ACTUALITESMacron et Le Pen à gauche toute, espions russes et pessimisme sur l’Ukraine

C’est l’heure du BIM : Macron et Le Pen lorgnent la gauche, espionnage russe et pessimisme sur l’Ukraine

ACTUALITES« 20 Minutes » compile pour vous les infos qu’il ne faut pas manquer ce matin dans votre Bulletin d’information matinal (BIM)
X.M. avec AFP

X.M. avec AFP

Vous avez manqué les infos de ce début de matinée ? On vous a concocté un récap pour vous aider à y voir plus clair.

Macron et Le Pen veulent séduire les électeurs de gauche

Emmanuel Macron et Marine Le Pen font les yeux doux aux électeurs de Jean-Luc Mélenchon. Pour cela, les deux finalistes de la présidentielle s’affrontent notamment sur le terrain du pouvoir d’achat, sujet de préoccupation numéro un des Français, mais aussi sur celui des retraites. Ce mardi, le candidat-président doit se rendre dans le Grand-Est. A Mulhouse, il ira à la rencontre de soignants, puis se rendra à Strasbourg en soirée, deux villes ayant porté dimanche Jean-Luc Mélenchon en tête avec 35-36 % des suffrages. Pour sa part, Marine Le Pen doit s’exprimer dans les médias d’abord dans la matinale sur France Inter puis en soirée au 20 heures de TF1. Elle doit aussi tourner son clip de campagne et tenir une conférence de presse sur le thème de la « démocratie » à Vernon, dans l’Eure.

La France expulse six Russes accusés d’espionnage

L’espionnage à la mode guerre froide est de retour en Europe. A la suite d’une très longue enquête de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), la France a décidé d’expulser six espions russes qui opéraient selon elle sous couvert de leur ambassade à Paris et « dont les activités se sont révélées contraires à (ses) intérêts nationaux », a indiqué lundi le ministère des Affaires étrangères. Sur Twitter, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a aussitôt salué le travail du contre-espionnage français.

Le chancelier autrichien sort « pessimiste » de sa rencontre avec Poutine

Karl Nehammer ne rentre pas de Moscou avec de bonnes nouvelles, ni même avec des espérances. Le chancelier autrichien, premier dirigeant européen à être reçu par Vladimir Poutine depuis le début de la guerre en Ukraine, s’est dit lundi « pessimiste » face à la « logique de guerre » du président russe à l’issue de sa rencontre. Selon lui, « il ne faut pas se faire d’illusions », car l’objectif de Poutine est d’enregistrer « un succès militaire » rapide.