ACTUALITESMacron à Marseille, Castex avec les syndicats et Biden inflexible

C’est l’heure du BIM : Macron à Marseille, Castex avec les syndicats et Biden se défend encore sur l’Afghanistan

ACTUALITES« 20 Minutes » compile pour vous les infos qu’il ne faut pas manquer ce matin dans votre Bulletin d’information matinal (BIM)
X.M.

X.M.

Vous avez manqué les infos de ce début de matinée ? On vous a concocté un récap pour vous aider à y voir plus clair.

Où va se rendre Emmanuel Macron à Marseille ?

Demandez le programme. Le président de la République sera à partir de ce mercredi à 15h30 en déplacement à Marseille. Pour son premier jour, après des échanges avec des élus des Bouches-du-Rhône en mairie, le chef de l’Etat se rendra à 18 heures au commissariat de la Division Nord. Il échangera avec les forces de l’ordre, notamment autour de la stratégie de lutte contre les stupéfiants. Le soir même, à partir de 20 heures, le chef de l’Etat a organisé au fort d’Entrecasteaux, sur le Vieux-Port, une « rencontre avec les élus et des "forces vives" de la société civile marseillaise ». Surtout, en restant jusqu’à vendredi soir, c’est la première fois depuis qu’il a été élu qu' Emmanuel Macron séjournera aussi longtemps dans une même ville.

Jean Castex reçoit les partenaires sociaux pour un large tour d’actualité

En cette rentrée, le Premier ministre s’apprête à ouvrir un marathon de consultations sociales. Jean Castex reçoit en effet de mercredi à vendredi les partenaires sociaux en entretiens bilatéraux pour brasser les sujets d’actualité, en affichant une « posture d’écoute » qui laisse dans le flou les intentions de l’exécutif, notamment en matière de retraites. Le bal de ces tête-à-tête va débuter cet après-midi avec le patron de la CFDT Laurent Berger puis celui de Force ouvrière Yves Veyrier, avant de se poursuivre jeudi avec entre autres Philippe Martinez (CGT) et Geoffrey Roux de Bézieux (Medef). Il se terminera vendredi matin par une rencontre avec Benoît Teste, secrétaire général de la FSU.

Biden défend farouchement son choix de mettre fin « à une guerre éternelle »

Une nouvelle fois, Joe Biden a défendu ses choix sur l’Afghanistan. « Je n’allais pas prolonger cette guerre éternelle et je n’allais pas prolonger le retrait éternel » : le locataire de la Maison-Blanche a choisi mardi un ton très ferme, presque vindicatif par moments, pour sceller le calamiteux retrait américain, qui s’est achevé mardi après 20 ans de conflit. Dans son discours, Biden a repris un à un les arguments qu’il martèle depuis des semaines, jusqu’à cette conclusion sans appel : « C’est la bonne décision, une sage décision, et la meilleure décision pour l’Amérique ». La Maison-Blanche a surtout voulu mettre en scène un commandant en chef inflexible, alors que Joe Biden et ses plus proches lieutenants ont souvent semblé désemparés face à la victoire des talibans.