FOOTBALLCoupe de la Ligue: Un tout petit PSG écarte Saint-Etienne (1-0) et file en quarts

Coupe de la Ligue: Un tout petit PSG écarte Saint-Etienne (1-0) et file en quarts

FOOTBALLUn but de Cavani a sauvé Paris...
Le Parisien Ezequiel Lavezzi (à dr.), à la lutte avec le Stéphanois Jonathan Bamba lors du match de Coupe de la Ligue Paris Saint-Germain - Saint-Etienne le 16 décembre 2015.
Le Parisien Ezequiel Lavezzi (à dr.), à la lutte avec le Stéphanois Jonathan Bamba lors du match de Coupe de la Ligue Paris Saint-Germain - Saint-Etienne le 16 décembre 2015. - AFP
N.C. au Parc des Princes

N.C. au Parc des Princes

Alors certes, la Coupe de la Ligue n’est pas la priorité du PSG cette saison. Les Parisiens, doubles tenants du titre, ont d’autres choses en tête pour 2016, on n’a pas attendu le 8e de finale contre Saint-Etienne mercredi pour le savoir - et le comprendre, soyons honnêtes. Mais cela faisait bien longtemps qu’on ne les avait pas vus réaliser un match aussi pauvre dans leur stade. Festival de passes ratées, (non) rythme de marchand de sable, c’est peu dire que le Parc s’est ennuyé. Il a fallu attendre longtemps, la 86e minute précisément et une ouverture de génie de Di Maria pour Cavani, pour plier l’affaire et s’offrir le quart que tout le monde attendait.

Le ciseau d’Ibra sur la barre

Le PSG suscite peut-être aussi trop d’attente, à force de mettre des fessées à chaque équipe française qui ose se présenter sur son terrain. Mais il faut savoir assumer l’exigence qui accompagne sa supériorité. Surtout quand les habituels remplaçants amenés à jouer s’appellent Stambouli, Lucas ou Lavezzi, alors que l’équipe en face aligne trois jeunes de CFA et un gardien qui n’a plus joué depuis un prêt à Clermont en 2011. L’analyse aurait peut-être été un poil différente si la barre transversale n’avait pas repoussé le magnifique ciseau d’Ibra en première période, et encore…

Finalement, la seule attraction du match aura été la première apparition de Sirigu devant son public cette saison. Trois jours après la boulette de Trapp, le Parc n’a pas boudé son plaisir à le revoir. L’intéressé non plus, ovationné à chaque intervention. Comme l’impression d’assister à un jubilé, en somme. Le mercato d’hiver nous dira si l’Italien sera là pour le prochain tour.

n’est pas la priorité du PSG cette saison

Alors certes, la Coupe de la Ligue n’est pas la priorité du PSG cette saison. Les Parisiens, doubles tenants du titre, ont d’autres choses en tête pour 2016, on n’a pas attendu le 8e de finale contre Saint-Etienne mercredi pour le savoir - et le comprendre, soyons honnêtes. Mais cela faisait bien longtemps qu’on ne les avait pas vus réaliser un match aussi pauvre dans leur stade. Festival de passes ratées, (non) rythme de marchand de sable, c’est peu dire que le Parc s’est ennuyé. Il a fallu attendre longtemps, la 86e minute précisément et une ouverture de génie de Di Maria pour Cavani, pour plier l’affaire et s’offrir le quart que tout le monde attendait.

Le ciseau d’Ibra sur la barre

Le PSG suscite peut-être aussi trop d’attente, à force de mettre des fessées à chaque équipe française qui ose se présenter sur son terrain. Mais il faut savoir assumer l’exigence qui accompagne sa supériorité. Surtout quand les habituels remplaçants amenés à jouer s’appellent Stambouli, Lucas ou Lavezzi, alors que l’équipe en face aligne trois jeunes de CFA et un gardien qui n’a plus joué depuis un prêt à Clermont en 2011. L’analyse aurait peut-être été un poil différente si la barre transversale n’avait pas repoussé le magnifique ciseau d’Ibra en première période, et encore…

Finalement, la seule attraction du match aura été la première apparition de Sirigu devant son public cette saison. Trois jours après la boulette de Trapp, le Parc n’a pas boudé son plaisir à le revoir. L’intéressé non plus, ovationné à chaque intervention. Comme l’impression d’assister à un jubilé, en somme. Le mercato d’hiver nous dira si l’Italien sera là pour le prochain tour.

une ouverture de génie de Di Maria pour Cavani

Alors certes, la Coupe de la Ligue n’est pas la priorité du PSG cette saison. Les Parisiens, doubles tenants du titre, ont d’autres choses en tête pour 2016, on n’a pas attendu le 8e de finale contre Saint-Etienne mercredi pour le savoir - et le comprendre, soyons honnêtes. Mais cela faisait bien longtemps qu’on ne les avait pas vus réaliser un match aussi pauvre dans leur stade. Festival de passes ratées, (non) rythme de marchand de sable, c’est peu dire que le Parc s’est ennuyé. Il a fallu attendre longtemps, la 86e minute précisément et une ouverture de génie de Di Maria pour Cavani, pour plier l’affaire et s’offrir le quart que tout le monde attendait.

Le ciseau d’Ibra sur la barre

Le PSG suscite peut-être aussi trop d’attente, à force de mettre des fessées à chaque équipe française qui ose se présenter sur son terrain. Mais il faut savoir assumer l’exigence qui accompagne sa supériorité. Surtout quand les habituels remplaçants amenés à jouer s’appellent Stambouli, Lucas ou Lavezzi, alors que l’équipe en face aligne trois jeunes de CFA et un gardien qui n’a plus joué depuis un prêt à Clermont en 2011. L’analyse aurait peut-être été un poil différente si la barre transversale n’avait pas repoussé le magnifique ciseau d’Ibra en première période, et encore…

Finalement, la seule attraction du match aura été la première apparition de Sirigu devant son public cette saison. Trois jours après la boulette de Trapp, le Parc n’a pas boudé son plaisir à le revoir. L’intéressé non plus, ovationné à chaque intervention. Comme l’impression d’assister à un jubilé, en somme. Le mercato d’hiver nous dira si l’Italien sera là pour le prochain tour.


Alors certes, la Coupe de la Ligue n’est pas la priorité du PSG cette saison. Les Parisiens, doubles tenants du titre, ont d’autres choses en tête pour 2016, on n’a pas attendu le 8e de finale contre Saint-Etienne mercredi pour le savoir - et le comprendre, soyons honnêtes. Mais cela faisait bien longtemps qu’on ne les avait pas vus réaliser un match aussi pauvre dans leur stade. Festival de passes ratées, (non) rythme de marchand de sable, c’est peu dire que le Parc s’est ennuyé. Il a fallu attendre longtemps, la 86e minute précisément et une ouverture de génie de Di Maria pour Cavani, pour plier l’affaire et s’offrir le quart que tout le monde attendait.

Le ciseau d’Ibra sur la barre

Le PSG suscite peut-être aussi trop d’attente, à force de mettre des fessées à chaque équipe française qui ose se présenter sur son terrain. Mais il faut savoir assumer l’exigence qui accompagne sa supériorité. Surtout quand les habituels remplaçants amenés à jouer s’appellent Stambouli, Lucas ou Lavezzi, alors que l’équipe en face aligne trois jeunes de CFA et un gardien qui n’a plus joué depuis un prêt à Clermont en 2011. L’analyse aurait peut-être été un poil différente si la barre transversale n’avait pas repoussé le magnifique ciseau d’Ibra en première période, et encore…

Finalement, la seule attraction du match aura été la première apparition de Sirigu devant son public cette saison. Trois jours après la boulette de Trapp, le Parc n’a pas boudé son plaisir à le revoir. L’intéressé non plus, ovationné à chaque intervention. Comme l’impression d’assister à un jubilé, en somme. Le mercato d’hiver nous dira si l’Italien sera là pour le prochain tour.


Alors certes, la Coupe de la Ligue n’est pas la priorité du PSG cette saison. Les Parisiens, doubles tenants du titre, ont d’autres choses en tête pour 2016, on n’a pas attendu le 8e de finale contre Saint-Etienne mercredi pour le savoir - et le comprendre, soyons honnêtes. Mais cela faisait bien longtemps qu’on ne les avait pas vus réaliser un match aussi pauvre dans leur stade. Festival de passes ratées, (non) rythme de marchand de sable, c’est peu dire que le Parc s’est ennuyé. Il a fallu attendre longtemps, la 86e minute précisément et une ouverture de génie de Di Maria pour Cavani, pour plier l’affaire et s’offrir le quart que tout le monde attendait.

Le ciseau d’Ibra sur la barre

Le PSG suscite peut-être aussi trop d’attente, à force de mettre des fessées à chaque équipe française qui ose se présenter sur son terrain. Mais il faut savoir assumer l’exigence qui accompagne sa supériorité. Surtout quand les habituels remplaçants amenés à jouer s’appellent Stambouli, Lucas ou Lavezzi, alors que l’équipe en face aligne trois jeunes de CFA et un gardien qui n’a plus joué depuis un prêt à Clermont en 2011. L’analyse aurait peut-être été un poil différente si la barre transversale n’avait pas repoussé le magnifique ciseau d’Ibra en première période, et encore…

Finalement, la seule attraction du match aura été la première apparition de Sirigu devant son public cette saison. Trois jours après la boulette de Trapp, le Parc n’a pas boudé son plaisir à le revoir. L’intéressé non plus, ovationné à chaque intervention. Comme l’impression d’assister à un jubilé, en somme. Le mercato d’hiver nous dira si l’Italien sera là pour le prochain tour.


Alors certes, la Coupe de la Ligue n’est pas la priorité du PSG cette saison. Les Parisiens, doubles tenants du titre, ont d’autres choses en tête pour 2016, on n’a pas attendu le 8e de finale contre Saint-Etienne mercredi pour le savoir - et le comprendre, soyons honnêtes. Mais cela faisait bien longtemps qu’on ne les avait pas vus réaliser un match aussi pauvre dans leur stade. Festival de passes ratées, (non) rythme de marchand de sable, c’est peu dire que le Parc s’est ennuyé. Il a fallu attendre longtemps, la 86e minute précisément et une ouverture de génie de Di Maria pour Cavani, pour plier l’affaire et s’offrir le quart que tout le monde attendait.

Le ciseau d’Ibra sur la barre

Le PSG suscite peut-être aussi trop d’attente, à force de mettre des fessées à chaque équipe française qui ose se présenter sur son terrain. Mais il faut savoir assumer l’exigence qui accompagne sa supériorité. Surtout quand les habituels remplaçants amenés à jouer s’appellent Stambouli, Lucas ou Lavezzi, alors que l’équipe en face aligne trois jeunes de CFA et un gardien qui n’a plus joué depuis un prêt à Clermont en 2011. L’analyse aurait peut-être été un poil différente si la barre transversale n’avait pas repoussé le magnifique ciseau d’Ibra en première période, et encore…

Finalement, la seule attraction du match aura été la première apparition de Sirigu devant son public cette saison. Trois jours après la boulette de Trapp, le Parc n’a pas boudé son plaisir à le revoir. L’intéressé non plus, ovationné à chaque intervention. Comme l’impression d’assister à un jubilé, en somme. Le mercato d’hiver nous dira si l’Italien sera là pour le prochain tour.