«Si mes dirigeants étaient venus dans le vestiaire, ils m'auraient viré», plaisante Popovich après la branlée des Spurs contre les Warriors
BASKET•Stephen Curry a démonté San Antonio...R.B.
Une bonne grosse dérouillée. Fessé sur le parquet de Golden State dans la nuit de lundi à mardi (120-90), San Antonio a bien eu l’occasion de constater le fossé qui sépare les Warriors du reste de la NBA depuis le début de la saison. A tel point que même l’entraîneur des Spurs Gregg Popovich, pourtant pas réputé pour être l’homme le plus drôle du monde, a préféré en rire.
« So many @StephenCurry30 highlights tonight… which one was your favorite, #DubNation ? https ://t.co/Wz93PTk1HA — GoldenStateWarriors (@warriors) 26 Janvier 2016 »
« On n’était vraiment pas loin d’eux, a-t-il ironisé en conférence de presse. Je suis juste content que mes dirigeants n’étaient pas dans le vestiaire après le match, s’ils avaient vu l’ambiance, ils m’auraient viré. » Plus sérieusement, peut-on en vouloir aux adversaires de Golden State quand Stephen Curry, auteur de 37 points contre San Antonio, évolue à ce niveau-là ? Franchement non.