vie privée». Avant de l’interdire, il faudra donc trancher.
Facile à détecter
«L'AMA doit aussi déterminer si le produit agit dans tout le corps ou s’il permet seulement "d’arquer"», précise à 20minutes.fr Jean-Pierre de Mondenard, médecin du sport, spécialiste du dopage. «Mais on connait déjà la réponse puisqu’on le donne aux enfants qui ont des malformations cardiaques, et même aux femmes. C’est bien qu’il y a un effet général.»
En cas d’interdiction, il ne serait pas difficile de détecter le produit, non sécrété par l’organisme. Comme pour la plupart des substances exogènes, les toxicologues sauront vite comment démasquer les tricheurs. En tant que dopant, le viagra n’a donc pas un grand avenir. Les sportifs peuvent déjà le bannir de leur trousse à pharmacie, et trouver d'autres moyens d'améliorer leurs performances... sexuelles.
«Certaines affirment déjà que c'est un produit dopant. Je peux simplement dire que c'est en cours d'examen, confirmait John Fahey, le directeur de l’agence, il y a un peu plus d’un mois au "New York Times". Aucune décision n'a été prise et avant toute modification de la liste des produits, il faudra un examen rigoureux qui permettra au comité de faire une recommandation.»
Et la vie privée?
L’idée est de savoir si le sildénafil (le nom non commercial du Viagra) permet, en tant que vasodilatateur, d’améliorer le transport d’oxygène dans le sang. En inhibant une enzyme, il libèrerait le passage de la circulation sanguine et trouverait un intérêt dans les sports caractérisés par une diminution de l’apport en oxygène, notamment en montagne. En clair, il pourrait aider un cycliste à gravir un col, un skieur de fond ou un footballeur bolivien à jouer des rencontres internationales.
«C'est vrai que le Viagra est utilisé par un certain nombre d'athlètes, souligne Olivier Rabin, le directeur scientifique de l'AMA, à l'AFP. Il reste à savoir si c'est un usage social ou ludique. Car il n'est pas exclu que les athlètes qui le prennent ont envie de performer aussi dans leur vie privée». Avant de l’interdire, il faudra donc trancher.
Facile à détecter
«L'AMA doit aussi déterminer si le produit agit dans tout le corps ou s’il permet seulement "d’arquer"», précise à 20minutes.fr Jean-Pierre de Mondenard, médecin du sport, spécialiste du dopage. «Mais on connait déjà la réponse puisqu’on le donne aux enfants qui ont des malformations cardiaques, et même aux femmes. C’est bien qu’il y a un effet général.»
En cas d’interdiction, il ne serait pas difficile de détecter le produit, non sécrété par l’organisme. Comme pour la plupart des substances exogènes, les toxicologues sauront vite comment démasquer les tricheurs. En tant que dopant, le viagra n’a donc pas un grand avenir. Les sportifs peuvent déjà le bannir de leur trousse à pharmacie, et trouver d'autres moyens d'améliorer leurs performances... sexuelles.
«Certaines affirment déjà que c'est un produit dopant. Je peux simplement dire que c'est en cours d'examen, confirmait John Fahey, le directeur de l’agence, il y a un peu plus d’un mois au "New York Times". Aucune décision n'a été prise et avant toute modification de la liste des produits, il faudra un examen rigoureux qui permettra au comité de faire une recommandation.»
Et la vie privée?
L’idée est de savoir si le sildénafil (le nom non commercial du Viagra) permet, en tant que vasodilatateur, d’améliorer le transport d’oxygène dans le sang. En inhibant une enzyme, il libèrerait le passage de la circulation sanguine et trouverait un intérêt dans les sports caractérisés par une diminution de l’apport en oxygène, notamment en montagne. En clair, il pourrait aider un cycliste à gravir un col, un skieur de fond ou un footballeur bolivien à jouer des rencontres internationales.
«C'est vrai que le Viagra est utilisé par un certain nombre d'athlètes, souligne Olivier Rabin, le directeur scientifique de l'AMA, à l'AFP. Il reste à savoir si c'est un usage social ou ludique. Car il n'est pas exclu que les athlètes qui le prennent ont envie de performer aussi dans leur vie privée». Avant de l’interdire, il faudra donc trancher.
Facile à détecter
«L'AMA doit aussi déterminer si le produit agit dans tout le corps ou s’il permet seulement "d’arquer"», précise à 20minutes.fr Jean-Pierre de Mondenard, médecin du sport, spécialiste du dopage. «Mais on connait déjà la réponse puisqu’on le donne aux enfants qui ont des malformations cardiaques, et même aux femmes. C’est bien qu’il y a un effet général.»
En cas d’interdiction, il ne serait pas difficile de détecter le produit, non sécrété par l’organisme. Comme pour la plupart des substances exogènes, les toxicologues sauront vite comment démasquer les tricheurs. En tant que dopant, le viagra n’a donc pas un grand avenir. Les sportifs peuvent déjà le bannir de leur trousse à pharmacie, et trouver d'autres moyens d'améliorer leurs performances... sexuelles.
«Certaines affirment déjà que c'est un produit dopant. Je peux simplement dire que c'est en cours d'examen, confirmait John Fahey, le directeur de l’agence, il y a un peu plus d’un mois au "New York Times". Aucune décision n'a été prise et avant toute modification de la liste des produits, il faudra un examen rigoureux qui permettra au comité de faire une recommandation.»
Et la vie privée?
L’idée est de savoir si le sildénafil (le nom non commercial du Viagra) permet, en tant que vasodilatateur, d’améliorer le transport d’oxygène dans le sang. En inhibant une enzyme, il libèrerait le passage de la circulation sanguine et trouverait un intérêt dans les sports caractérisés par une diminution de l’apport en oxygène, notamment en montagne. En clair, il pourrait aider un cycliste à gravir un col, un skieur de fond ou un footballeur bolivien à jouer des rencontres internationales.
«C'est vrai que le Viagra est utilisé par un certain nombre d'athlètes, souligne Olivier Rabin, le directeur scientifique de l'AMA, à l'AFP. Il reste à savoir si c'est un usage social ou ludique. Car il n'est pas exclu que les athlètes qui le prennent ont envie de performer aussi dans leur vie privée». Avant de l’interdire, il faudra donc trancher.
Facile à détecter
«L'AMA doit aussi déterminer si le produit agit dans tout le corps ou s’il permet seulement "d’arquer"», précise à 20minutes.fr Jean-Pierre de Mondenard, médecin du sport, spécialiste du dopage. «Mais on connait déjà la réponse puisqu’on le donne aux enfants qui ont des malformations cardiaques, et même aux femmes. C’est bien qu’il y a un effet général.»
En cas d’interdiction, il ne serait pas difficile de détecter le produit, non sécrété par l’organisme. Comme pour la plupart des substances exogènes, les toxicologues sauront vite comment démasquer les tricheurs. En tant que dopant, le viagra n’a donc pas un grand avenir. Les sportifs peuvent déjà le bannir de leur trousse à pharmacie, et trouver d'autres moyens d'améliorer leurs performances... sexuelles.
«Certaines affirment déjà que c'est un produit dopant. Je peux simplement dire que c'est en cours d'examen, confirmait John Fahey, le directeur de l’agence, il y a un peu plus d’un mois au "New York Times". Aucune décision n'a été prise et avant toute modification de la liste des produits, il faudra un examen rigoureux qui permettra au comité de faire une recommandation.»
Et la vie privée?
L’idée est de savoir si le sildénafil (le nom non commercial du Viagra) permet, en tant que vasodilatateur, d’améliorer le transport d’oxygène dans le sang. En inhibant une enzyme, il libèrerait le passage de la circulation sanguine et trouverait un intérêt dans les sports caractérisés par une diminution de l’apport en oxygène, notamment en montagne. En clair, il pourrait aider un cycliste à gravir un col, un skieur de fond ou un footballeur bolivien à jouer des rencontres internationales.
«C'est vrai que le Viagra est utilisé par un certain nombre d'athlètes, souligne Olivier Rabin, le directeur scientifique de l'AMA, à l'AFP. Il reste à savoir si c'est un usage social ou ludique. Car il n'est pas exclu que les athlètes qui le prennent ont envie de performer aussi dans leur vie privée». Avant de l’interdire, il faudra donc trancher.
Facile à détecter
«L'AMA doit aussi déterminer si le produit agit dans tout le corps ou s’il permet seulement "d’arquer"», précise à 20minutes.fr Jean-Pierre de Mondenard, médecin du sport, spécialiste du dopage. «Mais on connait déjà la réponse puisqu’on le donne aux enfants qui ont des malformations cardiaques, et même aux femmes. C’est bien qu’il y a un effet général.»
En cas d’interdiction, il ne serait pas difficile de détecter le produit, non sécrété par l’organisme. Comme pour la plupart des substances exogènes, les toxicologues sauront vite comment démasquer les tricheurs. En tant que dopant, le viagra n’a donc pas un grand avenir. Les sportifs peuvent déjà le bannir de leur trousse à pharmacie, et trouver d'autres moyens d'améliorer leurs performances... sexuelles.
«Certaines affirment déjà que c'est un produit dopant. Je peux simplement dire que c'est en cours d'examen, confirmait John Fahey, le directeur de l’agence, il y a un peu plus d’un mois au "New York Times". Aucune décision n'a été prise et avant toute modification de la liste des produits, il faudra un examen rigoureux qui permettra au comité de faire une recommandation.»
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L’idée est de savoir si le sildénafil (le nom non commercial du Viagra) permet, en tant que vasodilatateur, d’améliorer le transport d’oxygène dans le sang. En inhibant une enzyme, il libèrerait le passage de la circulation sanguine et trouverait un intérêt dans les sports caractérisés par une diminution de l’apport en oxygène, notamment en montagne. En clair, il pourrait aider un cycliste à gravir un col, un skieur de fond ou un footballeur bolivien à jouer des rencontres internationales.
«C'est vrai que le Viagra est utilisé par un certain nombre d'athlètes, souligne Olivier Rabin, le directeur scientifique de l'AMA, à l'AFP. Il reste à savoir si c'est un usage social ou ludique. Car il n'est pas exclu que les athlètes qui le prennent ont envie de performer aussi dans leur vie privée». Avant de l’interdire, il faudra donc trancher.
Facile à détecter
«L'AMA doit aussi déterminer si le produit agit dans tout le corps ou s’il permet seulement "d’arquer"», précise à 20minutes.fr Jean-Pierre de Mondenard, médecin du sport, spécialiste du dopage. «Mais on connait déjà la réponse puisqu’on le donne aux enfants qui ont des malformations cardiaques, et même aux femmes. C’est bien qu’il y a un effet général.»
En cas d’interdiction, il ne serait pas difficile de détecter le produit, non sécrété par l’organisme. Comme pour la plupart des substances exogènes, les toxicologues sauront vite comment démasquer les tricheurs. En tant que dopant, le viagra n’a donc pas un grand avenir. Les sportifs peuvent déjà le bannir de leur trousse à pharmacie, et trouver d'autres moyens d'améliorer leurs performances... sexuelles.
«Certaines affirment déjà que c'est un produit dopant. Je peux simplement dire que c'est en cours d'examen, confirmait John Fahey, le directeur de l’agence, il y a un peu plus d’un mois au "New York Times". Aucune décision n'a été prise et avant toute modification de la liste des produits, il faudra un examen rigoureux qui permettra au comité de faire une recommandation.»
Et la vie privée?
L’idée est de savoir si le sildénafil (le nom non commercial du Viagra) permet, en tant que vasodilatateur, d’améliorer le transport d’oxygène dans le sang. En inhibant une enzyme, il libèrerait le passage de la circulation sanguine et trouverait un intérêt dans les sports caractérisés par une diminution de l’apport en oxygène, notamment en montagne. En clair, il pourrait aider un cycliste à gravir un col, un skieur de fond ou un footballeur bolivien à jouer des rencontres internationales.
«C'est vrai que le Viagra est utilisé par un certain nombre d'athlètes, souligne Olivier Rabin, le directeur scientifique de l'AMA, à l'AFP. Il reste à savoir si c'est un usage social ou ludique. Car il n'est pas exclu que les athlètes qui le prennent ont envie de performer aussi dans leur vie privée». Avant de l’interdire, il faudra donc trancher.
Facile à détecter
«L'AMA doit aussi déterminer si le produit agit dans tout le corps ou s’il permet seulement "d’arquer"», précise à 20minutes.fr Jean-Pierre de Mondenard, médecin du sport, spécialiste du dopage. «Mais on connait déjà la réponse puisqu’on le donne aux enfants qui ont des malformations cardiaques, et même aux femmes. C’est bien qu’il y a un effet général.»
En cas d’interdiction, il ne serait pas difficile de détecter le produit, non sécrété par l’organisme. Comme pour la plupart des substances exogènes, les toxicologues sauront vite comment démasquer les tricheurs. En tant que dopant, le viagra n’a donc pas un grand avenir. Les sportifs peuvent déjà le bannir de leur trousse à pharmacie, et trouver d'autres moyens d'améliorer leurs performances... sexuelles.
«Certaines affirment déjà que c'est un produit dopant. Je peux simplement dire que c'est en cours d'examen, confirmait John Fahey, le directeur de l’agence, il y a un peu plus d’un mois au "New York Times". Aucune décision n'a été prise et avant toute modification de la liste des produits, il faudra un examen rigoureux qui permettra au comité de faire une recommandation.»
Et la vie privée?
L’idée est de savoir si le sildénafil (le nom non commercial du Viagra) permet, en tant que vasodilatateur, d’améliorer le transport d’oxygène dans le sang. En inhibant une enzyme, il libèrerait le passage de la circulation sanguine et trouverait un intérêt dans les sports caractérisés par une diminution de l’apport en oxygène, notamment en montagne. En clair, il pourrait aider un cycliste à gravir un col, un skieur de fond ou un footballeur bolivien à jouer des rencontres internationales.
«C'est vrai que le Viagra est utilisé par un certain nombre d'athlètes, souligne Olivier Rabin, le directeur scientifique de l'AMA, à l'AFP. Il reste à savoir si c'est un usage social ou ludique. Car il n'est pas exclu que les athlètes qui le prennent ont envie de performer aussi dans leur vie privée». Avant de l’interdire, il faudra donc trancher.
Facile à détecter
«L'AMA doit aussi déterminer si le produit agit dans tout le corps ou s’il permet seulement "d’arquer"», précise à 20minutes.fr Jean-Pierre de Mondenard, médecin du sport, spécialiste du dopage. «Mais on connait déjà la réponse puisqu’on le donne aux enfants qui ont des malformations cardiaques, et même aux femmes. C’est bien qu’il y a un effet général.»
En cas d’interdiction, il ne serait pas difficile de détecter le produit, non sécrété par l’organisme. Comme pour la plupart des substances exogènes, les toxicologues sauront vite comment démasquer les tricheurs. En tant que dopant, le viagra n’a donc pas un grand avenir. Les sportifs peuvent déjà le bannir de leur trousse à pharmacie, et trouver d'autres moyens d'améliorer leurs performances... sexuelles.
«Certaines affirment déjà que c'est un produit dopant. Je peux simplement dire que c'est en cours d'examen, confirmait John Fahey, le directeur de l’agence, il y a un peu plus d’un mois au "New York Times". Aucune décision n'a été prise et avant toute modification de la liste des produits, il faudra un examen rigoureux qui permettra au comité de faire une recommandation.»
Et la vie privée?
L’idée est de savoir si le sildénafil (le nom non commercial du Viagra) permet, en tant que vasodilatateur, d’améliorer le transport d’oxygène dans le sang. En inhibant une enzyme, il libèrerait le passage de la circulation sanguine et trouverait un intérêt dans les sports caractérisés par une diminution de l’apport en oxygène, notamment en montagne. En clair, il pourrait aider un cycliste à gravir un col, un skieur de fond ou un footballeur bolivien à jouer des rencontres internationales.
«C'est vrai que le Viagra est utilisé par un certain nombre d'athlètes, souligne Olivier Rabin, le directeur scientifique de l'AMA, à l'AFP. Il reste à savoir si c'est un usage social ou ludique. Car il n'est pas exclu que les athlètes qui le prennent ont envie de performer aussi dans leur vie privée». Avant de l’interdire, il faudra donc trancher.
Facile à détecter
«L'AMA doit aussi déterminer si le produit agit dans tout le corps ou s’il permet seulement "d’arquer"», précise à 20minutes.fr Jean-Pierre de Mondenard, médecin du sport, spécialiste du dopage. «Mais on connait déjà la réponse puisqu’on le donne aux enfants qui ont des malformations cardiaques, et même aux femmes. C’est bien qu’il y a un effet général.»
En cas d’interdiction, il ne serait pas difficile de détecter le produit, non sécrété par l’organisme. Comme pour la plupart des substances exogènes, les toxicologues sauront vite comment démasquer les tricheurs. En tant que dopant, le viagra n’a donc pas un grand avenir. Les sportifs peuvent déjà le bannir de leur trousse à pharmacie, et trouver d'autres moyens d'améliorer leurs performances... sexuelles.
«Certaines affirment déjà que c'est un produit dopant. Je peux simplement dire que c'est en cours d'examen, confirmait John Fahey, le directeur de l’agence, il y a un peu plus d’un mois au "New York Times". Aucune décision n'a été prise et avant toute modification de la liste des produits, il faudra un examen rigoureux qui permettra au comité de faire une recommandation.»
Et la vie privée?
L’idée est de savoir si le sildénafil (le nom non commercial du Viagra) permet, en tant que vasodilatateur, d’améliorer le transport d’oxygène dans le sang. En inhibant une enzyme, il libèrerait le passage de la circulation sanguine et trouverait un intérêt dans les sports caractérisés par une diminution de l’apport en oxygène, notamment en montagne. En clair, il pourrait aider un cycliste à gravir un col, un skieur de fond ou un footballeur bolivien à jouer des rencontres internationales.
«C'est vrai que le Viagra est utilisé par un certain nombre d'athlètes, souligne Olivier Rabin, le directeur scientifique de l'AMA, à l'AFP. Il reste à savoir si c'est un usage social ou ludique. Car il n'est pas exclu que les athlètes qui le prennent ont envie de performer aussi dans leur vie privée». Avant de l’interdire, il faudra donc trancher.
Facile à détecter
«L'AMA doit aussi déterminer si le produit agit dans tout le corps ou s’il permet seulement "d’arquer"», précise à 20minutes.fr Jean-Pierre de Mondenard, médecin du sport, spécialiste du dopage. «Mais on connait déjà la réponse puisqu’on le donne aux enfants qui ont des malformations cardiaques, et même aux femmes. C’est bien qu’il y a un effet général.»
En cas d’interdiction, il ne serait pas difficile de détecter le produit, non sécrété par l’organisme. Comme pour la plupart des substances exogènes, les toxicologues sauront vite comment démasquer les tricheurs. En tant que dopant, le viagra n’a donc pas un grand avenir. Les sportifs peuvent déjà le bannir de leur trousse à pharmacie, et trouver d'autres moyens d'améliorer leurs performances... sexuelles.
«Certaines affirment déjà que c'est un produit dopant. Je peux simplement dire que c'est en cours d'examen, confirmait John Fahey, le directeur de l’agence, il y a un peu plus d’un mois au "New York Times". Aucune décision n'a été prise et avant toute modification de la liste des produits, il faudra un examen rigoureux qui permettra au comité de faire une recommandation.»
Et la vie privée?
L’idée est de savoir si le sildénafil (le nom non commercial du Viagra) permet, en tant que vasodilatateur, d’améliorer le transport d’oxygène dans le sang. En inhibant une enzyme, il libèrerait le passage de la circulation sanguine et trouverait un intérêt dans les sports caractérisés par une diminution de l’apport en oxygène, notamment en montagne. En clair, il pourrait aider un cycliste à gravir un col, un skieur de fond ou un footballeur bolivien à jouer des rencontres internationales.
«C'est vrai que le Viagra est utilisé par un certain nombre d'athlètes, souligne Olivier Rabin, le directeur scientifique de l'AMA, à l'AFP. Il reste à savoir si c'est un usage social ou ludique. Car il n'est pas exclu que les athlètes qui le prennent ont envie de performer aussi dans leur vie privée». Avant de l’interdire, il faudra donc trancher.
Facile à détecter
«L'AMA doit aussi déterminer si le produit agit dans tout le corps ou s’il permet seulement "d’arquer"», précise à 20minutes.fr Jean-Pierre de Mondenard, médecin du sport, spécialiste du dopage. «Mais on connait déjà la réponse puisqu’on le donne aux enfants qui ont des malformations cardiaques, et même aux femmes. C’est bien qu’il y a un effet général.»
En cas d’interdiction, il ne serait pas difficile de détecter le produit, non sécrété par l’organisme. Comme pour la plupart des substances exogènes, les toxicologues sauront vite comment démasquer les tricheurs. En tant que dopant, le viagra n’a donc pas un grand avenir. Les sportifs peuvent déjà le bannir de leur trousse à pharmacie, et trouver d'autres moyens d'améliorer leurs performances... sexuelles.
«Certaines affirment déjà que c'est un produit dopant. Je peux simplement dire que c'est en cours d'examen, confirmait John Fahey, le directeur de l’agence, il y a un peu plus d’un mois au "New York Times". Aucune décision n'a été prise et avant toute modification de la liste des produits, il faudra un examen rigoureux qui permettra au comité de faire une recommandation.»
Et la vie privée?
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«C'est vrai que le Viagra est utilisé par un certain nombre d'athlètes, souligne Olivier Rabin, le directeur scientifique de l'AMA, à l'AFP. Il reste à savoir si c'est un usage social ou ludique. Car il n'est pas exclu que les athlètes qui le prennent ont envie de performer aussi dans leur vie privée». Avant de l’interdire, il faudra donc trancher.
Facile à détecter
«L'AMA doit aussi déterminer si le produit agit dans tout le corps ou s’il permet seulement "d’arquer"», précise à 20minutes.fr Jean-Pierre de Mondenard, médecin du sport, spécialiste du dopage. «Mais on connait déjà la réponse puisqu’on le donne aux enfants qui ont des malformations cardiaques, et même aux femmes. C’est bien qu’il y a un effet général.»
En cas d’interdiction, il ne serait pas difficile de détecter le produit, non sécrété par l’organisme. Comme pour la plupart des substances exogènes, les toxicologues sauront vite comment démasquer les tricheurs. En tant que dopant, le viagra n’a donc pas un grand avenir. Les sportifs peuvent déjà le bannir de leur trousse à pharmacie, et trouver d'autres moyens d'améliorer leurs performances... sexuelles.