Rennes, la bête noire (et rouge) de l'OM, frappe encore au Vélodrome (1-1)

OM - Rennes : La bête noire (et rouge) de Marseille a encore frappé au Vélodrome (1-1)

FOOTBALLRennes n'a perdu que trois de ses dix derniers matchs au Vélodrome. Ce dimanche, en clôture de la 8e journée de Ligue 1, le Stade Rennais a ramené le point du nul face à un OM décevant
Au stade Vélodrome, Jean Saint-Marc

Au stade Vélodrome, Jean Saint-Marc

L'essentiel

  • Et de trois : après Montpellier et Dijon, l'OM a concédé un nouveau match nul face à Rennes, ce dimanche (1-1).
  • Pitoyable en première mi-temps et surpris par Niang, l'OM a réussi à égaliser grâce à Caleta-Car. Un résultat décevant pour un soit disant candidat au podium.

La bête noire (et rouge) de l’OM a encore frappé. Rennes n’a perdu que trois de ses dix derniers matchs au Vélodrome. Cette fois-ci, les Bretons font un match nul (1-1) qui les laisse englués à la 8e place de Ligue 1. Marseille s’accroche à un modeste 5e rang, après trois rencontres sans victoire. L’automne arrive dans le Sud-Est, et la crise avec lui ?

Rennes, roi du début de match

Un pressing haut, des joueurs rapides devant et rigoureux derrière… Julien Stéphan, qui a renoué avec sa défense à cinq, avait le plan parfait pour surprendre l’OM. Dès la 17e, Maouassa a fait frissonner le Vélodrome d’une frappe croisée finalement non cadrée. Deux minutes plus tard, son capitaine, Da Silva, se prenait pour un ailier. Libéré par Amavi, oublié par Caleta-Car, le défenseur a adressé un centre parfait à Niang, qui a facilement devancé Sakai pour ouvrir le score (19e, 0-1).

En se projetant très rapidement, les Bretons se sont ensuite procuré plusieurs occasions (Raphinha 29e et 64e, Traoré 40e, Tait 78e, Hunou 86e), mais sans faire mouche.

Marseille, une mi-temps à pleurer…

Sans Thauvin, sans Payet, l’OM ne brille pas. Centres dans le vide et passes manquées ont marqué la première mi-temps – la plus mauvaise de l’OM depuis longtemps. Notons, parmi les gros loupés, cette passe quasi décisive de Rongier pour Raphinha (5e), ce ballon absurde perdu par Sakai (17e) ou cette série de grands ponts/petits ponts sur Perrin. Autant d’actions encore plus gênantes que la « bisou cam » de l’avant-match, qui avait pourtant placé la barre très haut en matière de ridicule.

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… et l’autre complètement débridée

Une gueulante dans le vestiaire, un coaching audacieux (Radonjic à la place d’Amavi) : André Villas-Boas a réveillé son équipe à la mi-temps. L’OM a rapidement égalisé, d’un coup de casque de Caleta-Car sur corner (52e, 1-1).

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La rébellion marseillaise s’est poursuivie jusqu’à la fin d’une rencontre échevelée. Des deux côtés. Marseille a été sauvé par une incroyable double parade de Mandanda sur des frappes de près d’Hunou (86e). Le Rennais Mendy a vécu une soirée plus calme : les tentatives de Benedetto (61e, 69e, 82e, 87e) ou Sarr (82e) étaient peu tranchantes et, surtout, rarement cadrées. Cela peut pourtant aider à gagner des matchs de football…