A peine son match d’Europa Ligue terminé contre Limassol, l’OM n’en avait que pour le Paris Saint-Germain. «Clasico» par-ci, Zlatan Ibrahimovic par-là, joueur comme entraîneur en ont même oublié qu’ils venaient d’atomiser l’équipe chypriote (5-1). «S’il me tarde d’y être ? Oui. Les joueurs aussi. Si on n’en parlait pas, il y avait une projection inconsciente. Depuis 0h15 (vendredi matin), je pense à ce match chaque seconde.» Elie Baup, le coach olympien, a «passé la nuit» à méditer sur le choc contre le PSG de dimanche. A l’image de Loïc Rémy (auteur d’un doublé), ses joueurs sont également prêts pour le combat «Dimanche, on sera dans la cage aux lions. Je crois très fort qu’on remportera ce match».
«L’an passé, on leur avait marché dessus»
«Ce sont des matchs qui se jouent au mental. Il n’y a pas besoin de se motiver pour cette rencontre-là avec des pizzas, des Big Mac ou des bières», a déjà prévenu Benoît Cheyrou. Au club depuis 2007, le milieu de terrain annonce la couleur et fait gentiment monter la pression
chez nos confrères du Phocéen. «Il faudra se battre avec nos valeurs. On peut aussi s’appuyer sur le match de l’an passé où on leur avait marché dessus (victoire 3-0 de l’OM).» Des déclarations qui laissent Carlo Ancelotti de marbre. Dans un entretien à paraitre samedi dans les colonnes du Parisien, le technicien italien du
PSG préfère évoquer l’enjeu de la rencontre «Un match de foot, ce n’est pas la guerre. Gagner à Marseille signifierait prendre la tête du classement.» Et donc forcément asseoir sa supériorité face au plus grand rival.
chez nos confrères du Phocéen«Ce sont des matchs qui se jouent au mental. Il n’y a pas besoin de se motiver pour cette rencontre-là avec des pizzas, des Big Mac ou des bières», a déjà prévenu Benoît Cheyrou. Au club depuis 2007, le milieu de terrain annonce la couleur et fait gentiment monter la pression
chez nos confrères du Phocéen. «Il faudra se battre avec nos valeurs. On peut aussi s’appuyer sur le match de l’an passé où on leur avait marché dessus (victoire 3-0 de l’OM).» Des déclarations qui laissent Carlo Ancelotti de marbre. Dans un entretien à paraitre samedi dans les colonnes du Parisien, le technicien italien du
PSG préfère évoquer l’enjeu de la rencontre «Un match de foot, ce n’est pas la guerre. Gagner à Marseille signifierait prendre la tête du classement.» Et donc forcément asseoir sa supériorité face au plus grand rival.
PSG«Ce sont des matchs qui se jouent au mental. Il n’y a pas besoin de se motiver pour cette rencontre-là avec des pizzas, des Big Mac ou des bières», a déjà prévenu Benoît Cheyrou. Au club depuis 2007, le milieu de terrain annonce la couleur et fait gentiment monter la pression
chez nos confrères du Phocéen. «Il faudra se battre avec nos valeurs. On peut aussi s’appuyer sur le match de l’an passé où on leur avait marché dessus (victoire 3-0 de l’OM).» Des déclarations qui laissent Carlo Ancelotti de marbre. Dans un entretien à paraitre samedi dans les colonnes du Parisien, le technicien italien du
PSG préfère évoquer l’enjeu de la rencontre «Un match de foot, ce n’est pas la guerre. Gagner à Marseille signifierait prendre la tête du classement.» Et donc forcément asseoir sa supériorité face au plus grand rival.
>> VOTRE AVIS - Le vainqueur du match OM-PSG de dimanche soir prendra la tête du championnat de ligue 1. Enfin un «clasico» alléchant?
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