C'était beau, c'était tendu, c'était le Superbowl. Vainqueurs des tenants du titre, les Seattle Seahawks, dans la nuit de dimanche à lundi (28-24), les New England Patriots ont donc remporté la rencontre attendue par des millions de personnes. 20 Minutes a sélectionné ce qu'il faut retenir de cette grande messe des amateurs de sport US.

Le show Katy Perry

Pour beaucoup, le Superbowl c'est aussi et surtout le spectaculaire concert de la mi-temps. Cette année, Lenny Kravitz mais surtout Katy Perry étaient chargés de chauffer le public à la pause. Arrivée sur le dos d'un faux lion géant (normal), la chanteuse américaine s'est déchaînée sur ses plus grands succès. Avec quelques moments un peu WTF, il faut bien l'admettre.

« You're more likely to be a dancing tree on stage with @katyperry than killed by a shark #SuperBowl #Halftime pic.twitter.com/3Xcd89JnhJ — Shark Defenders (@sharkdefenders) February 2, 2015 »

Malcolm Butler, le héros des Patriots

C'est un sans-grade, un rookie méconnu du grand public mais c'est surtout l'homme qui a sauvé les Patriots dans les derniers instants. Alors que Seattle a la balle de la victoire en main à quelques secondes de la fin, Malcolm Butler intercepte la passe de Russel Wilson, le quaterback des Seahawks très mal inspiré sur le coup. Après la rencontre, le héros du jour explique avoir eu «une vision». Bien joué Nostradamus.

« L’interception de Butler (qui a remplace Arrington) https://t.co/rDtFTEwdrT — NFL France (@NFLFrance) February 2, 2015 »

Tom Brady un peu plus dans la légende

Tom Brady est éternel. Plus de dix ans après son dernier sacre, le quarterback des new England Patriots a remporté le quatrième Superbowl de sa carrière de dingue (2001, 2003, 2004, 2014). Il égale ainsi Joe Montana et Terry Bradshaw, les deux seuls quaterbacks à avoir soulevé à quatre reprises le prestigieux trophée. Monsieur Gisele Bundchen à la ville, 37 ans, a réalisé quatre passes menant à des touchdowns, douze dans sa carrière lors d'un Superbowl, nouveau record. Une légende on vous dit.

La petite baston de fin

Non, les bonnes empoignades de fin de rencontre n'appartiennent pas qu'au rugby. La preuve avec cette explication entre les deux équipes alors que le sort de la rencontre est déjà scellé.