FOOTBALL«Un jour béni pour le football français», se réjouit Jean-Michel Aulas

Droits TV en hausse: «Un jour béni pour le football français», se réjouit Jean-Michel Aulas

FOOTBALLLe président lyonnais ainsi que beaucoup de ses homologues de L1 se sont réjouis du résultat du nouvel appel d'offres qui a permis de récolter  plus d'un milliard d'euros...
Jean-Michel Aulas a notamment échangé ces derniers jours avec Noël Le Graët au sujet sur contexte extrêmement tendu entre l'OL et l'OM.
Jean-Michel Aulas a notamment échangé ces derniers jours avec Noël Le Graët au sujet sur contexte extrêmement tendu entre l'OL et l'OM. - JEFF PACHOUD / AFP
Julien Laloye

J.L.

Voilà près de 12h que les présidents e L1 se baignent au champagne tout nu dans un jaccuzzi. Eux qui avaient appuyé la LFP dans son intention d’avancer l’appel d’offres pour les droits de la L1 entre 2020 et 2024 ne s'attendaient sûrement pas à récolter une telle manne financière: 1,152 milliard d’euros, essentiellement grâce à l’arrivée d’un nouvel acteur inespéré sur le marché, l’opérateur sino-espagnol Mediapro.

« C’est un jour béni pour la L1, a réagi Jean-MIchel Aulas dans l’Equipe. C’est une évolution significative qui va permettre de mieux payer les joueurs, d’investir dans les infrastructures et d’avoir des clubs plus spectaculaires. On va peut-être prendre un peu plus de risques sur la partie joueurs et aussi sur la partie centre de formation où on va se perfectionner pour avoir demain les meilleurs joueurs français »

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Jacques-Henri Eyraud, le président olympien, était sur la même longueur d’onde. « Un montant tel que celui-là, 1,2 milliard d’euros, c’est évidemment des recettes financières significativement supérieures et c’est aussi une façon pour le foot français de rattraper son retard, car nous étions à la traîne à ce niveau-là par rapport à d’autres marchés européens. On peut se féliciter de voir à quel point les efforts qui ont été faits par les propriétaires et les nouveaux investisseurs sont aujourd’hui récompensés ».

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Concrètement, cela veut dire que Lyon ou Marseille, qui terminent tous les ans dans les 4 ou 5 premiers du championnat bon an mal, pourraient espérer toucher 60 % de plus qu’aujourd’hui à partir de 2020. Soit entre 20 et 30 millions supplémentaires par an, de quoi être plus ambitieux sur le marché des transferts.