Gilles Muller, le Grand Duc de l'US Open
TENNIS•Issu des qualifications, le Luxembourgeois renaît à l'US Open où il s'apprête à défier Roger Federer en quart de final...Alexandre Pedro
Quand il évoque sa résurrection, Gilles Muller peine à trouver une explication cartésienne. «C'est juste un rêve qui est en train de se réaliser» se pince-t-il après sa victoire sur le numéro 5 mondial, le Russe Nikolay Davydenko. Un rêve qui vire au cauchemar pour celui qui se trouve sur sa route lors de cet US Open. Haas, Almagro puis Davydenko, tous ont plié devant le revenant. Alors quand on lui explique que son prochain adversaire s’appelle Federer, Muller fait remarquer que «Roger perd beaucoup plus de matchs que par le passé». Pour le Luxembourgeois, c’est tout l’inverse.
Déjà tombeur de Roddick et Nadal en 2005
Entraîneur à la fédération française, Alain Solvès connaît bien ces aléas du circuit. «Comme ça arrive à beaucoup de joueurs, Gilles a été pris par le système des points ATP, il a alors plus pensé à défendre ses points qu’à en gagner d’autres. Pendant deux ans, il avait juste oublié que son tennis était encore là».
Classé au 130e rang à l’ATP avant de débarquer à Flushing Meadows – avec passage obligé par la case des qualifications – le Luxembourgeois n’est pourtant pas un inconnu à l’US Open. En 2005, il plombe l’ambiance en se payant l’Américain Andy Roddick au premier tour. Avec son service de gaucher, Muller se taille une réputation de coupeur de tête. Deux mois plus tôt, il se payait Rafael Nadal à Wimbledon. Une victoire symbolique pour Muller qui s’est formé à «l’espagnole» - comprendre à la dure - auprès de Paco Alvarez (coach de Félix Mantilla entre autres). Le Luxembourgeois ne lifte pas pour autant. Alain Solvès le décrit comme «un gaucher qui frape très à plat du fond de court et sait conclure à la volée». Le genre de garçon à ne pas croiser par les temps qui courent, peut-on rajouter.
Déjà tombeur de Roddick et Nadal en 2005
Entraîneur à la fédération française, Alain Solvès connaît bien ces aléas du circuit. «Comme ça arrive à beaucoup de joueurs, Gilles a été pris par le système des points ATP, il a alors plus pensé à défendre ses points qu’à en gagner d’autres. Pendant deux ans, il avait juste oublié que son tennis était encore là».
Classé au 130e rang à l’ATP avant de débarquer à Flushing Meadows – avec passage obligé par la case des qualifications – le Luxembourgeois n’est pourtant pas un inconnu à l’US Open. En 2005, il plombe l’ambiance en se payant l’Américain Andy Roddick au premier tour. Avec son service de gaucher, Muller se taille une réputation de coupeur de tête. Deux mois plus tôt, il se payait Rafael Nadal à Wimbledon. Une victoire symbolique pour Muller qui s’est formé à «l’espagnole» - comprendre à la dure - auprès de Paco Alvarez (coach de Félix Mantilla entre autres). Le Luxembourgeois ne lifte pas pour autant. Alain Solvès le décrit comme «un gaucher qui frape très à plat du fond de court et sait conclure à la volée». Le genre de garçon à ne pas croiser par les temps qui courent, peut-on rajouter.
Déjà tombeur de Roddick et Nadal en 2005
Entraîneur à la fédération française, Alain Solvès connaît bien ces aléas du circuit. «Comme ça arrive à beaucoup de joueurs, Gilles a été pris par le système des points ATP, il a alors plus pensé à défendre ses points qu’à en gagner d’autres. Pendant deux ans, il avait juste oublié que son tennis était encore là».
Classé au 130e rang à l’ATP avant de débarquer à Flushing Meadows – avec passage obligé par la case des qualifications – le Luxembourgeois n’est pourtant pas un inconnu à l’US Open. En 2005, il plombe l’ambiance en se payant l’Américain Andy Roddick au premier tour. Avec son service de gaucher, Muller se taille une réputation de coupeur de tête. Deux mois plus tôt, il se payait Rafael Nadal à Wimbledon. Une victoire symbolique pour Muller qui s’est formé à «l’espagnole» - comprendre à la dure - auprès de Paco Alvarez (coach de Félix Mantilla entre autres). Le Luxembourgeois ne lifte pas pour autant. Alain Solvès le décrit comme «un gaucher qui frape très à plat du fond de court et sait conclure à la volée». Le genre de garçon à ne pas croiser par les temps qui courent, peut-on rajouter.
Déjà tombeur de Roddick et Nadal en 2005
Entraîneur à la fédération française, Alain Solvès connaît bien ces aléas du circuit. «Comme ça arrive à beaucoup de joueurs, Gilles a été pris par le système des points ATP, il a alors plus pensé à défendre ses points qu’à en gagner d’autres. Pendant deux ans, il avait juste oublié que son tennis était encore là».
Classé au 130e rang à l’ATP avant de débarquer à Flushing Meadows – avec passage obligé par la case des qualifications – le Luxembourgeois n’est pourtant pas un inconnu à l’US Open. En 2005, il plombe l’ambiance en se payant l’Américain Andy Roddick au premier tour. Avec son service de gaucher, Muller se taille une réputation de coupeur de tête. Deux mois plus tôt, il se payait Rafael Nadal à Wimbledon. Une victoire symbolique pour Muller qui s’est formé à «l’espagnole» - comprendre à la dure - auprès de Paco Alvarez (coach de Félix Mantilla entre autres). Le Luxembourgeois ne lifte pas pour autant. Alain Solvès le décrit comme «un gaucher qui frape très à plat du fond de court et sait conclure à la volée». Le genre de garçon à ne pas croiser par les temps qui courent, peut-on rajouter.
Déjà tombeur de Roddick et Nadal en 2005
Entraîneur à la fédération française, Alain Solvès connaît bien ces aléas du circuit. «Comme ça arrive à beaucoup de joueurs, Gilles a été pris par le système des points ATP, il a alors plus pensé à défendre ses points qu’à en gagner d’autres. Pendant deux ans, il avait juste oublié que son tennis était encore là».
Classé au 130e rang à l’ATP avant de débarquer à Flushing Meadows – avec passage obligé par la case des qualifications – le Luxembourgeois n’est pourtant pas un inconnu à l’US Open. En 2005, il plombe l’ambiance en se payant l’Américain Andy Roddick au premier tour. Avec son service de gaucher, Muller se taille une réputation de coupeur de tête. Deux mois plus tôt, il se payait Rafael Nadal à Wimbledon. Une victoire symbolique pour Muller qui s’est formé à «l’espagnole» - comprendre à la dure - auprès de Paco Alvarez (coach de Félix Mantilla entre autres). Le Luxembourgeois ne lifte pas pour autant. Alain Solvès le décrit comme «un gaucher qui frape très à plat du fond de court et sait conclure à la volée». Le genre de garçon à ne pas croiser par les temps qui courent, peut-on rajouter.