FOOTBALLDomenech prend la marée en Italie après un tweet 100% démago

PSG - Atalanta : Domenech prend la marée en Italie après un tweet 100% démago (et c'est mérité)

FOOTBALLL'ancien sélectionneur des Bleus a encore perdu une occasion de ne pas utiliser les réseaux sociaux après la qualification du PSG en demi-finale de Ligue des champions
Julien Laloye

J.L.

«Bravo au PSG pour cette belle émotion et merci à Gasparini pour ses changements de fin de match. Comme quoi la légende des entraîneurs italiens grand tacticien sur ce match reste une légende. Tuchel a eu plus de réussite ».

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Le mépris de l’étranger avec la faute sur Gasperini, le cliché sur les entraîneurs italiens, et la célébration du coach de l’équipe française quel qu’il soit (même si ça aurait été mieux avec un coach bien de chez nous, comme Rudi Garcia). Du Raymond Domenech dans le tweet. Si de ce côté des Alpes, on a pris l’habitude des saillies de l’ancien sélectionneur de l’équipe de France au point de ne même plus les lire, sa dernière sortie après l’élimination de l’Atalanta a eu un beau succès populaire en Italie.

On vous passe évidemment le millier de réponses avec un Gif de Cannavaro soulevant la Coupe du monde 20016 pour se concentrer sur celles des médias italiens, qui n’ont pas gardé leur plume dans la poche. Notre préférée ? Celle de Mediaset, suivie de près par un certain Paulo Condo, lui aussi journaliste de son état :

« « Il ne perd jamais une occasion de se taire (…) Mais difficile de prendre au sérieux les critiques d’un sélectionneur qui a connu la pire humiliation publique de l’histoire d’un Mondial : la grève de ses joueurs ». « La France a produit d’immenses entraîneurs au cours des 40 dernières années, d’Hidalgo à Deschamps, de Jacquet à Lemerre, à l’extraordinaire Zidane d’aujourd’hui. Heureusement pour nous, aucun d’entre eux n’était sur le banc de l’équipe nationale en 2006 ». »

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Quinze ans après, on peut enfin l’avouer. On ne remerciera jamais assez l’Italie d’avoir privé Raymond Domenech d’un titre de champion du monde, parce que sinon, qu’est-ce qu’il ne faudrait pas entendre.