Peter Sagan sur le Tour de France 2015, c’était : des deuxièmes places à foison, un Maillot Vert, et une descente de dingue vers Gap. Et surtout, quelques jolies déclarations comme lorsqu’on l'avait interrogé sur les raisons de son talent offensif : « J’ai de grosses couilles », s’était-il contenté de répondre. Bon, et comment se porte l’entrejambe du Slovaque avant l’édition 2016 qui s’élance du Mont Saint-Michel samedi ?

« Mes couilles sont plus grosses, a expliqué le coureur de Tinkoff, content de sa vanne. Leur taille augmente chaque année. » Dans la même équipe qu’Alberto Contador, l’un des favoris pour la victoire finale, Peter Sagan sera souvent obligé de se débrouiller seul ou presque. Pas dit que les couilles suffisent.